Sophie Verbrugghe rejoint l'institution en tant que chef d'établissement adjoint L'Indicateur 28/08/2013
Sophie Verbrugghe a pour ambition d'initier les élèves au monde de l'entreprise et souhaite les ouvrir davantage sur l'Europe.
Il n'y aura plus de poste de directeur du collège à proprement parler à Saint-Jacques.Dominique Leterme, qui a succédé à Jean-Pierre Bailleul à la tête de l'établissement il y a un an, vient de créer un poste de chef d'établissement adjoint.
Une nouvelle tête a donc rejoint l'établissement catholique hazebrouckois. Sophie Verbrugghe a fait connaissance avec l'équipe enseignante avant les vacances scolaires et aujourd'hui elle prépare activement la rentrée des classes. Professeur de Lettres depuis quinze ans, elle a enseigné dans tous les niveaux, au collège, comme en lycée général, en lycée technologique ou encore en lycée professionnel. Elle est même passée par le lycée Depoorter. Puis elle a pris des fonctions de direction en conservant quelques heures de cours, d'abord au collège Saint-Winoc de Bergues en tant que directrice adjointe. Et depuis deux ans, elle dirigeait le lycée professionnel Epil à Lille. Originaire de Dunkerque, elle se rapproche de son domicile en prenant la fonction de chef d'établissement adjoint de l'Institution Saint-Jacques.
« Nous allons créer un tandem avec Dominique Leterme. Nous avons chacun nos forces et nous nous complétons », avance Sophie Verbrugghe. A 38 ans, un nouveau défi l'attend à Hazebrouck. « Ma mission sera essentiellement pédagogique puisque je suis aussi conseillère pédagogique », indique-t-elle.
Sophie Verbrugghe mettra particulièrement l'accent sur le lien entre la classe de troisième et la classe de seconde.
Valoriser le goût d'entreprendre
Si la nouvelle adjointe de Dominique Leterme va observer un temps d'adaptation, d'écoute des professeurs, plusieurs projets lui tiennent à coeur. « Je veux créer du contact avec les écoles et les autres établissement pour essayer de faire rayonner un maximum l'établissement qui est ouvert à tous. Nous sommes là pour accueillir tous les élèves et faire réussir chaque jeune », lance Sophie Verbrugghe.
Elle souhaite également initier au monde de l'entreprise et à l'entrepreunariat en mettant sur pied une mini-entreprise. « J'espère pouvoir participer au concours régional en 2014 », précise-t-elle. Le lycée professionnel qu'elle dirigeait auparavant a remporté le concours régional de la mini-entreprise l'an dernier et elle a constaté comment cette expérience peut transformer les élèves. « Avec ce genre de projet, nous pouvons dévoiler le talent de chacun. Chaque jeune a son pouvoir de réussite », juge-t-elle. Elle souhaite également que les collège et lycée Saint-Jacques entrent dans le dispositif Cominus pour s'ouvrir à l'Europe grâce à des échanges scolaires avec des établissements étrangers. « J'aimerais que Saint-Jacques apporte une plus-value », explique-t-elle.
Des idées plein la tête et une énergie débordante, Sophie Verbrugghe compte partager cela avec l'équipe enseignante et les élèves.
La galerie du cloître vient d'ouvrir à Saint-Jacques L'Indicateur 18/09/2013
Le collège Saint-Jacques vient d'aménager les quatre couloirs du cloître pour en faire un espace d'exposition. Bernard Verquère, professeur d'art plastique dans l'établissement, a invité Valérie et Hervé Robbe, deux photographes contemporains, pour la première exposition.Le vernissage aura lieu jeudi 19 septembre à 19 h. Les photographes, qui ont déjà exposé à l'Espace 36 à Saint-Omer, ont travaillé sur les attitudes et les corps des personnages que l'on retrouve dans les enluminures du Moyen-Âge. La série de photos exposée a été prise dans les ruines de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer. Le vernissage de cette exposition aura lieu jeudi 19 septembre à 17 h.
Bernard Verquère annonce déjà une autre exposition au mois de janvier autour de l'oeuvre du peintre Eugène Leroy et de La Grande crucifixion réalisée pour la chapelle du collège Saint-Jacques. Cette exposition sur le thème Le corps : prétexte à l'oeuvre, se fait en partenariat avec le musée des Beaux-Arts de Tourcoing.
Le théâtre De l'inconnu fait sa rentrée L'Indicateur 25/09/2013
Au lycée Saint-Jacques, le théâtre Del'inconnu a fait sa rentrée sous le signe de la mixité. De mémoire du professeur, les acteurs n'ont jamais été aussi nombreux à postuler pour intégrer les ateliers artistiques.Une bonne nouvelle en prévision des textes qui seront proposés aux lycéens car d'habitude les arts du spectacle sont très féminins et l'acte de distribution est un véritable casse-tête pour les intervenants de la Compagnie William Red. Cette saison, le programme s'annonce riche et varié car littérature et théâtre d'intervention sont au menu défini par Dominique Leterme, chef d'établissement. Cette bande de joyeux comédiens se produira sur la scène de l'espace Flandre le 27 mai 2014.
