La reconstruction de Saint-Jacques s'achève avec le nouveau CDI VDN 28/08/2011
L'aide apportée par les membres du personnel a joué un rôle décisif dans la création du nouveau CDI. L'aide apportée par les membres du personnel a joué un rôle décisif dans la création du nouveau CDI.Il y a déjà trois ans, les flammes s'emparaient du collège Saint-Jacques. C'est dans l'ancien internat de filles que le sinistre s'était logé, là où le nouveau centre de documentation et d'information (CDI) est né. Vendredi, les dernières traces de l'incendie du 24 juin 2008 ont intégralement disparu.
À leur place, deux salles lumineuses et spacieuses sont apparues et composent le nouveau CDI du collège. Les étagères de livres en sont déjà à leur cinquième voyage depuis la création du centre de documentation, ce dernier étant sans nul doute le plus symbolique de tous.
Durant quatre mois, les ouvriers et le personnel de l'établissement ont oeuvré à la construction de ce nouveau centre. Les travaux, qui ont coûté 550 000 E, ont permis à l'établissement d'offrir aux élèves un espace d'études et de travail adapté aux conditions de sécurité, mais aussi aux normes d'accessibilité et de handicap.
Un espace spacieux et moderne
Situé au coeur de l'établissement, le CDI est un outil de plus en plus important pour l'enseignement. C'est pour cette raison que Jean-Pierre Bailleul, le directeur, a tenu à ce qu'il soit assez grand pour accueillir de nombreux élèves.
La première salle qui le compose est consacrée à la documentation, avec six postes informatiques reliés au réseau Internet. Le bureau de documentation et d'information y trouve également sa place, offrant la possibilité aux élèves de réfléchir sur leur orientation.
La deuxième salle, quant à elle, est réservée à l'informatique, Une trentaine de nouveaux postes ont été achetés cette année.
Laurence Lemaître, l'une des documentalistes, profite de ce moment de transfert pour faire du « désherbage ». Il est temps pour certains documents de laisser leur place à de nouveaux livres, plus récents.
Par ailleurs, les jours qui arrivent vont servir à agencer l'espace du CDI, dans le respect des normes de sécurité, mais aussi de manière rationnelle. Les jeunes sixièmes doivent être capables de se retrouver aisément dans le centre de documentation et de devenir rapidement autonomes. Pour cette raison, le CDI n'ouvrira pas immédiatement, mais seulement dans les jours suivant la rentrée.
Un nouvel orgue pour la chapelle
Après avoir retrouvé sa toiture le 21 mai, la chapelle du collège est de nouveau entière, elle aussi, mêlant modernité et apparence d'origine.
Le nouvel orgue sera, quant à lui, inauguré dans les prochains mois. Tout cela promet de beaux concerts.
Collège Saint-Jacques La page de l'incendie bientôt tournée L'Indicateur 07/09/2011
Cette rentrée scolaire 2011/2012 marque au collège Saint-Jacques une étape importante dans la vie de l'Institution. Trois ans après le terrible incendie qui avait ravagé une partie du collège, les travaux se terminent.Le 12 septembre prochain, les élèves du collège profiteront d'un nouveau CDI-BDI et d'une nouvelle salle informatique, installés dans les anciennes chambrettes de l'Institution, autour du cloître, là-même où l'incendie s'était déclaré le 24 juin 2008.
La semaine dernière, le personnel a procédé au déménagement des livres, périodiques et autres bases documentaires dans les nouvelles salles. Depuis lundi, les professeurs documentalistes procèdenet à l'aménagement. Les salles seront ouvertes aux élèves à compter du lundi 12 septembre. La salle de CDI pourra accueillir quarante élèves. Elle disposera d'un espace BDI (orientation). La salle informatique sera dotée de trente postes. Le montant des travaux de ce nouveau CDI est évalué à 550 000 euros. L'ensemble des travaux de rénovation conséquente à l'incendie aura coûté un peu plus de 6 millions d'euros.
L'ouverture du nouveau CDI permet de libérer une salle d'étude au rez-de-chaussée du collège et épargnera aux élèves les allers-retours entre lycée et collège. Durant la période de travaux, certaines séances d'étude des collégiens trouvaient refuge au lycée.
D'ici la fin de l'année, le lycée sera également doté d'une nouvelle salle d'étude. Elle élira domicile dans l'ancien internat garçons au deuxième étage du bâtiment principal. Depuis la rentrée dernière, les pensionnaires masculins ont pris place dans le nouvel internat garçons situé, comme celui des filles, au collège.
La page de l'incendie survenu en 2008 sera définitivement tournée à l'automne avec l'inauguration et la bénédiction de l'orgue de la chapelle.
Lycée: Des nouveautés en classe de première L'Indicateur 07/08/2011
Elle se caractérise par un tronc commun d'enseignement entre les séries L, ES et S. Cette réforme est principalement marquée par l'épreuve anticipée d'histoire-géographie en classe de première scientifique. Cette matière sera optionnelle pour les séries scientifiques en terminale. "Les élèves auront quatre heures d'histoire géo au lieu de deux heures trente" souligne Thibaut de Rieux, directeur adjoint du lycée.
Si cette mise en application ne bouleverse pas trop les emplois du temps des élèves de première, l'instauration de l'accompagnement personnalisé est un véritable casse-tête pour l'élaboration des plannings des élèves et des professeurs. Au lycée Saint-Jacques à Hazebrouck, l'accompagnement personnalisé est une séance obligatoire "pour coller au mieux à la réforme". Ces accompagnements personnalisés permettent aux élèves d'approfondir un domaine dans les différentes matières. "Ils sont répartis pour travailler des compétences particulières" explique Thibaut de Rieux. Cela peut aller des limites de la calculatrice à l'utilisation des figures de style en passant par la lecture d'une consigne..."Nous avons une cinquantaine de propositions. Les élèves s'inscrivent par période de vacances" souligne le directeur adjoint. L'accompagnement personnalisé est proposé depuis l'année dernière en classe de seconde. Pour l'équipe enseignante du lycée Saint-Jacques, cette première année d'application s'est plutôt bien passée. C'est donc sereinement que la réforme était abordée en cette rentrée.
L'enseignement privé affiche sa colère face aux suppressions d'emplois VDN 13/09/2011
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Élisabeth Meher et Jean-Pierre Bailleul ont rejoint le mouvement lancé au niveau du diocèse. « Les suppressions d'emplois, ça suffit ! Nous voulons rester ouverts à tous. » Cette banderole a fleuri depuis quelques jours dans presque tous les établissements privés catholiques de Flandre intérieure, à l'appel de la direction diocésaine. Nous sommes allés à la rencontre de deux chefs d'établissements hazebrouckois : Élisabeth Meher et Jean-Pierre Bailleul. Hier, 11 h 30, devant l'école Notre-Dame, rue du Presbytère. L'équipe pédagogique pose devant la banderole qui vient d'être accrochée aux grilles : « Les suppressions d'emplois, ça suffit ! Nous voulons rester ouverts à tous. » Cette banderole, Élisabeth Meher n'est pas la seule chef d'établissement à l'avoir accrochée. Presque toutes les écoles, les collèges et les lycées privés catholiques de Flandre intérieure l'ont fait, à l'appel de la direction diocésaine. « Nos établissements sont menacés dans leur existence même », explique Élisabeth Meher. Elle regrette d'ailleurs que le mouvement soit aussi tardif et aurait préféré qu'il ait eu lieu avant la diminution des effectifs. À Notre-Dame, elle a perdu deux classes en cette rentrée. À Saint-François, l'autre école qu'elle dirige, elle en a sauvé une in extremis. « Avec les fermetures, on se retrouve avec des classes à deux ou trois niveaux. Sur un cours triple, on ne peut pas donner aux enfants tout ce dont ils ont besoin. Certaines classes sont surchargées or, on a un suivi plus pointu des élèves dans une classe de vingt que dans une classe de trente. » Même constat à la cité scolaire Saint-Jacques. « On pense toujours que le privé est épargné, mais on passe à la moulinette comme tout le monde ! », explique le directeur, Jean-Pierre Bailleul. Cette année, il a perdu vingt-cinq heures de cours au collège, pour un nombre d'élèves stable. Résultat : une classe de cinquième en moins. « Cette année, ils ont fait fort et on nous promet la même chose l'année prochaine. On a de moins en moins de "gras", disent certains. Notre nombre d'heures ne nous permet plus de faire du soutien. Et en lycée, la réforme demande aussi des moyens. On a assez donné : on ne va pas se laisser faire ! » Les chefs d'établissements craignent également de devoir refuser des élèves. « L'an dernier, nous avons fermé une classe, explique Sylvie Carton, directrice des écoles Saint-Joseph et Jeanne-d'Arc d'Hazebrouck. On a dû accueillir moins d'enfants. » Cette inquiétude est partagée au collège Immaculée-Conception de Bailleul : « On est limité dans la possibilité d'accepter tel ou tel élève dans des conditions correctes d'enseignement et d'encadrement. » Élisabeth Meher et Jean-Pierre Bailleul dénoncent aussi une baisse des financements venus des collectivités : mairie pour les écoles, conseil général pour les collèges. « C'est un autre débat, plus financier, mais les moyens ne sont pas suffisants pour rénover les bâtiments », déplore Jean-Pierre Bailleul. « Tout s'accumule, conclut Élisabeth Meher : moins de classes, moins de personnel et moins d'argent, ce qui nous interdit de créer des emplois. Dans nos écoles, on gère au plus serré. Il manque du personnel à la grille ou pour surveiller la cantine. C'est un casse-tête. » |
Des pompes funèbres pour... une renaissance ! VDN 14/09/2011
Une entreprise de pompes funèbres dans une église : quoi de plus étonnant ? Mais, une fois n'est pas coutume, c'est à une renaissance que l'entreprise Carnevali, d'Hazebrouck, et la marbrerie Dumon, de Bailleul, ont contribué, à la chapelle du collège Saint-Jacques d'Hazebrouck. Elles ont fait traverser la nef de la chapelle à une cliente inhabituelle, pesant une tonne : la pierre de l'autel. Elle avait été cassée lors de l'incendie du collège et le directeur de Saint-Jacques, Jean-Pierre Bailleul, ne trouvait personne pour la remettre en place depuis sa restauration. Trop lourde, elle risquait d'endommager le carrelage et le chauffage au sol ! Un problème désormais réglé. Et les Hazebrouckois pourront admirer cette pierre à l'occasion des journées du Patrimoine dimanche (visites guidées à 10 h, 14 h et 17 h).
Visite de la Grande Chapelle L'Indicateur 14/09/2011
En effet, le côté droit avait été cassé par la descente brutale de la cloche Thérèse. Plusieurs sociétés avaient été contactées pour réaliser ce travail délicat et avaient refusé le travail de peur de rompre le carrelage en dessous duquel se trouvait le chauffage. Grâce aux marbreries Carnevali et Dumon et l'aide du personnel de St Jacques, la pierre de Soignies a retrouvé définitivement sa place. Il s'agit d'un exploit réalisé grâce à des techniques anciennes. Le Collège Saint Jacques sera ouvert exceptionnellement le dimanche 18 septembre de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Il sera possible de visiter les locaux restaurés. Trois visites guidées seront proposées au public à 10 h, 14 h et 17 h.Inscription : bailleuljp@stjacques-hazebrouck.fr ou au 03 28 41 98 92.
Une chorégraphie éphémère pour promouvoir le sport scolaire au lycée Saint-Jacques VDN 24/09/2011
Les huit cents élèves ont interprété une chorégraphie éphémère dans la cour de Saint-Jacques. Les huit cents élèves ont interprété une chorégraphie éphémère dans la cour de Saint-Jacques.Dans sa lettre d'information de rentrée scolaire, le recteur de l'académie de Lille avait demandé à chaque établissement scolaire du secondaire de monter un projet pour mettre en valeur le sport scolaire et les valeurs qu'il véhicule. Le lycée Saint-Jacques a décidé de mettre en place un challenge interclasses de chorégraphie.
Ainsi, les huit cents élèves du lycée étaient répartis par classes dans la cour afin de répéter la chorégraphie éphémère mise en place par les professeurs d'éducation physique et sportive et M. Beclin, professeur de sciences physiques. Les critères d'évaluation étaient le dynamisme de la classe, la participation et la réactivité.