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Henri Compère promu chevalier dans l’ordre des Palmes académiques VDN 01/10/2013 |
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| Jean-Pierre Bailleul a également souligné son rôle actif dans l’achat des bâtiments de l’ancien séminaire Saint-François-d’Assise, dans l’édification de la salle des sports Jean-Bouin et du bâtiment Abbé-Denys (extension du lycée Saint-Jacques), ainsi que dans la construction du second restaurant scolaire. L’ancien directeur de l’institution privée poursuit : « Difficile aussi de passer sous silence le rôle qui fut le tien lorsque l’institution connut l’incendie et la destruction d’une partie de son patrimoine. Tu as été présent chaque jour, ici pour rencontrer l’architecte, là pour rencontrer les entreprises et les experts ou encore participer au conseil de direction et bien d’autres choses encore. » Avant de conclure : « Pour tous ces services rendus par cet humble serviteur et homme de foi qui a œuvré pendant plus de trente ans pour l’enseignement catholique, je suis très fier et honoré de lui remettre ces palmes. » |
Samedi
après-midi, Jean-Pierre Bailleul, l’ancien directeur de l’institution
Saint-Jacques, a remis dans la chapelle du lycée, à Henri Compère
les insignes de chevalier dans l’ordre des Palmes académiques.Hazebrouck : 840 élèves ont participé, vendredi, au cross du collège Saint-Jacques VDN 14/10/2013
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Plus de 850 élèves au cross L'Indicateur 23 /10/2013
Cet événement a permis le lancement d'actions pour le téléthon : les élèves, en échange de leur dossard de coureur pouvaient offrir un don. Cet événement a permis le lancement d'actions pour le téléthon : les élèves, en échange de leur dossard de coureur pouvaient offrir un don.
- Ce sont près de 860 élèves qui ont foulé les pistes du Stade Damette vendredi 11 octobre. Comme chaque année, le collège St Jacques a organisé son cross interclasse, invitant les écoles primaires privées d'Hazebrouck et des environs (pour les classes de CM1 et CM2).
Tous, du CM1 à la Troisième, se sont relayés, en effectuant une course allant de 960 m à 2500 m. Même si la pluie est venue taquiner les plus grands qui couraient l'après-midi, combativité, courage, efforts, encouragements et plaisirs ont conduit cette journée à sa réussite !
En outre, cette journée était également le premier rendez-vous entre les élèves du primaire et du collège Saint Jacques.
Les vainqueurs de cette journée sont : en CM1 : Louna Boulinguiez et Enzo Feci (Ste Anne Hazebrouck). En CM2 : Réane Clement (Abbé Lemire Hazebrouck) et Thomas Roetynck (Ste Anne Hazebrouck). En 6e : Alice Nesvadba (6e C) et Baptiste Luchet (6e F). En 5 e : Johanna Bourdet (5e F) et Alix Abadie (5e E). En 4e : Inès Vermeulen (4 e B) et Matys Pouvait (4e F). En 3e : Pauline Verbrugghe (3e B) et Rémi Laversin (3 e F).
Andrée Cockelaer a été élue présidente de l'association de parents d'élèves de l'institution Saint-Jacques. L'Indicateur 06/11/2013
Elle succède à Sandrine Prince qui a assuré ce rôle pendant huit années.Andrée Cockelaer, originaire de Saint Etienne et Hazebrouckoise depuis deux ans, est assistante maternelle de profession. Elle se passionne pour les sujets d'éducation et l'épanouissement des jeunes. Elle est maman de trois enfants, deux sont actuellement dans l'enseignement supérieur, le plus jeune commence sa scolarité en sixième au collège Saint-Jacques.
Sandrine Prince, après huit ans à la présidence et dix ans au total dans l'association, quitte son poste. Elle se souvient du chemin parcouru, des nombreuses joies et également des moments qui ont suivi l'incendie du collège où l'association avait su être particulièrement présente au sein de l'institution. Elle continue à accompagner l'association de parents dont elle sera désormais la vice présidente.
Mercredi, le lycée Saint-Jacques a accueilli les lycées privés du district pour un tournoi amical de volley-ball.VDN 16/11/2013
Cette première rencontre a été très appréciée et l’opération renouvelée au printemps, à Saint-Omer.Six équipes s’étaient mobilisées pour participer à cet événement. L’esprit de l’après-midi était de jouer avec fair-play dans une ambiance conviviale, afin de favoriser les échanges entre des élèves d’orientations diverses.L’ensemble des lycéens a fait preuve de responsabilité et d’autonomie dans l’organisation et l’arbitrage des matchs. La plupart de ces élèves s’entraîne de façon régulière au sein de l’association sportive de leur établissement.
Vu le succès de l’après-midi et l’enthousiasme des lycéens, un prochain rendez-vous est d’ores et déjà fixé pour le printemps, au lycée Saint-Denis à Saint-Omer.
Développement durable avec l'hippomobile L'indicateur 20/11/2013
Durant la semaine du 4 au 8 novembre et pour la troisième année consécutive, les élèves de cinquième du collège Saint-Jacques ont eu la joie de découvrir dans leur enceinte l'hippomobile chargée de la collecte à cheval des déchets recyclables dans la ville.Lors d'une conférence, des échanges fructueux ont permis de mettre en évidence à travers cette initiative unique, les enjeux environnementaux, sociaux et économiques du développement durable.
Hazebrouck : Ilyes Djadel, l’adolescent qui rêve d’un destin à la Jamel Debbouze VDN 04/01/2014
À seulement 15 ans, Ilyes Djadel est déjà monté plusieurs fois sur scène devant des centaines de spectateurs et écrit ses sketches. Le lycéen, également passionné de boxe thaï, croit en son destin : il veut devenir humoriste.
Ilyes Djadel, jeune humoriste talentueux, n’a pas froid aux yeux. Il a déjà joué devant des centaines de personnes, notamment à Lille ou Bruxelles.Quel élève ne voudrait pas être dans la classe d’Ilyes Djadel ? Florent, un de ses meilleurs amis, raconte ses exploits au collège Saint-Jacques : « En classe dès qu’il peut sortir une plaisanterie, il le fait. Même les professeurs ne résistaient pas et riaient aussi, raconte-t-il. Bon, après, ils devaient l’arrêter pour que ça reste sérieux. »
Ilyes est ce qu’on appelle un boute-en-train. Il a la réplique facile et est à l’aise partout. Malgré ses 15 ans, on le sent d’ailleurs parfaitement décontracté quand il découvre l’ambiance studieuse de la salle de rédaction de La Voix du Nord à Hazebrouck. Lors de l’interview, l’adolescent enchaîne les vannes. Même quand il le souhaite, Ilyes ne peut pas être sérieux : « Je fais rire, même sans le vouloir », confie-t-il.
Le lycéen, en classe de seconde à Saint-Jacques, a la tchatche. Mais, jusqu’à présent, cela ne faisait pas de lui un humoriste capable de faire rire huit cents personnes pendant dix minutes sur la scène du Cabarire, à Bruxelles. Ilyes, pourtant fâché avec les devoirs et les interrogations écrites, a trouvé sa voie grâce au collège Saint-Jacques, quand il était en troisième.
« Une révélation »
Il raconte : « Une pièce de théâtre était organisée, un ami m’a dit de la faire. J’ai joué le Joker dans Batman. J’ai fait rire tout le monde, cela a été une révélation. Je me suis dit que j’avais un talent. » « Je n’étais pas étonné », glisse Florent qui a motivé Ilyes à monter sur scène pour la première fois alors qu’il n’avait aucune formation. Le lendemain, il est la star de l’établissement.
« Les élèves me reconnaissaient », sourit l’adolescent. Sa plus grande satisfaction ? Peut-être le commentaire de sa professeur de théâtre. « Elle a dit On tient le futur Jamel ! »
Depuis cette première sur scène, le natif d’Hazebrouck s’est fixé un objectif : « Réussir plus vite que Kev Adams. » Il a déjà joué à Lille, Paris, Avignon et Bruxelles devant des centaines de spectateurs. Son spectacle dure 1 h 30. Le natif d’Hazebrouck, aîné d’une fratrie de cinq, parle de sa famille, son éducation, ses origines algériennes, du racisme et de l’intégration, « des sujets qui touchent tout le monde ». « Même sur les sites de rencontre, même quand tu ne parles pas tu as l’accent », lance-t-il dans un de ses sketches.
« Quand je l’ai vu au Spotlight, à Lille, il était un peu stressé. Maintenant il est très à l’aise sur scène, témoigne Florent. Mais il n’a pas pris la grosse tête et il est très sérieux dans ce qu’il fait. » « J’aime improviser », souligne Ilyes qui écrit un nouveau spectacle pour 2015 avec ses amis. Fan de Gad Elmaleh, « qui parle de ce que les gens vivent » et de Jamel Debbouze « pour son côté un peu fou », le lycéen est « en contact avec un auteur est un producteur ». « C’est de plus en dur d’être humoriste, ajoute-t-il. Il y a plus de monde qu’avant. »
Ilyes a d’autres projets : participer à l’émission « La France a un incroyable talent » et lancer un Festival du rire à Hazebrouck. « J’y vais au culot, conclut-il. C’est ce qui marche ! »
Sur Facebook, Ilyes-Djadel-Page-Officiel. Contact : ilyescasting@hotmail.fr.
video à Bruxelles
http://www.youtube.com/watch?v=7IgUjwynb1A
Un séjour en Haute-Savoie L'Indicateur 15/01/2014
Les élèves ont découvert les différentes facettes de la montagne l'hiver. - 50 lycéens ont participé à un séjour sportif aux Carroz d'Arâches. Ce groupe mixte composé d'élèves de 2des, 1ères et terminales était accompagné par 4 de leurs enseignants.
L'objectif de cette semaine était d'élargir le champ des activités sportives pratiquées au lycée et de découvrir pour certains les activités sportives de montagne. Au programme : ski alpin, snow board, randonnée raquette, parcours orientation et aussi une intervention pédagogique sur la sécurité en montagne. En résumé, une semaine différente et exigeante physiquement !
Hazebrouck : les minimes du collège Saint-Jacques au pied du podium régional de handball VDN 16/02/2014
Le championnat régional de handball UGSEL se terminait avec tournoi organisé mercredi par le collège Saint-Jacques.L’équipe du collège Saint-Jacques a terminé quatrième sur neuf dans le championnat régional UGSEL de handball.
Après quatre journées de championnat où toutes les équipes se sont rencontrées, les minimes du collège Saint-Jacques se hissent à une logique quatrième place sur neuf participants.
Cette place ne leur permet pas de se qualifier pour le championnat de France de handball. L’équipe est composée de quatre membres du HBH71 et de joueurs qui découvraient le handball en compétition
Les rencontres ont été arbitrées par Louis Luchier, Sébastien Halipré et Adrien Perlein (lycéens et arbitres officiels du HBH71).
Collège St Jacques Le Théâtre des Ateliers prépare « Donne-moi le Temps » L'Indicateur 12/03/2014
Le Théâtre des Ateliers prépare « Donne-moi le Temps »
Pendant les vacances, une soixantaine d'artistes en herbe ont occupé les murs de leur collège pendant deux jours de leur temps libre pour préparer leur 19 e comédie musicale, « Donne-moi le temps ».Vieillir, grandir, être stressé, rester jeune à tout prix... ; sont les pistes de réflexion développées dans ce nouvel opus par la danse, le théâtre, le chant, la musique, les décors. Cette troupe toute en énergie vous donne rendez-vous le 7 mai à 20 h à Espace Flandre. Pré-vente des billets dès samedi 29 mars au secrétariat du collège : 6 euros pour les adultes, 3 euros pour les moins de seize ans.
Ancien déporté des camps de concentration, Jacques Saurel est venu raconter une partie de son passé.VDN 15/03/2014
Dans la chapelle de l’établissement et sous le retable, le discours et les mots choisis ont pris soudain un sens et une tournure presque solennels.