Les élèves ont pu interpréter deux fois la chorégraphie pendant la récréation du matin et, de l'avis de tous, ce fut une façon très originale de promouvoir le début des activités de l'association sportive du lycée.
Il a été impossible de départager les classes tant l'implication de tous les élèves était satisfaisante. Ce grand moment avait comme un goût de « revenez-y ».
Vous pouvez retrouver cette manifestation sportive sur le site du lycée : www.stjacques-hazebrouck.fr.
Appel à la grève du mardi 27 septembre Ecoles primaires, collèges, lycées sont dans l'expectative L'Indicateur 21/09/2011
Les fédérations et syndicats de l'Éducation nationale appellent à une journée de grève le 27 septembre contre les suppressions de postes.
Tous les établissements scolaires sont concernés : écoles primaires, collèges et lycées. Tous semblent être dans l'expectative. Nous avons demandé ce mardi matin à deux proviseurs hazebrouckois quelle était la température à une semaine de cette date du 27 septembre.
Programme spécial
Au lycée Depoorter à Hazebrouck, on n'en sait rien. "J'ai vu qu'il y avait une affiche syndicale, et j'ai rédigé un courrier ce matin (mardi) en leur demandant si les professeurs pouvaient m'avertir de leur décision, pour jeudi midi", explique le proviseur Pascal Poublang.
Maintenant, "ils ne sont pas obligés de le faire, même si c'est mieux pour les élèves et leurs parents...".
Un avis sur cet appel à la grève ? "Je ne dis rien ! Je respecte les consignes de la direction diocésaine sur le devoir d'accueillir les élèves ", déclare-t-il. Est-ce possible d'accueillir malgré tout les 650 élèves si 50 professeurs (sur 56) sont absents ? "Les internes viennent à la semaine, ils ne peuvent donc pas partir chez eux le mardi. Dans ce cas de figure, il y aura un programme spécial, lâche le proviseur de la Fondation Depoorter. Ils feront du sport, iront au ciné... J'ai quelques idées, quelques pistes. De toute façon, on va bien devoir faire face." Pascal Poublang en saura davantage vendredi. Les jeunes et leurs parents aussi.
Quant aux oreilles de Jean-Pierre Bailleul, responsable du collège et lycée des Flandres, elles ont entendu dire que le taux d'absentéisme devrait être assez conséquent mardi prochain. "Il y aura pas mal de grévistes..., pense-t-il. Il y aura un mouvement, mais de quelle importance...
Nous en saurons un peu plus à la fin de la semaine, et on va découvrir ça le jour de la manif." Du côté de la cité scolaire d'Hazebrouck, même constat. "Moi, je n'ai pas vu quoi que ce soit bouger", commente pour sa part le proviseur Olivier Dupas, qui n'a pas non plus un avis bien tranché sur la question. "Dans le droit du travail des employés, ils n'ont pas à nous informer de leurs intentions." Et d'assurer : "sur le lycée et le collège, les mouvements de grève sont rarement suivis avec ampleur". Mais, " quand on pressent que le mouvement sera fortement suivi, on conseille aux parents de collégiens de ne pas envoyer leurs enfants car nous ne sommes pas certains de pouvoir les accueillir", précise Olivier Dupas. Qui rappelle malgré tout que la cité scolaire ne sera pas fermée, ayant obligation d'accueillir les élèves...
Selon le budget de l'Etat 2011, près de 16 000 postes, quasiment tous de professeurs, vont être supprimés à la rentrée : 8 967 dans les écoles publiques, 4 800 dans les collèges et lycées publics et 1 533 dans l'enseignement privé. Après 50 000 suppressions de 2007 à 2010 (sur environ 850 000 enseignants).
Association des collégiens Inauguration du foyer L'Indicateur 28/09/2011
Jeudi 22 septembre, M. Bailleul, chef d'établissement de l'Institution Saint-Jacques, M. Kazmierczak, directeur adjoint, mais aussi tous deux respectivement président et vice-président de l'association des collégiens, ont procédé à l'inauguration du Foyer.En effet, le local utilisé par l'association a été entièrement rénové ces derniers mois par le personnel d'entretien de l'Institution, MM. Gallet et Vanhaecke.
Le foyer est ouvert tous les jours pendant les temps récréatifs et la pause du midi grâce à l'investissement de 4 élèves de 3e, Laure Tournaux, Bastien Merlevede, Charles Rose et Romain Duhamel, qui en assurent l'ouverture et l'animation, en lien avec M. Tresch, conseiller principal d'éducation.
M. Bailleul et M. Kazmierczak ont souligné l'importance de ce lieu de détente et de convivialité pour les collégiens qui bénéficient désormais d'un espace télévision et d'un espace lecture agrémenté de nouveaux sièges, en plus du traditionnel espace baby-foot. MM. Bailleul et Kazmierczak ont félicité les quatre élèves de 3e tout en souhaitant qu'ils fassent du foyer un lieu dynamique de détente et de culture pour les collégiens.
Une marraine de choix pour les tennismen de Saint-Jacques VDN 04/10/2011
Parents d'élèves de Saint-Jacques : la présidente attend de nouveaux membres VDN 10/10/2011
L'Association des parents d'élèves de l'enseignement libre (APEEL) de Saint-Jacques a fait le point sur ses activités à l'occasion de son assemblée générale, jeudi. État des lieux avec la présidente, Sandrine Prince.Quel est l'effectif de votre association ?
« L'Association des parents d'élèves de Saint-Jacques compte cinq cent trente-neuf familles adhérentes. Il faut savoir que l'effectif des établissements, collège et lycée confondus, s'élève à mille quatre cents élèves, pour mille deux cent cinquante familles. » Quelles seront les actions de l'association pendant l'année scolaire ?
« Elles sont très variées : la gestion des parents correspondants ou celle du bureau de documentation et d'informations (BDI). À ce sujet, il faut que les parents d'élèves sachent que le BDI leur est ouvert pour les informer sur l'orientation de leur enfant. » L'APEEL a aussi créé des cours de révision d'été auxquels elle participe.
« Oui, avec trois matières ciblées, en fonction du niveau : mathématiques, physique-chimie et anglais pour le lycée et français, maths et anglais pour le collège. Nous avons subventionné le séjour linguistique des troisièmes et l'atelier théâtre, les sorties ainsi que les actions pastorales. » Vous avez également un appel à lancer.
« J'aimerais que les parents dont les enfants entrent en sixième rejoignent l'association et en restent membres jusqu'au départ des élèves pour des études supérieures, pour assurer la continuité de nos actions. » •
À noter : Sandrine Prince (présidente), Jean-Marc Debusschere et René Berteloot (vice-présidents), Pierre-Yves Cresson (trésorier), Fabrice Perlein (secrétaire) et Christine Coorteel (secrétaire adjoint) sont réélus. Hervé Roger remplace Cathy Delebarre au poste de trésorier adjoint.
Les bacheliers reçus dans leur lycée Remise officielle des diplômes L'Indicateur 05/10/2011
Plus de 300 élèves et parents ont assisté à la remise des diplômes du Bac du lycée St Jacques.
M. Bailleul, chef d'établissement commença la réception par la lecture de trois courriers de satisfaction de parents d'élèves dont les enfants ont obtenu leur bac "grâce à l'encadrement et au sérieux de l'enseignement prodigué par les professeurs depuis de nombreuses années". Il lut aussi le message de M. Massiet, jeune professeur de Mathématiques retraité, toujours content d'avoir des nouvelles professionnelles et familiales des anciens élèves.
M. Bailleul souligna que sur 212 candidats présentés, 207 ont été reçus, ce qui représente 97,64 %.
Les élèves "majors" de leur série furent mis en valeur et invités sur la scène : Pierre Verlyck, meilleur élève littéraire avec 19,89 de moyenne, Louise Garampon, meilleure élève en économique et social avec 17,97 de moyenne, Marion Varlet, meilleure élève scientifique avec 19,31 de moyenne, Myriam Raïs, meilleure élève de STG avec 16,05 de moyenne et Louis Cuvelier, délégué de niveau, primé pour son sens de l'écoute et de l'efficacité Les trois élèves reçus à Sciences Po à Lille furent complimentés et nommés à savoir : Pierre Verlyck, Tle L, Elise Dubois, Tle VI S et Marthe Vermersch, Tle VII S.
Collège Saint-Jacques Développement durable : visite de l'Hippomobile L'Indicateur 05/10/2011
A l'initiative des professeurs d'histoire-géographie France Verrier, Sophie landroit et Philippe Brouteele, une rencontre a été organisée entre M.Stelmasiak, directeur du centre Véolia de Strazeele accompagnée d'une équipe technique et les élèves du collège.
Des échanges fructueux ont permis de mettre en évidence les enjeux environnementaux, sociaux et économiques de cette initiative unique. Appréhender la notion de développement durable par le biais de l'attractivité du cheval est une occasion concrète et ludique qui a permis la rencontre de deux mondes jusqu'alors cloisonnés Plus encore que des échanges sociaux, elle a permis des échanges de savoirs sur le développement durable, fil conducteur du nouveau programme de géographie de cinquième.
THÉÂTRE Une quinzième année à St-Jacques L'Indicateur 12/10/2011
Comme le soulignent les intervenants de la compagnie, «le théâtre, c'est du bonheur qui s'adresse à tout le monde». Et ce ne sont pas les élèves qui diront le contraire ! Comme le soulignent les intervenants de la compagnie, «le théâtre, c'est du bonheur qui s'adresse à tout le monde». Et ce ne sont pas les élèves qui diront le contraire !Le théâtre du Songe c'est deux rencontres hebdomadaires regroupant des élèves, toutes sections et tous niveaux confondus, autour d'un projet défini chaque année. Les cours ont lieu au lycée le lundi et le mardi hors temps scolaire et permettent pendant deux heures la pratique de jeux théâtraux menés par une compagnie professionnelle hazebrouckoise et une enseignante de lettres.
Plus d'une vingtaine à avoir répondu
Ils sont déjà plus d'une vingtaine à avoir répondu présent et ils auront deux heures pour jouer collectivement mais aussi pour développer leur part personnelle. Deux heures pour contribuer à leur mieux-être et leur réussite scolaire (entre autres assurer leur prise de parole, travailler l'objet d'étude "le théâtre et sa représentation" dans toutes les classes de première).
Deux heures qui s'adressent à tout le monde : ceux qui ont déjà fait du théâtre, ceux qui n'en ont jamais fait, ceux qui aimeraient bien mais qui n'osent pas. Deux heures enfin parce « jouer la vie apprend la vie » (P. Avron).
Les retardataires peuvent encore s'inscrire, mais vite car un spectacle de divertissement se trame pour le mois de mai à Espace Flandre. Ce sera le dernier pour le Théâtre du Songe parce que son existence cessera avec le départ de son chef d'établissement actuel.
Plus d'infos: letheatredusonge@orange.fr
La cinquantaine d'usagers présents a fait part de ses inquiétudes VDN 12/10/2011
Élisabeth Gressier-Kesteloot, maire de Strazeele : « À Strazeele, nous perdons des trains le matin. Je regrette aussi les heures d'arrivée : les gens devront partir de chez eux plus tôt le matin et rentreront plus tard le soir. Les usagers réclament aussi depuis longtemps un arrêt le dimanche à Strazeele. Eh bien ce sera le cas... à 23 h 28 ! »
> Une Lilloise, usagère du TER-GV, qui travaille à Dunkerque : « Le cadencement apporte des améliorations, c'est certain. Mais l'amplitude horaire d'une journée sera plus importante. Pour moi, elle passera de onze à douze heures. Dans ces conditions, je ne sais pas si j'aurais signé (un contrat de travail) à Dunkerque. »
> Un habitant et usager de Strazeele : « Je viens de déménager sur Strazeele, justement parce que l'offre TER était intéressante. Cela remet en cause mon déménagement ! »
> Une Lilloise, usagère de la ligne Lille-Dunkerque : « Je devrai partir plus tôt et rentrer plus tard donc je ne verrai pas mes enfants. Le cadencement, c'est un gain en lisibilité. Mais par rapport à la question de concilier vies familiale et professionnelle ... »
> Une autre usagère lilloise : « Je suis étonnée par un nouvel horaire entre Dunkerque et Lille : le train de 8 h 49 ! Qui peut se permettre d'arriver à 9 h 30 au travail ? »
> Jean-Pierre Bailleul, directeur du collège-lycée Saint-Jacques : « Le train qui arrive à 7 h 58 à Hazebrouck n'existera plus. Vous allez me dire, prenez les trains d'avant ! Mais les trains d'avant ne s'arrêtent pas à Hazebrouck. Pour nous, il y a une perte d'élèves possible. »
Au cross de Saint-Jacques, on a couru pour le Téléthon VDN15/10/2011
Mardi, le cross annuel organisé par le collège Saint-Jacques a rassemblé
neuf cent cinquante élèves.Pour l'occasion les collégiens ont accueilli les écoles primaires privées du secteur.Des dons
avant de s'élancer« L'objectif est que les élèves se rencontrent au cours d'une journée. Et individuellement, qu'ils donnent le meilleur d'eux-mêmes dans l'épreuve. C'est aussi une préparation aux cross de district », indique Christophe Baratte, professeur d'éducation physique et sportive (EPS) et coordinateur du cross.