Il s’appelait à l’époque Szwarcenbergh et a changé en 1963 de nom. C’était bien après la guerre et ses atrocités vécues, pour permettre, avait-il déclaré dans nos lignes il y a quelques années, à son fils d’être épargné par les moqueries parfois haineuses et racistes comme on peut, hélas, encore en rencontrer jusqu’à nos jours. Le rejet de l’autre a toujours existé mais il a bien évidemment atteint, pour Jacques Saurel, son paroxysme lorsqu’en 1944, il s’est retrouvé pris dans une rafle avec sa mère, son frère et ses deux sœurs et qu’ils ont tous été déportés au bout du compte dans un camp, non pas d’extermination comme il le dit, mais un véritable mouroir où le manque de soins, d’hygiène, de nourriture a, au-delà des coups, fait leur œuvre pour les nazis.
Les mots sont savamment choisis, les images volontairement épurées pour ne pas terrifier mais, dans la petite chapelle, les visages des élèves restent tantôt figés tantôt médusés.
Pour Philippe Brouteele, professeur d’histoire, avoir pu, de nouveau, bénéficier durant deux jours d’un tel témoignage vivant (Jacques Saurel était déjà venu l’an dernier) est « une aubaine car il suscite toujours de manière pertinente la réflexion de chaque élève ». G. W. (CLP)
La section badminton de vice-champion départemental par équipe L'Indicateur 19/03/2014
La section badminton de vice-champion départemental par équipe SAINT-JACQUES La section badminton de vice-champion départemental par équipeMercredi 12 mars, les élèves de la section badminton se sont qualifiés pour les championnats régionaux de badminton en finissant deuxième du départemental qui se déroulait à Lille dans les structures sportives de Lycée Saint-Paul.
Les vices champions départementaux ont fini premiers de leurs matchs de poule pour échouer lors de la finale qui les opposait aux élèves du Lycée Saint-Adrien de Villeneuve d'Ascq. Ils se rendront à Arras pour tenter de se qualifier pour les championnats de France UGSEL qui se dérouleront cette année à Beauvais au mois de mai. Il faut noter la belle participation de l'arbitre maison Cassandre Waymel, élève en classe de première et qui après avoir arbitré en poule de classement, a brillamment arbitré les deux finales.
Le père Fabien Cristofoli est décédé mercredi 2 avril à l’âge de 79 ans La Croix du Nord 4 Avril 2014
Le père Fabien Cristofoli est décédé mercredi 2 avril à l’âge de 79 ans. La messe de ses funérailles sera célébrée à Lille le lundi 7 avril à 14h30 à l’église Notre-Dame de Pellevoisin.
Prêtre du diocèse de Lille, il a été successivement professeur à Marcq-en-Barœul, au séminaire d’Hazebrouck et aumônier du lycée Faidherbe à Lille.Prêtre à Wattignies-Templemars, curé de la paroisse Notre-Dame de Pellevoisin et Saint-Maurice des Champs à Lille, il a achevé son sacerdoce comme prêtre aîné au service de la paroisse Cana à Villeneuve d’Ascq.
Une journée à Paris pour des élèves de seconde et de première L'Indicateur 09/04/2014
Nul doute que la journée fut fructueuse pour ces élèves de seconde et de première. Nul doute que la journée fut fructueuse pour ces élèves de seconde et de première.- Au programme de l'enseignement d'exploration Litterature et Société, parmi les thèmes d'étude, un intérêt particulier est porté à la découverte de l'Autre et de l'Ailleurs, aussi les professeurs de cet enseignement ont organisé une visite au musée du Quai Branly pour découvrir une exposition sur l'Art des antipodes et sur les rites funéraires d'Océanie, d'Afrique, d'Asie.
Belle manière de découvrir les richesses de l'Humanité.
L'après-midi a été consacrée à la visite du salon du livre de Paris, car le travail de l'écrivain est également au coeur de cet enseignement d'exploration.
Les élèves ont pu, entre autres, admirer des expositions et rencontrer des écrivains tel Joseph Joffo célèbre auteur d'Un Sac de billes. Belle rencontre pour les élèves de première qui ont des textes de ce célèbre auteur dans leur liste pour le baccalauréat de Français. Le salon du livre est également l'occasion de découvrir des écoles et des métiers du livre et de constater concrètement que la section littéraire ne manque pas de ressources et d'ouvertures. Enfin les élèves de première ont aussi visité le mémorial de la Shoah : visite émouvante et instructive pour enrichir leur regard sur une partie du programme d'Histoire.
Echange franco-anglais L'Indicateur 09/04/2014
Les élèves du lycée Queen Elizabeth ont retrouvé récemment leurs correspondants de l'Institution Saint-Jacques. Au programme, de nombreuses visites leurs ont été offertes avec notamment un déplacement sur Paris et spécialement Montmartre, Arras avec les carrières Wellington, Lille, Saint-Omer avec la visite de la Coupole à Helfaut.Une initiation aux danses traditionnelles était au programme afin de leur faire découvrir le folklore Flamand. Les dates du prochain échange sont déjà réservées, force est de constater le succès toujours renouvelé de ces échanges linguistiques qui font la force
Hazebrouck : la direction intérimaire à Saint-Jacques suscite l’inquiétude chez les parents d’élèves VDN 17/04/2014
Sept cents élèves au collège et tout autant au lycée, des résultats excellents : l’institution Saint-Jacques est un pilier du paysage
éducatif hazebrouckois. Mais depuis septembre, l’établissement traverse une période trouble. Du moins à en croire les parents
d’élèves.1. Le contexte
Été 2013. Dominique Leterme, qui a pris la succession de Jean-Pierre Bailleul depuis un an à la tête de l’établissement, est mis en arrêt maladie. Après quelques jours de flottement, Franck Olivier, directeur du lycée Saint-Joseph, prend la relève, à la demande du diocèse comme le veut la procédure. Il est épaulé par un adjoint au lycée, Thibaut de Rieux, et par une adjointe au collège, Sophie Verbrugghe, qui vient alors de prendre ses fonctions. Le conseil d’administration de Saint-Jacques donne
mission pleine à Franck Olivier le 18 février dernier, ce jusqu’à la fin de l’année scolaire.