Sur des distances allant de 960 à 2 500 mètres, les élèves ont rivalisé de rapidité sous les encouragements chaleureux de leurs camarades. S'ils le souhaitaient, ils pouvaient faire un don pour le Téléthon avant de s'élancer sur la piste.
Voici les premiers de chaque catégorie : 3e filles, Perrine Connart 3e garçons, Othello Pouvait 4e filles, Coraline Baudens 4e garçons, Gauthier Brebion 5e filles, Alice Crépin 5e garçons, Tanguy Bronchart, 6 e filles, Amélie Dehondt.
Que s'est-il passé en Flandre du 10 au 16 octobre 2001 ? VDN 16/10/2011
Voici les événements qui ont marqué l'actualité dans le secteur il y a dix ans. ...Le 16, le site tertiaire du lycée Saint-Jacques est inauguré par le président de la Région, Daniel Percheron..
Bruno Dumont continue de traquer la grâce avec Hors Satan L'Indicateur 19/10/2011
Tourné du côté de la Côte d'Opale, le nouveau film de Bruno Dumont met une jeune fille de ferme sous la protection d'un mystérieux solitaire.Dans le village rôde le mal.Naître à Bailleul en 1958 mènerait-il à tout ? Après le lycée Saint-Jacques d'Hazebrouck, Bruno Dumont devient prof de philo. Dès 1986, il réalise des publicités, des documentaires, notamment pour l'industrie. Au milieu des années 90, il passe au court-métrage : Paris puis Marie et Freddy, embryon de ce qui sera La vie de Jésus. Tourné à Bailleul sous le nom La Vie (pour ne pas affoler la population), il remporte le prestigieux Prix Jean Vigo 1997 et, comme on ne le dit pas encore à l'époque "fait le buzz", par son style âpre, son lent tempo, ses choix d'acteurs : de simples personnes, des "non-acteurs" trouvés dans les rues de Flandre, au bistrot, à l'ANPE... Justement, après La vie de Jésus , L'humanité déboule en 1999, créant un vrai séisme au Festival de Cannes. Les fans acclament ce cinéma exigeant, anti-conformiste, aride, et convoquent Bresson. Les allergiques crient au foutage de gueule ou, plus simplement, s'ennuient, ricanent, quittent la salle en claquant leur fauteuil.
Ce cinéma-là demande des efforts. La Croisette explose littéralement quand le jury du Festival remet le Grand Prix de Jury à L'humanité et les prix d'interprétation à Emmanuel Schotté et Séverine Caneele, deux Hazebrouckois ordinaires n'ayant vraiment rien des stars du box-office, tombés de manière éphémère au pays du cinéma comme des Martiens sur Terre. Séverine Caneele tournera dans trois autres films. Dumont réembauchera parfois ceux qu'il a sortis de l'ombre et, bien souvent, d'existences difficiles. Mais, dans les débats auxquels il se livre avec patience, au fil d'un discours désormais assuré, le cinéaste doit toujours répondre à ceux qui s'inquiètent du devenir de ces gens brutalement exposés aux feux de la rampe et du succès médiatique.
En 2003, l'inattendu Twenty-Nine Palms livre deux paumés au désert américain dans une production stylée Zabriskie Point à fond.
Décentré à ce point, Dumont perturbe. On l'excuse presque. A l'heure où Katarina Golubeva vient de mourir, comment ce film a-t-il vieilli ? A revoir en urgence.
Trois ans plus tard, pour Flandres, on retrouve d'autres sables, ceux d'une Guerre qui a tout de celle du Golfe. Entre Bailleul et cette terre sans nom, des jeunes souffrent, meurent, voient leurs rêves devenir cauchemars. Cannes ne loupe pas son marginal favori du cinéma français et lui décerne, pour la seconde fois, le Grand Prix du Jury. Hadewijch (2009), avec sa nonette trop fervente ralliée au terrorisme, creuse bien plus la veine mystique ; plus accessible avec son scénario bien lisible, osant quelques scènes urbaines et l'expression de sentiments, il donne l'impression que Dumont lève le pied et épargne le spectateur. Hors Satan atteste qu'il ne s'agissait que d'une trêve. L'artiste a pour ça de nourrir de ses propres questions. Evitant l'ornière de l'ordinaire ou de l'alimentaire, Dumont radicalise sa quête, moque ses tics, affiche sa démarche avec une tranquillité feinte face aux questions existentielles qui le meuvent.
Le collège Saint-Jacques au théâtre à Roubaix L'Indicateur 19/10/2011
Gageons que cette sortie sera pour eux le début d'une longue série de découvertes artistiques !Lundi 10 octobre, tous les élèves de 3e du collège Saint-Jacques ont eu la chance d'assister à une représentation théâtrale au Colisée, à Roubaix.La pièce, intitulée Inconnu à cette adresse est une adaptation de l'oeuvre épistolaire éponyme de Kressmann Taylor, mise en scène par Pierre Salustrau et Maud Ferrer et magnifiquement interprétée par Pierre Salustrau et Alain Tardif.
La pièce raconte l'histoire d'une amitié mise à mal pendant l'entre-deux-guerres par la montée de l'idéologie nazie : Max, juif américain, s'éloigne de Martin, devenu fervent partisan d'Hitler.
Les élèves ont travaillé l'oeuvre en cours de Français et réinvestiront les notions acquises tout au long de cette préparation dans leurs prochains cours d'Histoire. Le sujet est universel : comment la force de conviction d'une idéologie peut-elle mettre à mal une relation aussi forte entre deux êtres ? Qui est la victime ? Qui est le bourreau ? Les élèves auront matière à réfléchir et à débattre.
La mise en scène, contemporaine et volontairement épurée, a ouvert les élèves à une technique théâtrale bien loin des techniques classiques qui leur sont coutumières : une découverte tout aussi déroutante que riche de questionnements.
La Tulipe noire accueillera Nathalie Dechy le 18 novembre VDN 19/10/2011
Samedi, le club de tennis la Tulipe noire a tenu son assemblée générale. Des effectifs en hausse.- Le club compte 477 adhérents, dont 303 jeunes de moins de 18 ans au sein de l'école de tennis. Les tennismen ont de 5 à 72 ans.Résultats sportifs.- Une équipe féminine accède en troisième division et une équipe masculine en quatrième division régionales.Travaux.- La direction est en pourparlers avec la mairie pour la réfection de la toiture des anciens terrains.Tournoi d'hiver - Grand Prix de la ville d'Hazebrouck.- Il se déroulera du 13 décembre au 8 janvier.Objectif 2012.- « On souhaite s'ouvrir toujours plus aux jeunes et aux écoles », note Xavier Brocvielle, président. Un challenge inter-écoles est au programme.
Nathalie Dechy.- Un partenariat avec le collège Saint-Jacques s'est mis en place à l'initiative de David Dereppe, professeur d'EPS. Une option tennis pour les élèves de sixième a vu le jour. Elle sera parrainée par Nathalie Dechy, joueuse professionnelle. Celle-ci sera présente dans les locaux de la Tulipe noire le 18 novembre à 18 h.
Compétition d'athlétisme L'Indicateur 19/10/2011
C'est à Watten que s'est déroulée la première compétition d'athlétisme, sous la forme d'un triathlon (1 course, 1 saut, 1 lancé), pour les athlètes du collège St-Jacques, catégories benjamins, minimes filles et garçons Mercredi 5 octobre a permis aux élèves de remporter de nombreuses médailles. Résultats les plus significatifs : benjamines 1, Clémence Devos 5e ; benjamins 1, Matys Pouvait 1er ; benjamines 2, Mathilde Boudringhien 1ére, Clara-Lou Wieck 2e, Elise Baratte 3e, Zoé Coeugneit 5e ; benjamins 2, Thomas Mottin 2e, Paul-Loup Dubrulle 5e ; minimes filles, Perrine Connart 1ére, Manon Loingeville 2e, Anne Baratte 3e.Prochains rendez-vous pour le district à Cassel le 19 octobre.
Les amis anglais à Saint-Jacques L'Indicateur 26/10/2011
Une quarantaine d'élèves de Queen Elizabeth's Grammar School de Faversham, notre ville jumelle, ont passé une semaine à l'Institution Saint-Jacques.Ils ont eu comme toujours la possibilité d'assister à des cours avec leurs correspondants mais aussi de visiter notre belle région (Lille, les mines de Lewarde, Douai, Cassel) et aussi notre Flandre avec nos villages typiques tels que Wallon-Cappel, Blaringhem, Godewaersvelde, ses estaminets, le bowling d'Hazebrouck, participer à des danses folkloriques, etc.).Accompagnés des professeurs d'Anglais Hermance Gush, Laurie Debbie, Sarah Jane et Chris Care, les élèves français et anglais furent reçus en mairie par M.Duval, conseiller délégué aux relations extérieures à la prospection économique et au jumelage et Mme Polnecq, conseillère générale qui présentèrent l'historique de la ville, firent la visite des lieux et expliquèrent le fonctionnement du conseil municipal.
Ce fut l'occasion pour le directeur de l'Institution Saint Jacques, Jean-Pierre Bailleul de remercier les familles, les enseignants, les élèves et les cadres qui font vivre les échanges entre nos deux villes et les deux établissements scolaires, ceci depuis plus de dix ans.
En fin d'année, la chorale de Queen Elizabeth's Grammar School viendra donner un concert dans la Grande Chapelle rénovée de Saint Jacques. Quant aux élèves français, ils se rendront à Faversham au cours de l'année scolaire.Lors de la réception en mairie, l'échange fut chaleureux, sympathique tel que le définirent Mme Gambier et Mme Debbie, respectivement intervenants anglais et français lors de la réception en mairie.
Saint-Jacques réunit onze écoles L'Indicateur 26/10/2011
C'est par une belle journée d'automne que s'est déroulé le traditionnel cross de Saint Jacques avec la participation du collège et de onze écoles primaires privées du secteur d'Hazebrouck soit près de mille élèves.C'est toujours avec beaucoup de courage que chaque concurrent s'est mesuré aux autres durant cette journée. Le matin, les 6e et les CM1-CM2 et l'après-midi les 5e, 4e et 3e.Les vainqueurs
CM1 Filles : Emma Caleau, école Notre-Dame de Caëstre ; CM1 garçons : Etienne Colpaert, école Notre-Dame de Caëstre ; CM2 filles : Juliette Evrard, école Notre-Dame d'Hazebrouck ; CM2 garçons : Paul-Louis Lescieux, école Abbé Lemire d'Hazebrouck ; 6e filles : Amélie Dehondt, 6e C, collège St Jacques d'Hazebrouck ; 6e garçons : Edouardo Da Silva, 6e A, collège St(Jacques d'Hazebrouck ; 5e filles : Alice Crepin, 5e B, collège St-Jacques d'Hazebrouck ; 5e garçons : Tanguy Bronchart, 5 e B, collège St-Jacques d'Hazebrouck ; 4e filles : Coraline Baudens, 4e B, collège St Jacques d'Hazebrouck ; 4e garçons : Gauthier Brebion, 4e F, collège St Jacques d'Hazebrouck ; 3e Filles : Perrine Connart, 3e F, collège St Jacques d'Hazebrouck ; 3e garçons : Othello Pouvait, 3e E , collège St-Jacques d'Hazebrouck.
Sandrine Prince reste présidente L'Indicateur 02/11/2011
L'assemblée générale de l'APEL Saint-Jacques s'est réunie quelques jours avant les vacances de Toussaint pour faire le point sur l'année écoulée et élire son nouveau bureau.Au cours de la réunion, Sandrine Prince dressa le bilan des actions engagées au cours de l'année notamment le financement des actions pédagogiques réalisées par les enseignants (sorties pédagogiques, activités théâtrales, etc...). Elle insista sur l'engagement des parents en tant que correspondants de classe et comme membres des différentes instances de l'institution.
Pierre-Yves Cresson présenta les comptes en équilibre de l'association. La parole fut donnée à Jean-Pierre Bailleul, directeur du collège et lycée qui aborda les principaux points caractéristiques de la rentrée et insista sur le contexte social et mouvementé de la rentrée en affirmant que les établissements sont menacés dans leur existence par des suppressions d'emplois, des établissements mis en difficulté par le non respect des modalités de calcul des contributions forfaitaires dues aux écoles, collèges et lycées. Des contentieux ont été engagés auprès du tribunal administratif. M. Minne, président de l'OGEC, abonda dans ce sens affirmant qu'il devient indécent de demander toujours plus d'argent aux familles.
À la suite de l'assemblée générale, le nouveau bureau fut élu. Il est présidé par Sandrine Prince, entouré de deux vice-présidents, Jean-Marc Debusschere et René Berteloot. Pierre-Yves Cresson reste trésorier. Il est assisté de Hervé Roger. Le secrétariat de l'association est confié à Fabrice Perlein et Christine Corteel.
Les lycéens passent le Cambridge english certificate L'Indicateur 02/11/2011
Le Cambridge English certificate permet d'évaluer les compétences des élèves de section européenne en anglais. Le Cambridge English certificate permet d'évaluer les compétences des élèves de section européenne en anglais.
Depuis plusieurs années, les sections européennes ont fleuri dans les collèges et lycées. Le sérieux de cet enseignement passe aussi par l'évaluation et notamment l'examen du Cambridge english certificate.
En 2011, au lycée Saint-Jacques, 52 élèves ont passé l'examen : 35 ont obtenu le B1 et 17 le A2.
Cet examen, quand il est réussi, est sanctionné par une attestation des résultats ainsi qu'un diplôme officiellement remis par Jean-Pierre Bailleul, directeur de l'institution en présence des professeurs d'anglais, de mathématiques et d'EPS assurant l'enseignement dans les sections européennes de 1r e L, ES, S et STG .
Le Cambridge English Certificate est un test de compétences générales aux niveaux A2 et B1 du Cadre Européen Commun de Référence des Langues (CECRL) du Conseil de l'Europe. Des études ont montré que les candidats types de niveau B1 sont capables d'exprimer des opinions sur des sujets abstraits/culturels de manière limitée ou donner des conseils dans un domaine connu, mais aussi de comprendre des instructions ou des annonces publiques, de comprendre des informations et des articles courants, ainsi que la signification globale d'informations inhabituelles dans un domaine qui leur est familier. Enfin, ils sont en mesure de rédiger des lettres ou prendre des notes sur des sujets familiers ou prévisibles.
Des études ont montré que les candidats types de niveau A2 sont capables d'exprimer des opinions ou des exigences simples dans un contexte familier, de comprendre des informations basiques dans un domaine connu, par exemple sur des produits ou des signalisations, ainsi que des manuels ou des rapports simples sur des sujets familiers ou encore de remplir des formulaires et rédiger des histoires courtes ou des courriers contenant des informations personnelles.
Nathalie Dechy, marraine
de l'option tennis
Nathalie Dechy à Hazebrouck : une journée historique pour tous
En septembre dernier, une option Tennis s'est créée au collège Saint-Jacques à Hazebrouck, en partenariat avec le club local, la Tulipe noire.
Le 18 novembre prochain, la marraine de cette option viendra passer deux heures au club hazebrouckois. Il s'agit de Nathalie Dechy, mondialement connue sur le circuit du tennis.
ils doivent être aux anges, les dix-sept collégiens de 6e l'option Tennis d'avoir pour marraine une telle joueuse professionnelle. Le jour de sa venue en terre flamande, ils pourront la voir de près, de très près. Mais ils ne seront pas les seuls, bien sûr. Puisque tout le monde est convié à participer à cette journée historique pour le collège, le club hazebrouckois, la municipalité.
« C'est quelque chose d'assez nouveau », confie David Dereppe, prof d'EPS, responsable de cette option à Saint-Jacques et licencié à la Tulipe noire. « Nous, on n'est pas sur du haut niveau mais pour les licenciés, les passionnés de cette activité sportive, sa venue aura plus de sens, et de motivation. Pour les gamins, ce sera vraiment intéressant.»
Programme minuté
Là, c'est du concret que vivront les amoureux de la petite balle jaune. C'est pour officialiser ce « marrainage » que la tenniswoman viendra à Hazebrouck, samedi 18 novembre, de 18h à 20h. Durant deux heures, il s'en passera des choses. Un programme minuté a même été établi.
De 18 h à 18 h 30, Nathalie Dechy effectuera un petit entraînement spécialement pour les élèves de la section tennis concerné. « Ils seront en activité, et pourront suivre ses conseils techniques. Ça sera sympa. », commente David Dereppe. Ensuite, de 18 h 30 à 19 h, ces mêmes collégiens mèneront une conférence de presse avec elle, mais pas n'importe comment. Avec leur professeur de français, ils ont travaillé sur la carrière de la championne française. Chaque élève pourra poser une à deux questions « pertinentes ». La demi-heure qui suit sera réservée à la traditionnelle séance de dédicaces, avant de présenter de manière plus protocolaire ce partenariat avec la marraine, aux côtés d'élus, de la direction de l'établissement et des présidents du club, de la ligue, et du comité. Un événement pour la ville, les jeunes, le tennis hazebrouckois.
Fort occupée par ses
obligations professionnelles et parentales, c’est son papa et son
« intermédiaire aux premiers contacts », Michel Dechy qui nous
parle de sa fille, Nathalie.
Comment Nathalie est-elle devenue marraine de cette section sportive
hazebrouckoise ?
« Je connaissais Guy Dourdent, un des bénévoles du club d’Hazebrouck
et un des vice-présidents de la Ligue Flandre de tennis, avec qui je
travaille depuis plus de 20 ans. C’est aussi une amitié de longue date.
Quand le professeur de sports (David Dereppe, ndlr) m’a appelé, j’ai
essayé de convaincre Nathalie d’accepter. Mais ça n’a pas été
long ! Elle est contente d’être marraine. Le club d’Hazebrouck
est le Nord, et elle essaie toujours de lier sa pratique avec sa région.
Trois salles nordistes portent son nom à Gravelines, à
Douchy-les-Mines et à Comines. »
Mais c’est la première fois pour une section sportive...
« La Fédération (française de tennis, ndlr) a eu la même idée du
parrainage pour ses centres sportifs officiels, pour les apprentis
professionnels. Nathalie sera donc marraine dans une des sections. »
Depuis le 1er novembre dernier, votre fille fait partie du comité de
pilotage de Roland-Garros. Comment ça s’est fait ? Quel est sa
fonction exacte ?
« Elle est très heureuse d’avoir été sollicitée pour ce
travail ! La FFT a un énorme partie de son budget qui dépend de
Roland-Garros, un tournoi qui a pour ambition de rester un Grand Chelem...
Nathalie est responsable du contact avec les joueuses, afin d’améliorer
les réponses de Roland-Garros aux demandes des joueuses pour que ce
tournoi reste bien placé au niveau des Grands Chelem. Et que ces joueuses
continuent d’aimer Roland-Garros... »
A-t-elle à ce jour d’autres objectifs, d’autres reconversions (en
retraite depuis juillet 2009) ?
« Depuis 2010, elle est consultante pour Orange Sport où elle
commente le tennis masculin, et elle est marraine des tournois 100 000 $
en France parrainés par GDF-Suez. Elle a un bébé qui aura bientôt deux
ans, et en attend un deuxième ; ça suffit à son
bonheur ! » (rires).
Propos recueillis par Thomas Pruvost
Nathalie Dechy à Hazebrouck ce soir : « Je prendrai le temps de voir les enfants » VDN 18/11/2011
Bien que retraitée des courts, Nathalie Dechy a toujours un emploi du temps bien chargé. Entre son boulot de consultante, ses toutes nouvelles fonctions au sein du comité de pilotage de Roland-Garros et sa vie familiale, elle a quand même trouvé un créneau, ce soir, pour officialiser le parrainage qu'elle a noué avec l'option tennis du collège Saint-Jacques. Vous voilà marraine de l'option tennis du collège Saint-Jacques. Votre père, Michel, a joué les entremetteurs. Vous a-t-on forcé la main ?
Nathalie Dechy (en rigolant).- « Ah oui, complètement ! Non, sérieusement, mon père m'a parlé de ce projet. Je suis une grande fille, c'est moi qui dis "oui" ou "non". Il est vrai que je n'ai pas énormément de temps pour ce genre d'activité mais, une fois de temps en temps, j'aime prendre le temps. En plus, ça me rappelle des souvenirs. Enfant, j'étais moi-même dans un collège avec une section tennis aménagée de cette manière. » C'est donc pour cette raison que vous avez accepté ?
« Entre autres. Mais c'est aussi parce que j'aime revenir régulièrement dans ma région (Nathalie Dechy est originaire de Villeneuve-d'Ascq). Et encore parce que le fait d'avoir des enfants, ça sensibilise aussi à ces questions. » On vous dit attachée à votre région. Y revenez-vous souvent ?
« J'essaie de revenir régulièrement. D'autant que j'ai ma soeur qui est à Lille et qui a un petit du même âge que le mien et que mes parents sont toujours à Villeneuve. » Et Hazebrouck, vous connaissez ?
« Non, pas du tout. Mais je n'irai pas jusqu'à affirmer que je n'y suis jamais venue. J'ai fait beaucoup de déplacements dans la région quand j'étais plus jeune, mais je ne me souviens pas de tous. » Deux heures à la Tulipe noire : c'est une escale express que vous ferez à Hazebrouck ce soir.
« Je prendrai quand même le temps de voir les enfants, de discuter avec eux. En revanche, je ne pense pas m'entraîner vraiment sur les courts, je suis enceinte de cinq mois... » Votre vie de famille, votre travail de consultante, votre nouveau rôle au sein du comité de pilotage du tournoi de Roland-Garros... comment conciliez-vous tout ça ?
« Pour moi, c'est un super équilibre car je travaille par missions. J'ai des semaines bien occupées et des semaines plus tranquilles. En plus, comme mon garçon vient de démarrer la crèche, ça me soulage aussi un peu. Et puis j'ai aussi mon mari sur qui je peux compter et les grands-parents qui entrent également dans mon organisation ! » Est-il envisageable que les jeunes Hazebrouckois viennent vous voir à Roland-Garros l'année prochaine, dans le cadre du parrainage ?
« Ça me paraît compliqué. Roland-Garros, c'est la période la plus occupée de l'année. Entre mes nouvelles fonctions sur le tournoi, mon travail de consultante, le fait qu'à ce moment-là, je serais maman d'un tout petit bébé, eh bien, tout ça fait que ce sera difficile. » Un petit mot à l'adresse des jeunes qui vous attendront ce soir au club de tennis ?
« Qu'ils donnent le meilleur d'eux-mêmes tout en se faisant plaisir. »
Un concert privé de l'Orchestre national de Lille pour des élèves VDN 18/11/2011
Lundi, les élèves de seconde du lycée Saint-Jacques ont eu l'honneur de recevoir l'Orchestre national de Lille dans leur salle de sport, pour un concert privé.À l'origine de ce projet, Laurent Beclin, professeur de sciences physiques, qui s'occupe du programme culturel du lycée. Abonné à l'Orchestre national de Lille, il a osé aller frapper à la porte du responsable de la communication. Et a été bien reçu ! Trois à quatre fois par an, l'orchestre organise ce genre de concert à but pédagogique. Un intervenant passe en classe pour expliquer le fonctionnement de l'orchestre, puis les élèves assistent à un concert.
Les secondes ont pu écouter Chrysanthèmes de Giacomo Puccini, le Concerto pour flûte, harpe et orchestre de Mozart et la Symphonie no 4 de Piotr Tchaïkovski.
Nathalie Dechy en « guest star » à la Tulipe noire VDN 22/11/20111
Vendredi soir, la star de tennis Nathalie Dechy était très attendue au club de la Tulipe noire. En tant que marraine de l'option tennis du collège Saint-Jacques (notre édition de vendredi), elle est venue enseigner son savoir-faire aux jeunes Hazebrouckois. ...Après avoir distillé ses conseils et répondu aux questions des enfants, la joueuse, aujourd'hui retraitée des courts, a signé des dédicaces pour le plaisir de ses fans.