2. « Tout va très bien »
« Ça se passe très bien, assure Andrée Cokelaer, la présidente de l’Association des parents d’élèves (APEL). L’inquiétude des parents n’est pas fondée. Bien sûr, il y a eu un moment de battement en début d’année, mais c’est normal dans ces conditions. » La présidente assure rencontrer Franck Olivier très régulièrement. « Je suis très bien entouré à Saint-Jacques », assure ce dernier. Du côté du diocèse, même son de cloche. « On communiquera auprès des parents début mai au sujet de la nouvelle
direction. En attendant, tout fonctionne très bien avec M. Olivier, qui est bien connu et qui a de bons résultats avec SaintJoseph », explique Marie-Claude Tribout, directrice diocésaine. Et le manque de communication que déplorent les parents ? « Je fais remonter toute la communication. Toutes les infos ont été données via le site Internet Scolinfo, assure Andrée Cokelaer.Si les parents le lisent, ils sont au courant. On n’allait pas leur envoyer à chacun une carte de visite… »
3. Désordre et rancœur
On n’a bien sûr pas sondé l’ensemble des parents. Mais nombreux sont les échos, ces derniers mois, pointant un désordre général, un sentiment, comme le dit la maman d’une lycéenne, « qu’il manque un capitaine au bateau ». « Monsieur de Rieux a beaucoup de choses à gérer, ce n’est pas évident pour lui. Les profs font le boulot, mais le climat est mauvais. On dirait qu’ils en ont marre. » Comme beaucoup d’autres parents, la mère de cette élève de terminale a appris par sa fille que
Franck Olivier assurait l’int érim, sans plus de renseignements. Une autre mère, dont le fils est en première, souligne : « S’il fallait inscrire un enfant maintenant au lycée, j’hésiterais. Beaucoup de parents se posent la question en ce moment. » Il n’aura fallu que quelques mois pour que l’image de l’institution se dégrade.Problèmes d’emploi du temps au premier trimestre, profs non remplacés à l’approche du bac, climat délétère entre les enseignants… Des reproches d’autant plus amers que les parents affirment ne pas avoir été informés directement des mouvements à la tête de l’établissement. « On a écrit à M. de Rieux, il ne nous a pas répondu, témoigne une maman. On s’est même demandé si on n’allait pas faire opposition au paiement de la scolarité. On avait choisi Saint-Jacques pour sa bonne réputation. C’est vraiment dommage . »
Les 3e en séjour linguistique L'Indicateur 16/04/2014
Une partie des élèves a séjourné à Barcelone.Les élèves de 3e du collège Saint-Jacques à Hazebrouck ont effectué un séjour linguistique et culturel du 6 avril au 12 avril, soit en Angleterre, soit en Allemagne, soit en Espagne.Hébergés en familles par groupes de deux ou trois, ils ont pu pratiquer l'anglais, l'allemand ou l'espagnol et ainsi mettre à profit les connaissances acquises au collège Saint-Jacques. La semaine fut également riche en découvertes culturelles.
L'équipe de badminton qualifiée L'Indicateur 16/04/2014
L'équipe de badminton de l'AS Saint-Jacques, composée de Nicolas Lancry, Marine Averlan, Tom Leclercq, Alice Cappelle, Kévin Bocket et Emma Fillebeen, s'est rendue mercredi dernier à Arras pour disputer les championnats régionaux de badminton par équipe.L'équipe a remporté le championnat régional de badminton
UGSEL
Après avoir fini vice-champion départemental, ce groupe était très motivé afin de décrocher une place pour les championnats de France qui se dérouleront à Beauvais les 21, 22, 23 mai prochains.
Après avoir remporté l'ensemble des matches de poule, les membres de l'équipe de Saint-Jacques remportaient leur quart de finale contre la Malassise, et leur demi-finale contre l'IET de Hoymille.
La finale les opposait à ceux qui les avaient battus lors de la finale départementale à Lille.
Les élèves de Saint-Jacques très motivés par ce qui s'annonçait être une revanche n'ont malheureusement pas pu prendre le dessus sur cette équipe formée par d'anciens joueurs de club.
Bien que deuxième du championnat régional promotionnel, ce groupe se rendra aux championnats de France avec de grandes ambitions.
Ils seront accompagnés par leur arbitre local Cassandre Waymel.
Hazebrouck : les anciens élèves de Saint-Jacques et de Saint-François-d’Assise réunis VDN 25/04/2014
Organisée par Bernard Balloy, la traditionnelle journée de retrouvailles des anciens élèves de Saint-Jacques et de Saint-François-d’Assise s’est déroulée mardi, au collège Saint-Jacques. Quarante anciens élèves sont venus de toute la région pour assister à cette rencontre qui a débuté avec une messe célébrée par l’abbé Heyman, dans la chapelle de l’établissement. La plupart d’entre eux ont été marqués par leur passage dans l’établissement. Comme Michel Wullens, qui participait pour la première fois à cette réunion d’anciens « J’ai attendu d’être en retraite pour y venir, dit-il, mais je n’ai pas que des bons souvenirs. J’ai été pensionnaire à l’âge de 9 ans et je n’ai pas encore évacué les moments difficiles. Il y a aussi des bons souvenirs avec notamment des professeurs qui ont su nous faire aimer des
auteurs »Patrick Deneuche, lui, n’a passé qu’une seule année à Saint-Jacques, celle du baccalauréat, couronnée de succès et forcément, l’établissement ne lui a laissé que de bons souvenirs « Il y avait la convivialité mais aussi la qualité de l’enseignement », souligne-t-il. Enfin, Jean-Jacques Desmarescaux y est entré à l’âge de 10 ans et en a de bons souvenirs en général, particulièrement celui de la communion solennelle. « Je n’ai qu’un regret, celui de ne pas retrouver, aujourd’hui, davantage de camarades de promo.»