Nathalie Dechy rencontre ses filleuls L'Indicateur 23/11/2011
Vendredi soir, la championne de tennis, Nathalie Dechy était à Hazebrouck. Marraine de la section tennis créée au collège Saint-Jacques, elle a rencontré les élèves pour la première fois.Nathalie Dechy n'a pas boudé son plaisir, vendredi soir, lors de sa visite à la Tulipe noire. L'ex championne de tennis, devenue consultante pour Orange Sport s'est prêtée sans problème au jeu des photographes, des autographes et des questions des enfants. Les organisateurs, le collège Saint-Jacques et la Tulipe Noire avaient programmé plusieurs temps forts au cours de cette soirée comme une petite séance d'entraînement avec la championne. Nathalie Dechy a distillé des conseils techniques aux 17 élèves de 6e de l'option tennis mais n'a pas fait d'échanges, puisque la jeune femme attend un heureux événement pour 2012.
Puis la joueuse de Tennis, demi-finaliste à l'Open d'Australie et vainqueur de l'US Open en double, a donné une conférence de presse devant les enfants de la section tennis. Ces derniers avaient préparé cet exercice avec leur professeur de français. Elle est revenue sur sa carrière, ses débuts au FOS Tennis de Villeneuve d'Ascq, sa passion pour son sport « complet, où l'on apprend beaucoup de choses comme la patience, la victoire, la défaite, l'humilité... », sur ses souvenirs comme sa qualification pour les demi-finales de l'Open d'Australie face à Patty Snyder en trois sets « sous 35 ou 40°C. Le match a duré 3 h 30 .» Elle a aussi évoqué ses regrets comme la demi-finale perdue de justesse face à Lindsay Davenport, alors numéro un mondial ou le fait de ne pas avoir disputé la finale de Fed Cup à Moscou, remportée par la France en 2003. La joueuse était blessée. Elle a avoué son admiration pour Monica Seles ou Stefan Edberg tout comme ses craintes au moment de jouer Serena Williams Aujourd'hui retirée des courts, Nathalie Dechy officie à la télévision en tant que consultante pour Orange Sport. Elle est cette semaine à l'antenne pour commenter les Masters masculins de Londres. La jeune femme vient aussi d'entrer dans le comité de direction du tournoi de Roland-Garros. Malgré un emploi du temps chargé, Nathalie Dechy trouvera probablement un peu de temps pour aider l'option tennis qu'elle parraine. « Ma première initiative était de venir ce soir, pouvoir échanger. On va essayer de garder le contact » a-t-elle indiqué en soulignant qu'elle aussi était passée par une section tennis. Pour David Dereppe, responsable de la section tennis au collège Saint-Jacques, la visite était déjà exceptionnelle. Le professeur espère rester en contact avec la championne mais ne compte pas l'accaparer. « Les élèves sont à 300% grâce à cette rencontre » se réjouissait le professeur qui compte mettre en place une relation via internet et pourquoi pas organiser des rencontres lors des tournois que Nathalie Dechy commente.
L'Orchestre National de Lille à St-Jacques L'Indicateur 23/11/2011
Depuis plusieurs années, le lycée Saint-Jacques propose aux élèves volontaires des soirées culturelles à l'Opéra, au théâtre, aux musées.Cette démarche culturelle correspond à la volonté du Ministère d'inscrire une dimension artistique et culturelle dans leur projet d'établissement.Depuis deux ans, des négociations étaient en cours avec l'Orchestre National de Lille pour les faire venir à Saint Jacques. Le pari a été tenu ce lundi 14 novembre dans la salle Jean Bouin où l'orchestre a interprété devant près de 300 lycéens les oeuvres de Mozart « Concerto pour flûte, harpe, et orchestre, en ut majeur », Puccini « Chrysanthèmes » et Tchaïkovski « Symphonie n°4 en fa mineur ». Auparavant, les élèves avaient été sensibilisés par les intervenants professeurs de musique.
Une organisation parfaitement au point a permis à l'orchestre d'être installé en quelques heures par l'équipe technique rodée à ce type de déplacement.
Les élèves présents ont été particulièrement conquis par la qualité des oeuvres jouées, notamment quand on sait que la musique n'est plus une matière obligatoire en Lycée, même si une vingtaine d'élèves de Terminale présente l'option au bac.
Après le concert, les musiciens et le chef d'orchestre furent conviés à un petit goûter et dialoguèrent avec les élèves intéressés. Un moment exceptionnel, inoubliable qui fit le bonheur de la majorité des élèves et professeurs présents.
Formation des élèves délégués L'Indicateur 23/11/2011
Élèves de seconde du Lycée St-Jacques : les voici formés ! A l'initiative du Conseiller Principal d'Education du Lycée Saint-Jacques, les délégués élèves de seconde ont, durant deux matinées, suivi une formation de délégué de classe.
« Une aide précieuse, c'est le sens qu'il faut donner à ce mot formation » précise le CPE, en vue des premiers conseils de classe qui débuteront dès le premier décembre prochain.
Les voici donc prêts, ayant rencontré les différents membres du personnel qui font vivre l'établissement, maitrisant leur rôle de délégués de classe, leurs droits comme leurs devoirs.
La formation s'est terminée par une partie de bowling, un temps passé à l'extérieur de l'établissement, l'objectif étant de renforcer les liens entre les délégués de toutes les classes de seconde. Les élèves ont également été invités à une réflexion sur différents thèmes tels que l'intégration dans un nouvel établissement, les relations entre adultes et jeunes, la vie de la classe... A l'issue de cette formation, les délégués de classe ont élu leurs délégués de niveau, élèves qui représenteront le niveau des secondes au conseil d'établissement. Bravo à Edouard Verhoeven et à Victor Detavernier qui ont déjà beaucoup de projets en tête notamment pour le Téléthon des 2 et 3 décembre.
Sensibilisation au milieu carcéral L'Indicateur 23/11/2011
Une occasion supplémentaire pour eux de réfléchir à leurs actions, à leurs droits et à leurs devoirs. Dans le cadre des cours de Français en 3e et d'une réflexion sur la peine capitale - à l'occasion du 30e anniversaire de l'abolition de la peine de mort en France et du combat mené par Victor Hugo un siècle auparavant, les élèves du collège Saint-Jacques ont eu la chance de rencontrer, au cours d'une conférence interne, à l'initiative de Mme Dehaudt, enseignante au collège, deux agents pénitentiaires du CP Longuenesse : Philippe Dussart, surveillant brigadier, et Fabrice Marielle, lieutenant pénitentiaire.Ces intervenants ont su captiver leur auditoire en se mettant au niveau des élèves, novices dans ce domaine, et en ajustant la totalité de leur intervention sur les questions préparées par les élèves ; tout en faisant alterner anecdotes personnelles, vécues, et supports visuels pour étayer l'ensemble.
Une rencontre réussie ! Les jeunes sont sensibles au sujet de l'incarcération des mineurs et ont pu comprendre les circonstances qui mènent parfois à une détention inévitable.
La Flandre prête pour le Téléthon L'Indicateur 30/11/2011
Dans les villes et les villages, les associations se mobilisent pour collecter des dons. Les 2 et 3 décembre, le Téléthon va vivre sa vingt-cinquième édition. Au fil des années en Flandre, l'événement s'est étoffé.
De nombreuses associations ont souhaité apporter leur pierre à l'édifice en organisant un tournoi, une vente de crêpes, une randonnée...
Depuis le mois de septembre, le comité d'Hazebrouck est sur le front. Il prépare, sous la houlette de Claude Queste, son responsable, cette édition 2011 du Téléthon. « Nous avons commencé par envoyer des courriers aux différentes associations afin d'en toucher un maximum » explique le responsable, à la tête du comité d'Hazebrouck depuis cinq ans. Comme chaque année, les associations et les écoles ont répondu présentes. Il y a le noyau dur des fidèles comme les jardins ouvriers, les cyclotouristes, les sapeurs-pompiers ou le Lions Club.
« 90% des animations sont réalisées par les fidèles » souligne Claude Queste. Puis chaque année, de nouvelles initiatives viennent se greffer aux précédentes et grossissent la cagnotte versée par le comité hazebrouckois. En cinq ans, les dons versés par Hazebrouck ont pour ainsi dire doublé, les portant à 45 000 euros en 2010. Mais Hazebrouck n'est pas seule dans cette aventure. Le hameau de Sec-Bois et les villages de Wallon-Cappel, Caestre, Ebblinghem, Hondeghem ou Morbecque sont associés au comité du Téléthon d'Hazebrouck pour proposer un programme diversifié allant du vide-grenier au tournoi de poker en passant par un tournoi de Warhammer ou une flash mob.
Même si le Téléthon est associé au premier week-end de décembre, le comité d'Hazebrouck peut se targuer de mobiliser tout au long de l'année.En août dernier, les rencontres de montgolfières à Hazebrouck ont permis de collecter des dons, tout comme la dictée des élus, la soirée dansante organisées ces dernières semaines, une animation à Sercus ou encore la vente de porte-clés actuellement en cours dans les écoles. La mobilisation se poursuivra au-delà de ce week-end avec une rencontre de handi-basket autour de la championne hazebrouckoise Fabienne Saint-Omer, par exemple.
Toute la Flandre mobilisée
Plusieurs temps forts marqueront le week-end en Flandre et à Hazebrouck en particulier. Comme chaque année, l'institution Saint-Jacques se mobilisera aussi bien au lycée qu'au collège pour collecter un maximum de dons. « C'est un Téléthon dans le Téléthon » souligne Claude Queste. Parmi les nouveautés à Hazebrouck, le public pourra admirer les vieilles mécaniques du Rétro Tracto Sec Boisien qui circuleront dans les rues d'Hazebrouck et lanceront un appel aux dons.Autre nouveauté, un atelier de friandises sera installé sur la grandplace par les Papillons Blancs et l'atelier cuisine d'Orme Activités.
D'autres communes de Flandre, de Cassel à La Gorgue en passant par Steenvoorde, Arnèke ou Blaringhem, seront sur le pont lors de ce week-end avec souvent des programmes très étoffés. Parmi les temps forts du week-end, on retiendra la soirée de l'hypnose à Steenwerck, samedi soir, à la salle des sports avec Hervé Barbereau, remarqué dans « La France a un incroyable talent », l'émission de M6. Parmi les nombreuses initiatives en Flandre, on retiendra enfin la randonnée en joelette, ces espèces de pousse-pousse portant une personne handicapée et guidée par des coureurs. Cette aventure partira samedi de Saint-Sylvestre-Cappel pour rejoindre Armentières.Mises bout à bout, les innombrables initiatives en Flandre permettent de collecter d'importants dons. Mais les bénévoles restent persuadés que la Flandre pourrait en apporter plus. « Nous manquons de bénévoles, prêts à prendre en charge des manifestations. Les gens veulent bien nous aider mais pour organiser, c'est plus difficile » reconnaît Claude Queste, tout de même confiant pour cette édition 2011.
Après-midi volley-ball L'Indicateur 30/11/2011
Vu le succès de l'après midi et l'enthousiasme des lycéens un prochain rendez vous est d'ores et déjà fixé pour le 15 février au lycée St Denis à St-Omer.- Mercredi 16 novembre les lycées privés St Joseph, St Jacques , la Fondation Depoorter d'Hazebrouck et St Denis de St Omer se sont réunis pour un tournoi amical de volley ball.
L'esprit de l'après midi était de jouer avec fairplay dans une ambiance conviviale afin de favoriser les échanges entre des élèves d'orientations diverses.
L'ensemble des élèves a fait preuve de responsabilité et d'autonomie dans l'organisation et l'arbitrage des matchs. La plupart de ces élèves s'entraînent de façon régulière au sein de l'association sportive de leur établissement.
Visite de l'entreprise Van Den Casteele L'Indicateur 30/11/2011
Sûrement qu'à l'avenir, personne ne dégustera plus sa glace de la même façon !- Jeudi 17 novembre, les collégiens de Saint Jacques ayant choisi l'option « Découverte Professionnelle » en 3em e se sont rendus dans une PME locale : l'entreprise Van den Casteele à Saint Sylvestre Cappel.
Mme Verhille a commencé la visite par l'accueil au magasin puis a laissé la parole à M. Guilbert qui, après leur avoir demandé de revêtir les habits de circonstance (blouse, charlotte et sur-chaussures) leur a présenté les différentes étapes du processus de fabrication : pasteurisation, homogénéisation, refroidissement, maturation, moulage et décoration.
Les élèves ont observé le travail artisanal effectué dans chaque atelier. Ils ont vu les « pièces » stockées dans la chambre froide (- 28° !). Ils n'y sont pas restés longtemps. La visite s'est terminée par une dégustation conviviale. Les élèves et les adultes accompagnateurs ont apprécié la dextérité, la concentration et l'amabilité du personnel de cette entreprise.
Alice Decuyper reçoit le deuxième prix du concours de plaidoiries des lycéens VDN 10/12/2011
Alice Decuyper a reçu mercredi le deuxième prix du concours de plaidoiries des lycéens, lors de la finale régionale, au tribunal de grande instance de Lille. Cette élève de première économique et sociale du lycée Saint-Jacques a défendu un sujet sur la réduction des libertés aux États-Unis. L'expérience s'est avérée très instructive pour la lycéenne.Alice Decuyper, 16 ans, est en première économique et sociale au lycée Saint-Jacques et, depuis la rentrée, la lycéenne hazebrouckoise s'est lancé un défi, celui de participer au quinzième concours de plaidoiries des lycéens pour les Droits de l'Homme. « Au lycée, nous participons à un concours interne de plaidoiries. Je savais qu'il existait également la même chose au niveau régional. Alors, comme je travaillais déjà sur le sujet, je me suis dit : "pourquoi pas le tenter à un échelon plus élevé" », explique la lycéenne. Lors de ce concours régional, chaque lycéen (représentant un établissement) doit défendre un sujet concernant l'atteinte aux Droits de l'Homme.
Alice a alors choisi les États-Unis, « La Tempête sur les libertés américaines » précisément. Là encore, il ne s'agit pas d'un exposé, mais d'une véritable plaidoirie. « Il faut défendre son sujet et apporter son propre point de vue en la matière. C'est un travail complètement différent de l'exposé », précise Stéphanye Bonami, professeur de français au lycée Saint-Jacques. Dans cet exercice, la lycéenne est arrivée à convaincre le jury du concours, lors de la finale régionale, avec une deuxième place à la clé. Pendant dix minutes, Alice a ainsi défendu son opinion concernant la réduction des libertés aux États-Unis depuis le 11 septembre 2001 et l'augmentation des mesures de sécurité « J'ai choisi ce sujet parce que je savais que peu de monde le connaissait. Il s'agit d'expliquer pourquoi les libertés se sont réduites aux États-Unis après les attentats du 11 septembre. J'aborde alors la politique sécuritaire instaurée par le gouvernement américain, au travers de l'espionnagedu FBI, notamment, auprès des citoyens américains. Mais aussi les discriminations raciales qui existent encore dans ce pays et les conditions de détention à la prison de Guantanamo. »
Parmi les dix personnes du jury, il y avait des avocats, des journalistes, et aussi des professeurs. Il fallait ainsi réussir à les convaincre et résumer du mieux possible son sujet en faisant preuve de conviction et de détermination. « L'exercice n'est pas forcément évident, mais ça reste une expérience très enrichissante et une satisfaction puisque j'ai décroché le deuxième prix du concours. Je me sens plus à l'aise à l'oral maintenant . » Peut-être que cela lui donnera envie de participer à d'autres concours de plaidoiries.
Participation de haut niveau au cross national à Plouay. L'Indicateur 21/12/2011
Le week-end des 9 et 10 décembre, une élèves de Saint-Jacques partait pour dix longues heures de bus, en direction de Plouay (Morbihan).Accompagnée de M. Vandenberghe, Claire Mesmacques, élève de 2nde IV, au lycée St Jacques, a représenté l'établissement, lors du Championnat National de Cross Ugsel. Après s'être brillamment qualifiée lors des épreuves départementales puis régionale, Claire devait être confrontée à une centaine de participants de sa catégorie (cadette), dans une course de 3310 mètres. Heureusement, c'est sous un beau soleil que le championnat s'est déroulé, oubliant ainsi, le froid nordique. Après une course réussie et de haut niveau, à l'image de ses capacités, Claire s'est imposée 22e dans le classement National. Ce qui est une très belle performance ! Car il faut rappeler que Claire n'est pas issue d'un club sportif, contrairement à de nombreuses adversaires qualifiées. C'est par une utilisation optimale de ses capacités et un entraînement régulier, depuis quelques années (option Athlétisme au Collège St Jacques, puis Association Sportive de l'établissement), que Claire a réussi à prendre sa place dans la discipline. Bravo pour cette belle participation et merci d'avoir représenté l'Etablissement avec autant de convictions sportives. Espérons, pour elle, que ses prochaines rencontres sportives d'Athlétisme estivales lui permettront de se dévoiler à la hauteur de sa motivation
Visite de l'entreprise Bombardier à Crespin L'Indicateur 21/12/2011
Jeudi 15 décembre, les élèves du collège Saint-Jacques ayant choisi l'option « découverte professionnelle 3 H » en 3e se sont rendus dans une grande entreprise régionale : l'usine Bombardier à Crespin.M. Deboudt a commencé la visite d'entreprise par un diaporama en anglais. Puis une personne retraitée qui a travaillé 45 ans dans cette entreprise a pris le relais. Chacun a dû revêtir les coques de sécurité aux pieds, les lunettes de protection et bouchons d'oreilles. Puis a commencé la visite des différents ateliers : chaudronnerie pour la fabrication des trains, aménagement, câblage électrique (avec visite du labo train) puis l'atelier bogies (les roues du train pour les non initiés).
Les élèves ont pu observer les ouvriers au travail. Ils ont été surpris par le calme des bureaux, le bruit et les odeurs de certains ateliers. La visite s'est terminée par le témoignage d'une jeune dame, responsable du projet bogies, qui leur a expliqué que les femmes avaient aussi leur place dans l'industrie ferroviaire et qu'il était possible de concilier vie de famille et vie professionnelle à haut niveau. Elle a incité nos jeunes demoiselles comme les jeunes gens à poursuivre cette rencontre, plus tard, par une demande de stage dans l'entreprise Bombardier.
La chorale des amis anglais est venue chanter des charols L'Indicateur 28/12/2011
Les échanges franco-anglais de l'Institution Saint-Jacques ont connu un temps fort supplémentaire récemment avec l'accueil de la chorale de Queen Elizabeth's Grammar School de Faversham.A l'occasion du 10e anniversaire des échanges franco-anglais avec le Lycée St Jacques, la chorale de nos collègues anglais est venue chanter des charols, chants typiques anglais de Noël devant une chapelle comble.
Less amis anglais avaient promis de venir chanter dans la chapelle lorsque celle-ci serait reconstruite, parole tenue.
La trentaine d'élèves dirigés par Bonita Hammond font partie de l'option Musique et Chants du Lycée Queen Elizabeth's Grammar School.
Après les répétitions, ils ont pu visiter notre ville et participer à l'animation qui régnait sur la grand-place.
Les chants interprétés étaient entrecoupés de lectures bibliques lues en Anglais et Français racontant l'histoire de Noël. Cette manifestation culturo-linguistique était menée au profit du Téléthon.
Lors de son mot d'accueil, M. Bailleul, chef d'établissement salua l'initiative des professeurs anglais et remercia les professeurs français qui ont soutenu le projet à savoir Mme Pauwels, M. Saus et M. Delpierre.
Après la soirée, les élèves ont pu inaugurer le nouvel internat où ils ont dormi.
Au cours du mois de mars, les élèves titulaires du groupe théâtre devraient se rendre à Faversham pour animer une soirée franco-anglaise, toujours dans le cadre du jumelage franco-anglais entre Saint Jacques et Queen Elizabeth's Grammar School.
Sensibilisation des élèves de seconde par un professionnel de santé L'Indicateur 28/12/2011
Dans le cadre de leur programme de SVT, les élèves de seconde du lycée Saint-Jacques ont bénéficié du savoir et des conseils d'un professionnel de santé.M.Wieck, kiné du sport attaché à la Fédération Française d'Athlétisme (FFA) et kiné des équipes de France, a notamment précisé que la pratique d'une activité sportive est bonne pour la santé physique et mentale, mais qu'elle doit être progressive et régulière.
Décès de l'abbé Jean Coquant, ancien supérieur de Saint-Jacques VDN 17/01/2012
L'abbé Jean Coquant, ancien supérieur de Saint-Jacques, est décédé vendredi,
à l'âge de 81 ans, dans la cinquante-cinquième année de son sacerdoce.L'abbé Coquant avait d'abord été professeur de lettres classiques au petit séminaire Saint-François-d'Assise. De 1968 à 1971, il est devenu supérieur de l'institution Saint-Jacques, avant de rejoindre Tourcoing au poste de directeur du lycée Sacré-Coeur.
L'abbé Jean Coquant avait aussi été doyen d'Hazebrouck, puis vicaire épiscopal chargé du monde scolaire et universitaire. « Il avait gardé de solides attaches à Hazebrouck. Il venait régulièrement à la fête des anciens de Saint-Jacques, témoigne l'actuel directeur de l'institution, Jean-Pierre Bailleul. Il laissera le souvenir d'un prêtre et d'un homme de lettres d'une grande valeur et d'une grande culture. » L'abbé Jean Coquant était également chanoine titulaire du chapitre cathédral. Il avait assuré les fonctions de vicaire général, modérateur de la curie diocésaine.
Il s'était retiré à la résidence Notre-Dame-de-la-Treille. Sa famille était originaire de la ville d'Hem.
La messe de funérailles de l'abbé Jean Coquant sera célébrée demain, à 10 h, à la cathédrale Notre-Dame-de-la-Treille, place Gillesson à Lille. Il sera inhumé dans le caveau des chanoines, au cimetière de Lille-est. Le défunt ne souhaitait ni fleurs ni couronnes, mais un don à l'institut Pasteur est possible.
Jean Coquant à Saint-Jacques lire sur: http://stj.hazebrouck.pagesperso-orange.fr/stj_histoire/1962-1971.htm
Les jeunes défendent les droits de l'homme L'Indicateur 18/01/2012
Pour beaucoup, il s'agissait aussi d'une première prise de paroles en public. Soixante élèves de 1ere L et 1ere ES ont participé au Concours de Plaidoiries des Lycéens sur les Droits de l'Homme organisé par le Mémorial de Caen (Normandie).Deux jurys constitués d'enseignants, d'étudiants, d'anciens lauréats, d'élus, de personnalités participaient aux concours pour écouter les 23 sujets présentés par les élèves.
Ce concours de plaidoiries en interne permet à tous les élèves de profiter de cet exercice pour prendre la parole, de se préparer au TPE ainsi qu'à l'oral de français de fin d'année. Deux heures par semaine sont consacrées à la préparation de cette plaidoirie pour les premières littéraires et économiques et sociales.
Cette année, les élèves de Mmes Bonami et Tevenaz ont particulièrement brillé puisqu'Alice Decuyper a reçu le deuxième prix régional du concours en présentant son sujet sur la réduction des libertés aux Etats-Unis.
Le problème de la violation des Droits de l'Homme à travers le monde est particulièrement présent dans notre quotidien. Le premier jury a sélectionné : « Tempête sur les libertés américaines » ; « La malnutrition » ; « Les droits de l'enfant dans les pays totalitaires ». Le second jury a retenu les sujets suivants : « La violence faite aux hommes » ; « Des filles sans lettres » ; « STOP au patriot act ».
Les membres du jury ont félicité tous les élèves qui avaient sérieusement préparé leur sujet, il s'agissait d'un excellent exercice de réflexion sur les Droits de l'Homme. Pour beaucoup, il s'agissait aussi d'une première prise de paroles en public devant un jury d'adultes extérieurs à l'établissement.
Récital inaugural pour l'orgue de l'institution Saint-Jacques ce soir VDN 20/01/2012
Jean-Pierre Bailleul se réjouit à la perspective de l'inauguration. Le nouvel orgue est composé de douze jeux, huit cents tuyaux et pèse entre 2,5 et 3 tonnes.L'inauguration du nouvel orgue de la chapelle de l'institution Saint-Jacques d'Hazebrouck aura lieu ce soir. Une dernière page à tourner pour l'établissement afin que le traumatisme de l'incendie, qui avait ravagé le collège le 24 juin 2008, appartienne définitivement au passé.