« C’est une année de transition pour l’association », ont souligné Bernard Balloy et Jean-Pierre Bailleul, ancien directeur de l’établissement. « Nous souhaitons la faire évoluer, une seule journée de retrouvailles par an, ce n’est pas terrible. Nous allons réunir des années charnières ou des promotions et faire plus de lien avec l’établissement actuel.» La journée a été animée par la présentation d’un montage vidéo sur les deux établissements transformés en hôpitaux pendant la guerre 14-18.
Steenvoorde : l’abbé Michel Spanneut, ancien doyen de la faculté catholique des lettres de Lille, est décédé VDN 30/04/2014
C’est une figure steenvoordoise qui s’en est allée lundi. L’abbé Michel Spanneut est décédé lundi à Lille à l’âge de 95 ans. Il était né à Steenvoorde en 1919 et revenait régulièrement dans sa ville natale.« C’était une figure, un homme très sympathique et toujours fidèle à Steenvoorde. » C’est en ces mots que Jean-Luc Baret, premier adjoint de la commune, a rendu hommage à l’abbé Michel Spanneut, décédé lundi à Lille à l’âge de 95 ans.
Michel Spanneut était né à Steenvoorde le 6 novembre 1919. « C’est à l’école primaire que Michel Spanneut apprend le français, il ne connaissait que le flamand », rappelle Pierre Giorgini, président et recteur de l’université catholique de Lille. Son certificat de fin d’études en poche à l’âge de 12 ans, il entre au Petit séminaire d’Hazebrouck. « Il étudie ensuite la théologie à l’université catholique de Lille à partir de 1938 et reçoit l’ordination sacerdotale en 1944, ajoute Pierre Giorgini. En 1946, il obtient son doctorat en théologie et soutient en 1954 sa thèse sur le stoïcisme. En 1956, il obtient son doctorat ès lettres à la Sorbonne. »
Le chanoine Spanneut consacrera toute sa vie à l’enseignement et à la recherche. Il devient doyen de la faculté de 1965 à 1980. « Homme de foi, d’une redoutable rigueur intellectuelle, il avait aussi de formidables qualités humaines, souligne Pierre Giorgini. D’une grande délicatesse et doué d’un sens de l’humour développé, il avait l’amour du travail bien fait. »
Les funérailles du chanoine Spanneut auront lieu samedi à Lille à la maison Saint-Jean à 10 h. C’est là qu’il s’était retiré ces derniers mois. Michel Spanneut sera ensuite inhumé dans le caveau familial du cimetière de Steenvoorde.
Les lycées Depoorter et St Jacques au Régional de danse UGSEL L'Indicateur 03/04/2014
La prestation des danseurs a été tout à fait satisfaisante, les élèves se sont investis depuis le mois de septembre et ont respecté leur engagement.
- Mercredi 9 avril s'est déroulée la rencontre régionale de danse de l'Ugsel à Anzin Saint Aubin. Environ 280 danseurs de la région étaient réunis afin de présenter les chorégraphies élaborées avec leurs enseignants d'EPS durant les entrainements de l'association sportive.55 élèves du district d'Hazebrouck étaient présents lors de cette manifestation.
Le lycée Depoorter a engagé 3 groupes représentant 40 élèves, les chorégraphies évoquaient les thèmes d'un combat artistique, une rencontre avec les démons et un choix de vie entre le bonheur et la tristesse. Pour ces chorégraphies un 3e prix et deux premiers prix sont accordés Le lycée Saint-Jacques a quant à lui proposé une prestation abordant le thème de la folie avec 15 élèves. Leur prestation « folle mécanique » a remporté le 2e prix.
Franck Olivier, nommé à la direction des établissements St-Jacques et St-Joseph « Je veux élargir l'offre de formation » Indicateur 104/05/2014
Franck Olivier, 49 ans, va assurer une double direction à la rentrée 2014. Il sera à la tête de l'institution Saint-Jacques (1350 élèves) et de Saint-Joseph (400 élèves).
C'est officiel depuis une semaine. Vous dirigez l'établissement catholique Saint-Jacques par intérim depuis quelques mois. Dans quel contexte êtes-vous arrivé à la tête de cette institution ?
Dans un premier temps, j'ai uniquement assuré la direction administrative de Saint-Jacques car Dominique Leterme était souffrant. Puis la direction diocésaine m'a confié la direction totale de l'établissement en cours d'année.
En septembre, vous êtes officiellement nommé directeur de Saint-Jacques tout en conservant la direction de Saint-Joseph. Comment est-il possible d'assurer la direction conjointe de ces deux établissements ?
On met en place les personnes qu'il faut dans les maisons. La direction diocésaine m'a proposé le poste. Les doubles directions se multiplient. C'est une évolution. Le monde change, l'enseignement aussi. L'objectif essentiel est d'avoir une plus grande proximité entre les établissements. Il y a d'ailleurs beaucoup de points communs entre les deux établissements. La synergie va être intéressante sur plein de sujets. Les réorientations seront plus faciles par exemple.
Comment va fonctionner l'équipe d'encadrement ?