Si la tribune de la chapelle du collège Saint-Jacques a retrouvé un orgue depuis mai, c'est la première fois ce soir que le public pourra entendre la musique s'élever de ses tuyaux. « Je garde en mémoire l'image de catastrophe du retable de la chapelle à ciel ouvert, se remémore Jean-Pierre Bailleul, directeur de l'établissement scolaire. Ce n'est que du bonheur que de pouvoir inaugurer le nouvel orgue ce soir.
» Celui-ci a d'abord été réglé puis harmonisé avant de servir à nouveau d'instrument d'exercice, depuis la fin du mois d'octobre, aux quatorze élèves organistes de l'école de musique d'Hazebrouck. « Cet instrument a besoin d'être rodé pendant deux ans, explique Jérôme Faucheur, professeur d'orgue depuis trente-cinq ans. À l'image du vin, il faut le laisser vieillir. Celui de la chapelle, c'est un peu comme le beaujolais nouveau. » Jérôme Faucheur aura la joie de partager sa passion avec le public en interprétant le récital inaugural. « J'ai choisi des pièces digestes pour tous, afin de respecter ceux qui découvrent cet instrument, précise l'organiste. Les morceaux que j'interprète vont du XVIIIe siècle à nos jours, sur le thème d'un voyage d'orgue autour du monde. » Le concert sera précédé de la bénédiction du nouvel orgue par Mgr Ulrich, évêque de Lille. « Il a été l'un des premiers à venir nous apporter du réconfort après le sinistre », souligne le directeur de Saint-Jacques.
Le nouvel instrument, fabriqué par la manufacture d'orgues d'Yves Fossaert (installée en Seine-et-Marne), a coûté un peu plus de 197 800 E . Si l'assurance a pris en charge 80 % de cette somme, le soutien d'institutions comme la municipalité d'Hazebrouck mais aussi d'associations et de particuliers s'est révélé indispensable pour réunir le reste des fonds. « Au regard du coût, la question s'est posée de remplacer l'orgue réduit en cendres dans l'incendie, rappelle Jean-Pierre Bailleul. L'instrument, ainsi que la chapelle et le retable appartiennent au patrimoine culturel et cultuel flamand. Et puis je pense à tous ceux qui sont passés ici et qui sont partis évangéliser le monde. Remplacer l'instrument, c'est aussi laisser une trace de leur vécu ici. »
Inauguration de l'orgue de la chapelle de l'institution Saint-Jacques, aujourd'hui à 18 h 30, au 60, rue Warein (entrée du collège).
L'institution Saint-Jacques a inauguré son nouvel orgue VDN 22/01/2012
Mgr Ulrich a béni le nouvel orgue de Saint-Jacques.Les bancs de la chapelle de l'institution Saint-Jacques n'étaient pas tournés vers l'autel mais vers la tribune, vendredi soir. Les auditeurs, venus en nombre, pouvaient ainsi assister à la bénédiction du nouvel orgue, remplaçant celui détruit dans l'incendie de 2008.
Jean-Pierre Bailleul, directeur de Saint-Jacques, a tenu à remercier les donateurs qui ont permis le financement du nouvel instrument. « C'est assez rare qu'une institution privée recrée un orgue », a souligné Yves Fossaert, le facteur d'orgue qui a dirigé les travaux.
Mgr Ulrich, archevêque de Lille, a ensuite béni l'instrument. « La musique polyphonique de l'orgue exprime la joie de la foi des chrétiens », a-t-il expliqué avant de procéder à un rituel spécifique où l'orgue répond au célébrant. Il régnait un silence absolu dans l'assemblée qui entendait pour la première fois des notes s'élever des tuyaux de l'instrument.
Jean-Pierre Bailleul a repris la parole pour faire part des derniers travaux qu'il compte réaliser dans l'établissement : mettre en valeur la cloche de la chapelle qui n'a pas été endommagée dans l'incendie et aménager une chambre qui rappelle le passage de l'abbé Lemire à Saint-Jacques.
Dans un registre laïc cette fois, Jean-Pierre Allossery, maire d'Hazebrouck a salué « le rôle de l'institution dans la vie culturelle d'Hazebrouck ». La soirée s'est poursuivie avec le récital de Jérôme Faucheur, professeur à l'école de musique de la ville, qui dispense des cours à quatorze élèves dans cette même chapelle.
Une quinzaine de lycéens de Saint-Jacques pénalisés par les horaires de train VDN 24/01/2012
L'établissement a créé une carte provisoire d'arrivée tardive pour les élèves pénalisés par les trains. À l'institution Saint-Jacques d'Hazebrouck, de nombreux élèves prennent quotidiennement le train. Depuis la mise en
place du cadencement en décembre et le début des travaux entre Arras et Hazebrouck, une quinzaine de lycéens arrivent en retard le matin. L'établissement et les familles s'organisent pour
trouver des solutions.Maxime, Jeanne et Benoît font partie de la quinzaine d'élèves qui accusent des retards systématiques en cours le matin quand ils commencent à 8 h 10. Ils empruntent tous les trois la ligne Arras - Calais, aux arrêts de Lillers et Isbergues, et arrivent à 8 h 04 en gare d'Hazebrouck, quelques secondes avant le retentissement de la première sonnerie.
Élèves de première scientifique, Maxime et Benoît ratent un quart d'heure de maths les lundis et mardis. Pour Jeanne, c'est quinze minutes de SVT qui passent à la trappe le mardi. « On pose un problème au professeur qui est obligé de s'arrêter, déclare Maxime. Le corrigé des exercices est encore au tableau mais nous n'avons pas les explications orales qui l'accompagnent. » Les trois lycéens sont également en retard pour les devoirs surveillés le jeudi et le cours d'accompagnement personnalisé le vendredi.
L'établissement a tenté de s'adapter. « Nous avons repris les emplois du temps des élèves qui ne pouvaient plus arriver à l'heure et nous les avons changés de classe ou de groupe lorsque c'était possible, avance Reynald Czainski, conseiller principal d'éducation. La quinzaine d'élèves qui demeurent pénalisés bénéficient d'une carte provisoire d'arrivée tardive qui leur permet de se rendre directement en classe. » Ces derniers prennent en majorité le train aux arrêts desservis entre Béthune et Hazebrouck et à Steenwerck.
Qualité de la vie scolaire
Jean-Pierre Bailleul, directeur de Saint-Jacques, a multiplié les courriers pour faire part des difficultés des lycéens. « Je ne fais pas toutes ces démarches pour embêter les gens mais pour participer au confort de la vie scolaire des élèves », tient-il à préciser. La crainte du directeur ? Le risque que des familles décident de changer leurs enfants d'établissement.
« Avec les travaux entre Arras et Hazebrouck, le nombre de trains en circulation est réduit, ce qui modifie les horaires, explique François Loridan, chef de projet régional pour le cadencement à la SNCF. À la fin du mois de mai, les usagers pourront arriver à 7 h 39 à Hazebrouck, comme prévu en période normale de cadencement. Pour Steenwerck, il ne faut pas oublier qu'il s'agit de transport de masse. Les horaires sont construits en fonction du volume des passagers. Pour les TER, c'est le conseil régional qui nous transmet ses demandes. » D'autres lycéens de Flandre intérieure sont également pénalisés, notamment à l'Institut et au lycée Saint-Joseph. Au lycée Sainte-Marie de Bailleul, le directeur a choisi de reculer l'heure du début des cours (notre édition du 13 décembre). « Nous avons aussi réfléchi à décaler les horaires le matin, témoigne Jean-Pierre Bailleul. Ce faisant, nous aurions réduit la pause pour le repas du midi. Cela aurait augmenté le nombre de repas à servir. Il aurait aussi fallu modifier les horaires du collège puisque certains professeurs enseignent dans les deux entités et les collégiens fréquentent le même self que les lycéens. » En attendant, les familles des lycéens de Saint-Jacques s'organisent. Les parents de Maxime et Benoît les conduisent le jeudi pour les devoirs surveillés.
Même chose pour la maman de Jeanne lorsqu'elle le peut. Certains élèves prennent un bus ou un train plus tôt qui les fait arriver aux environs de 7 h à Hazebrouck, synonyme pour eux de journées à rallonge. « Certains parents m'ont demandé la liste des élèves qui partent des mêmes villages pour mettre en place du co-voiturage, notamment à Steenwerck », rapporte le directeur. Ce dernier ne manquera sûrement pas de revenir sur ces difficultés lors des prochains comités de ligne, au mois de mars.
La renaissance de l'orgue de la chapelle L'Indicateur 25/01/2012
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C'est l'épilogue de trois années de travaux qui ont été nécessaires pour reconstruire le collège Saint-Jacques ravagé par un terrible incendie en 2008. M gr Ulrich, évêque de Lille, a béni, vendredi soir, l'orgue de la chapelle, qui résonne à nouveau. Jamais l'orgue de la chapelle n'avait été inauguré au sein de l'institution Saint-Jacques. L'orgue parti en fumée un certain 24 juin 2008 lors du terrible incendie qui a ravagé une partie du collège n'avait pas été inauguré en raison de la guerre de 1870. Cette fois, c'est fait. Vendredi soir, Mgr Laurent Ulrich, évêque de Lille a béni l'orgue qui trône fièrement dans la chapelle Saint-Jacques. C'est le dernier acte de près de trois années de reconstruction. Le 24 juin 2008, un terrible incendie se déclare dans le collège et ravage la chapelle de l'institution. « Il est parti en fumée et en poussière. Rien n'est resté de l'orgue, si ce n'est une pièce commémorative » a rappelé Jean-Pierre Bailleul, directeur de l'institution. Petit à petit la partie du collège Saint-Jacques endommagée, puis l'internat, puis la chapelle et enfin l'orgue ont été reconstruits. Près de 198 000 euros auront été nécessaires pour reconstruire l'orgue de la chapelle. Certes l'assurance a pris en charge 80% de la somme mais il fallait financer le reste. Jean-Pierre Bailleul, l'admet. « Sans aucune hésitation, la décision fut prise de reconstruire le collège. Quant à la chapelle, au retable et à l'orgue, ce fut plus difficile » a-t-il indiqué. Mais l'engagement de la ville a pesé dans la décision de faire l'investissement. En effet, au-delà de l'accompagnement des célébrations, l'orgue de la chapelle est un outil pédagogique au service de l'école de musique qui forme aussi des organistes. Comme l'a souligné Jean-Pierre Bailleul, ce partenariat date des années 70. En 1977, le père Albert Braems avait signé avec Amand Moriss, alors maire, une convention associant le Petit séminaire et la ville. Ce partenariat se poursuit aujourd'hui. « Eveille-toi, orgue... » La réfection de l'orgue a également été possible grâce aux nombreux donateurs. Des associations, des clubs-services, des écoles, des collectivités et des particuliers ont versé des dons et subventions afin de participer au financement de cette reconstruction. Grâce à cette générosité, l'orgue résonne à nouveau dans la chapelle. Lors de la bénédiction prononcée par l'évêque, chaque invocation était ponctuée d'un choral d'orgues joué par Jérôme Faucheur, organiste et professeur d'orgue à Hazebrouck. « Eveille-toi, orgue, instrument sacré, entonne la louange de Dieu... » a invoqué l'évêque et l'orgue s'est remis à jouer. Pour montrer la diversité des thèmes du nouvel instrument, Jérôme Faucheur avait choisi parmi les thèmes des 79 chorals de Marcel Dupré. A l'issue de cette bénédiction, le public est resté pour assister au premier récital d'orgue proposé dans la chapelle rénovée. Jérôme Faucheur a offert un voyage d'orgue autour du monde à travers huit interprétations. Heureux d'entendre résonner à nouveau l'orgue dans l'établissement, Jean-Pierre Bailleul espère désormais voir ses soirées culturelles et lyriques se multiplier. |
Le Théâtre du Nord à Saint-Jacques L'Indicateur 25/01/2012
Une centaine d'élèves de première L, ES et STG ont été particulièrement enchantés par la prestation des acteurs, le dialogue entre eux a été d'une très grande richesse. Une centaine d'élèves de première L, ES et STG ont été particulièrement enchantés par la prestation des acteurs, le dialogue entre eux a été d'une très grande richesse.- Six acteurs du Théâtre du Nord sont venus au lycée Saint-Jacques lundi 9 janvier afin de présenter les avant-scènes, c'est-à-dire des formes théâtrales légères conçues par des artistes.