J'ai déjà nommé à Saint-Joseph une directrice adjointe, Céline Lootvoet qui sera la directrice du site. Sophie Verbrugghe sera la directrice du site du collège Saint-Jacques, Thibaut De Rieux reste directeur adjoint du lycée et moi je serai le directeur de site du lycée Saint-Jacques et des deux établissements. Chaque unité pédagogique pourra garder sa spécificité.
Des rumeurs font état de flottement à la direction de Saint-Jacques, de tensions dans l'équipe enseignante, qu'avez-vous à y répondre ?
À Saint-Joseph, il n'y a pas de tension. Je suis ici depuis 1996 et je dirige le lycée depuis huit ans. Je suis heureux d'avoir développé la formation continue et ouvert la voie de l'apprentissage. J'ai reconstruit tout l'établissement. Cette année, Saint-Joseph est deuxième dans le classement des lycées de France avec 100 % de réussite au bac. Je souhaite que le climat soit serein aussi à Saint-Jacques. C'est toujours une période d'inquiétude quand on voit arriver un chef d'établissement... quand on le voit partir aussi.
Des élèves quittent-ils Saint-Jacques ?
Il y en a toujours qui partent en cours de route. L'effectif devrait progresser à Saint-Jacques, en sixième, comme en seconde. Nous enregistrons plus de pré-inscriptions que l'an dernier.
Comment succéder à Jean-Pierre Bailleul qui a marqué la vie de Saint-Jacques pendant 25 ans ? Dominique Leterme est resté un an avec une volonté de changement qu'il n'est pas parvenu à mener. Je connais bien les hommes qui ont marqué Saint-Jacques : Claude Deweerdt, Jean-Pierre Bailleul. On peut succéder à Jean-Pierre Bailleul, pas le remplacer. J'ai longtemps travaillé avec lui. Il connaissait ses élèves, comme moi je connais mes élèves à Saint-Joseph. C'est une nouvelle aventure, je suis soucieux de l'enseignement catholique, pas que des trois unités pédagogiques. J'ai beaucoup apprécié la manière de faire de Jean-Philippe Le Guevel à la Fondation Depoorter.
Avec Dominique Leterme, nous partageons certaines valeurs, des valeurs que je tiens des frères des écoles chrétiennes avec qui j'ai beaucoup travaillé. Je crois en l'accueil, en l'épanouissement de la personne dans tous ses aspects, physiques, intellectuels et spirituels. Je souhaite emmener les jeunes au maximum de leurs possibilités pour accéder au bonheur et faire en sorte qu'ils trouvent leur voie. Le sens de l'engagement et la notion de service sont importants pour moi. Maintenant, Dominique Leterme et moi sommes différents. Nous gérons tous nos établissements de manière différente.
Quels sont vos objectifs pour Saint-Jacques ?
Dès les épreuves du baccalauréat terminées, des travaux de rénovation des laboratoires de physique et de chimie débutent. La période d'intérim est assez inconfortable pour prendre des décisions car on ne sait pas si on sera encore là pour assurer le suivi. Là, je sais que je pourrai suivre les travaux jusqu'à leur fin. Un programme de travaux en sept tranches est prévu. Cette rénovation s'inclut dans les trois premières tranches dont le montant est de 600 000 euros.
Et d'un point de vue pédagogique ?
J'ai déjà fait des propositions d'évolution et de développement à la direction diocésaine pour ouvrir de nouvelles formations qui n'existent pas à Saint-Jacques. Elle me tempère mais je souhaite élargir l'offre de formation à la rentrée 2015. Aujourd'hui le lycée compte cinq Terminales S, nous en ouvrons une supplémentaire à la rentrée 2014. J'espère pouvoir proposer en 2015 un bac Sciences de l'ingénieur à Saint-Jacques avec le concours de Saint-Joseph.
réactions:
La nomination officielle d'un directeur après une année difficile d'un point de vue management soulage les représentants syndicaux de l'institution Saint-Jacques.
Depuis la rentrée et l'absence du chef d'établissement qui a succédé à Jean-Pierre Bailleul à Saint-Jacques, l'établissement catholique d'Hazebrouck se retrouvait sans tête. Franck Olivier a été rapidement nommé pour assurer l'intérim, un intérim qui ne devait être que transitoire et qui a finalement duré une année scolaire. « Il a servi de roue de secours temporairement », commente Philippe Brouteele, délégué syndical CFDT. Et de poursuivre : « On oubliera l'intérim. Maintenant on attend de le voir manager ».
Le délégué professionnel attend depuis longtemps la nomination de quelqu'un qui prenne des décisions et qui donne une ligne de conduite. « Je n'ai aucun a priori. J'espère que nous aurons quelqu'un à la barre. Le matelot d'un navire est toujours ravi de voir nommer un capitaine, ce que nous n'avons plus à Saint-Jacques. La navigation automatique permet de sommeiller. Là, il nous faut avancer. Maintenant au capitaine d'arrêter le roulis et le tangage et de mettre l'équipage et le bateau en ordre de marche dans le même sens », indique de façon imagée Philippe Brouteele. Ce qu'il veut dire, c'est qu'il n'a pas été convaincu par les dernières années de direction de Jean-Pierre Bailleul, ni par la première et seule année de Dominique Leterme. « Combien de fois j'ai demandé en comité d'entreprise "Qui fait quoi ?". Les missions et les tâches précises de chacun doivent être clairement définies et ne prêter à aucune confusion », estime le syndicaliste. Déjà, il juge que l'organisation de l'encadrement proposée par Franck Olivier est plus équilibrée que celle mise en place par Dominique Leterme.
« Les équipes sont usées par le statu quo. Elles ont besoin de retrouver du dynamisme et chacun doit rapidement retrouver de la sérénité dans le travail », termine-t-il.
Sa collègue, Flavie Gryseleyn, qui représente la CFTC, est plus mesurée dans les propos. « Chacun, de bonne volonté, a fait à sa sauce, toujours dans l'intérêt du lycée même si chacun n'allait pas dans le même sens », fait-elle remarquer. « J'ai un peu le sentiment que pendant huit à dix mois, chacun a fait le nécessaire pour que ça tourne. Je pense que les résultats du bac seront bons et cela prouvera qu'on a réussi », poursuit-elle. La déléguée du personnel se dit satisfaite de la nomination d'un directeur : « C'est positif d'avoir une ligne de conduite ».
La présidente de l'association des parents d'élèves, Andrée Cokelaer, en fonction depuis la rentrée 2013, espérait la nomination de Franck Olivier à la direction de Saint-Jacques.
Andrée Cokelaer le dit d'emblée, elle n'a pas d'éléments de comparaison puisqu'elle n'a ni connu Jean-Pierre Bailleul, ni Dominique Leterme. Mais cette Hazebrouckoise depuis deux ans est satisfaite de la nomination de Franck Olivier à la tête de Saint-Jacques. « Ça m'enchante. C'est une personne très bien, une personne dynamique, plein d'idées nouvelles qui est à l'écoute des parents et des élèves », indique la présidente de l'association des parents d'élèves.
Elle juge Franck Olivier « tout à fait capable de gérer les deux établissements ». « Il a des adjoints tout à fait compétents », poursuit-elle.
L'APEL qui veut innover dit avoir trouvé un directeur à l'écoute. « Il n'était pas obligé de s'impliquer puisqu'il était là par intérim, mais il a écouté nos propositions. Je le rencontre régulièrement sur nos opérations », note Andrée Cokelaer. Quant à la diffusion de l'information, la présidente de l'APEL estime que « les parents pouvaient être informés de ce qui se passait ». « Il y a eu une réunion la semaine dernière avec les délégués de classe et les parents référents. Tous les parents étaient invités », indique-t-elle.
Les élèves de Saint-Jacques prennent le temps L'Indicateur 14/05/2014
Tous n'ont pas ménagé leurs efforts pour présenter un spectacle de grande qualité.
- Mercredi 7 mai à Espace Flandre, le Théâtre des Ateliers du Collège Saint Jacques a proposé sa représentation
« Donne-moi le temps ».C'est devant un public nombreux que la troupe du Théâtre des Ateliers du collège St Jacques a présenté son 19e spectacle. C'est toute une équipe de jeunes et d'adultes qui a préparé, depuis le mois d'octobre chaque midi, et parfois pendant les vacances scolaires, cette 19em e édition du spectacle. « Tout le monde a une montre, mais personne n'a le temps... » Ce temps si précieux, dans un monde où l'on court, où l'on stresse...ou pas... Quand des gens du 3eme âge conversent avec des collégiens proches de la maison de retraite, la réflexion avance. Ces générations si éloignées par les années sont-elles si différentes ?
Championnat de France de course d'orientation L'Indicateur 28/05/2014
C'est dans la belle région du Vercors que se sont déroulés les 11e championnats UGSEL de course d'orientation à Chaud Clapier dans la Drôme.Le collège Saint-Jacques avait trois représentants lors de ces championnats : Clément Decrock, Victor Penin et Jean-Lou Loingeville. Ils ont brillamment accédé au podium en se classant troisième lors de la compétition par équipe, une course au score où il fallait, par trois, récolter le plus de points possible en un temps limité. Notons également la très bonne sixième place de Jean-Lou Loingeville lors de la course en ligne individuelle.
Hazebrouck : Camille Devignes, ambassadrice pétillante de Saint-Jacques, obtient 20 au bac! VDN 4 juillet 2014
Quand elle a téléphoné sa mère pour le lui annoncer, elle n’y croyait pas. « Elle ne comprenait pas, elle me disait : Mais ce n’est pas possible d’avoir 20 au bac, raconte Camille, en rigolant. Mes parents sont fiers. »
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Il y a de quoi à la lecture du bulletin de notes de la lycéenne (lire ci-contre) qui avait deux options (grec et musique) en plus des matières obligatoires. Un diplôme que, pour l’occasion, le lycée a imprimé en grand. « C’est super parce que Camille est très investie dans l’établissement, adhérente du club théâtre du lycée. C’était elle la déléguée du niveau terminales pour le lycée », précise le CPE, tout content. Bref, pas vraiment une bachoteuse qui ne sort pas la tête de ses bouquins, même si la jeune fille, déjà bonne élève, a bachoté entre huit et neuf heures par jour avant l’examen. Et les d’activités ? « Trop de choses ! », s’exclame l’une de ses copines quand on pose la question. Camille Devignes fait de la zumba, du violon et du chant depuis une dizaine d’années, du théâtre et elle aime la vie ! Enfin, notamment ses années lycées. « J’ai adoré mes années au lycée et là, le bilan est génial à la fin. Ici, on s’épanouit. Ça fait quelque chose de quitter le lycée, mais je me dis que c’est pas la fin, c’est le début d’autre chose. » L’année prochaine, Camille va débuter médecine à LilleII. « Avant, je voulais faire de la psychiatrie, maintenant c’est plus chirurgie, je verrais. » Et pour cela, elle est prête à des sacrifices, dit-elle, « je vais arrêter mes activités et je sais que ce sera plus difficile de voir mes amies ». Mais avant cela –et cet été comme animatrice au centre de loisirs d’Aire-sur-la-Lys– il va y avoir la fête des résultats. « Bon, en fait, ça fait déjà dix jours qu’on fête le bac, glisse la pétillante bachelière. Ce soir, il y a le match. Je vais peut-être fêter ça en famille, puis avec mes amis. » |
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