Ce sont des textes d'auteurs différents destinées à être jouées partout là où le théâtre n'a pas sa place d'ordinaire et principalement devant ceux qui n'ont , pour la plupart, pas encore franchi les portes du Théâtre du Nord, elles sont aussi l'occasion de susciter le dialogue avec le public à l'issue immédiate de la représentation.
Cette saison, Tiphaine Raffier, comédienne issue de la deuxième promotion de l'EpsAd prend les rênes de cette aventure « hors des murs » qui a lieu du 9 au 21 janvier à travers tous les lycées demandeurs de la région Nord/Pas-de-Calais.
Découverte des activités sportives de montagne en Savoie au lycée Saint Jacques L'Indicateur 01/02/2012
C'est dans la station des Carroz d'Arâches, en Savoie, que s'est déroulé le stage sportif proposé aux lycéens de Saint-Jacques.49 élèves ont ainsi participé à cette découverte des activités sportives de montagne. Le programme était intense avec de la randonnée en raquettes, du ski alpin, du snow-board mais aussi une initiation au secours en montagne. Les élèves ont vécu durant cette semaine une belle expérience qui a permis également de développer des compétences plus transversales comme l'autonomie, le dépassement de soi, la responsabilisation, l'ouverture vers le monde extérieur...
L'orientation est aussi spirituelle L'Indicateur 08/02/2012
A quelques mois du bac, ce séjour leur a offert les moyens de se sentir en confiance et de mettre du sens à leur vie.Intitulé « Une pause dans ta vie, un élan pour ta vie », ce séjour était proposé par l'enseignement catholique à tous ces élèves en classe de Terminale.
Durant trois jours, ils se sont retrouvés à la maison diocésaine d'accueil de Merville avec une centaine d'autres jeunes de Terminale de tout le département.
Au programme : des partages entre jeunes, des cours de philosophie appliquée à la vie quotidienne, des témoignages sous formes variées ; notamment un concert ; une démarche inédite de « relecture de vie », des temps de réflexion personnelle, des temps de prière pour ceux qui sont croyants et pour ceux qui sont non croyants : un éveil à l'intériorité.Les thèmes ont été variés à l'image de leurs attentes : la famille, les relations humaines, l'amour et l'affectivité, l'avenir étudiant et professionnel, leurs projets de vie.Tous sont revenus enchantés de cette démarche exceptionnelle.
Visite de l'aéroport de Lesquin L'Indicateur 29/02/2012
Des milliers d'élèves flamands rendent hommage aux victimes VDN 21/03/2012
À Saint-Jacques, les élèvesont prié pour les
victimesHier, à 11 h, les établissements scolaires hazebrouckois ont respecté l'hommage
national rendu aux victimes de la tuerie de Toulouse, lundi matin. Au collège catholique Saint-Jacques, c'est dans la tristesse qu'enseignants et enfants ont respecté une minute de silence.Dans une classe de sixième, la professeur de lettres, Geneviève Deboudt a souhaité faire parler ses élèves à propos « des choses importantes qui se sont passés ces derniers jours ». Face à elle, ils sont une vingtaine à écouter. Certains viennent d'apprendre la nouvelle, d'autres ont déjà entendu l'information et ont beaucoup de choses à dire. Comme Benjamin qui ne comprend pas « ce plaisir de tuer », ou Théo qui évoque « la peur que ça recommence ».
Entre stupeur et incompréhension, chacun s'interroge. Pourquoi tant de haine ? Pourquoi ces enfants ? Les jeunes sixièmes reconnaissent ne plus se sentir en sécurité devant leur collège, et craindre les scooters noirs, comme celui utilisé par le tueur. Mais Jean-Pierre Bailleul, le directeur, invite à ne pas tomber dans « la psychose ». « Nous devons être attentif mais il ne faut pas avoir trop peur », poursuit Geneviève Deboudt, avant de réciter le Notre Père avec sa classe « pour soutenir les familles et pour que le tueur arrête ».
Un dépôt de gerbe aura lieu aujourd'hui, à 11 h, au monument aux morts de Caestre pour rendre hommage aux militaires tués à Toulouse et Montauban. Il est organisé par l'Union nationale des parachutistes du Nord.
Les lycéens de Saint-Jacques à Porz-Am-Rhein VDN 24/03/2012
Mercredi, une quinzaine de jeunes du lycée Saint-Jacques ont quittéleurs correspondants allemands du lycée Maximilian-Kolbe à Porz-Am-Rhein, près de Cologne.Au programme de la semaine, notamment, la visite de la Maison de l'histoire allemande de Bonn, l'ascension de la tour sud de la cathédrale de Cologne, un rallye pour découvrir la ville, une initiation à l'escalade en salle... Ils ont aussi visité la maison natale de Beethoven (notre photo).
Retrouvailles VDN 22/03/2012
Au collège Saint-Jacques, la chambre de l'abbé Lemire a été restaurée VDN 27/03/2012
Samedi après-midi, au collège Saint-Jacques, Jean-Pierre Bailleul,
directeur, a invité les membres de l'association Mémoire vivante de l'abbé Lemire et les visiteurs à découvrir la chambre-bureau de l'abbé Lemire.« Il n'y avait aucune trace de son passage dans l'établissement, aucune plaque commémorative. J'ai souhaité que la chambre où il avait habité quand il était professeur soit remise en état », a précisé le chef d'établissement, à l'initiative de cette restauration. Située sous les toits et inutilisée depuis longtemps, la pièce a échappé à l'incendie du 24 juin 2008. À l'origine, il s'agissait d'une des trente cellules faisant partie du couvent des Capucins.
Le modeste local fut occupé pendant quinze ans par l'abbé Lemire, professeur de philosophie et de rhétorique de 1878 à 1893. La chambre-bureau de l'ecclésiastique a été restaurée en toute simplicité : un lit et une table composent le mobilier, n'y manquent que la bibliothèque et ses livres. C'est dans cette pièce que Jules Lemire a rédigé son premier ouvrage, L'Abbé Dehaene et la Flandre, publié en 1892. Quelques panneaux avec photos retracent son passage au sein du collège. Élève de 1866 à 1872, surveillant, séminariste et enfin professeur aimé de ses élèves, l'abbé Lemire aura passé de longues années dans l'établissement avant de rejoindre Paris pour y effectuer son mandat de député.
En souvenir de l'Abbé Lemire L'Indicateur 28/03/2012
La chambre est située dans le cloître tout près de la chapelle. Elle a été épargnée lors de l'incendie qui a ravagé le collège en 2008. La chambre est située dans le cloître tout près de la chapelle. Elle a été épargnée lors de l'incendie qui a ravagé le collège en 2008.A l'occasion de l'assemblée générale de l'association Mémoire Abbé-Lemire, une salle commémorative a été inaugurée au sein du collège Saint-Jacques Samedi, à l'issue de l'assemblée générale de l'association Mémoire Abbé Lemire, présidée par Gilbert Louchart, une salle a été inaugurée au sein du collège Saint-Jacques.
Elle rappelle le passage de l'abbé Lemire, en tant qu'élève et professeur au sein du Petit séminaire devenu l'institution Saint-Jacques.
Cette salle est située à deux pas de la chapelle, tout près de l'orgue. Epargnée par l'incendie qui a ravagé l'établissement en juin 2008, mais tout de même abîmée, cette petite chambre a été rénovée. Un lit et un bureau ont été installés tout comme des panneaux retraçant le parcours de l'abbé Lemire. Comme le souligne Jean-Michel Saus du collège Saint-Jacques, ces panneaux ont été réalisés à partir des archives de l'association Mémoire Abbé Lemire mais aussi des documents trouvés aux archives diocésaines ou dans les tiroirs de l'institution Saint-Jacques. Ces panneaux s'intéressent à l'élève Jules Lemire de 1866 à 1872 puis au professeur et le regard que portaient envers lui, ses élèves. L'exposition évoque également Jacques Dehaene, le maître à penser de l'abbé Lemire, professeur. Grâce à cette reconstitution, le collège Saint-Jacques se souvient du passage de l'abbé Lemire dans ses murs. « Il n'y avait rien jusqu'à présent qui évoquait son passage » précisent Jean-Michel Saus et Jean-Pierre Bailleul, directeur de l'institution. Cette salle pourra faire l'objet de visites. Les élèves du collège Saint-Jacques la visiteront et feront davantage connaissance avec l'abbé Lemire.Jusqu'à présent, rien ne rappelait le passage de l'abbé Lemire au sein du collège
Parution des cahiers
Cette inauguration ponctuait l'assemblée générale de l'association Mémoire Abbé-Lemire. L'association poursuit son travail pour faire connaître l'oeuvre de l'ancien député-maire d'Hazebrouck. Elle a accueilli plus de cinq cents élèves à la maison Abbé-Lemire. Elle a aussi accueilli plus de 220 visiteurs à la maison , lors des visites gratuites, chaque premier dimanche du mois. L'association a également donné huit conférences un peu partout dans la région. Les principaux projets de l'association se concentrent depuis plusieurs années autour de la publication des cahiers de l'abbé Lemire. En effet, ce dernier tenait un journal. Après un long travail de retranscription et de recherche, l'association envisage de publier ces cahiers en 2013. Dans ces cahiers, l'abbé Lemire livre ses impressions sur la naissance de la République, la séparation de l'Eglise et de l'Etat ou la première guerre mondiale. « C'est un regard sur l'histoire avec un grand H » souligne Gilbert Louchart.
Lycée Saint-Jacques Une journée à Paris pour des élèves de seconde et de première L'Indicateur 28/03/2012
Au programme de l'enseignement d'exploration LITTERATURE ET SOCIETE, parmi les thèmes d'étude, un intérêt particulier est porté à la découverte de l'Autre et de l'Ailleurs, aussi les professeurs de cet enseignement ont organisé une visite du musée Guimet : ce musée est l'un des fonds les plus importants en Europe sur les arts et les civilisations d'Asie.Cette découverte fut l'occasion de s'ouvrir à une autre civilisation et à une autre forme d'art par le biais de l'admiration.
L'après-midi a été consacrée à la visite du salon du livre de Paris, car le travail de l'écrivain est également au coeur de cet enseignement d'exploration.
Les élèves ont pu admirer des expositions : sur la culture Manga, sur les héros de la littérature... Ils ont pu assister à des conférences et rencontrer des auteurs. Quelques mois auparavant ils avaient déjà eu la chance de rencontrer l'auteur Hazebrouckois : Philippe Declerck venu témoigner à l'occasion de la sortie de son livre Triple Meurtre à Hazebrouck. Enfin le salon du livre est également l'occasion de découvrir des écoles et des métiers du livre et de constater concrètement que la section littéraire ne manque pas de ressources et d'ouvertures.
Les collégiens de Saint-Jacques ont levé les yeux vers les étoiles VDN 02/04/2012
Tout au long de la semaine, les élèves de Saint-Jacques ont disposé d'une exposition prêtée par la Coupole d'Helfaut, centre d'histoire et de la mémoire.Composée de quinze panneaux, elle était intitulée Hommes et femmes de l'espace, les premiers homo icarius. À l'initiative des professeurs de géographie des classes de troisième, elle a servi de support à une nouvelle épreuve du brevet, l'histoire des arts.
Lien entre art et sciences
Chaque enseignant a trouvé un intérêt à décliner différemment sa matière, que ce soit en français, en anglais, en mathématiques ou en arts plastiques. « Il s'agit de travailler avec les élèves sur la compétition pour l'espace que se livraient Soviétiques et les Américains et d'analyser les progrès scientifiques et techniques. Et, pour faire le lien entre les arts et les sciences, les techniques et l'espace, chaque panneau est associé à une oeuvre d'art, comme Le Vol d'Icare, ou la couverture de "On a marché sur la lune », commente Philippe Brouteele, professeur.
Lycée Saint Jacques Echange franco-allemand L'Indicateur 04/04/2012
Du 14 au 21 mars, une quinzaine de jeunes du lycée Saint Jacques ont séjourné chez leurs correspondants du lycée Maximilian Kolbe de Porz-am-Rhein, ville jumelée avec Hazebrouck depuis plus de 30 ans, qui se situe près de Cologne.Au programme se trouvaient la visite de « la maison de l'histoire allemande » de Bonn, la montée à la tour sud de la cathédrale de Cologne, un rallye pour découvrir la ville, la découverte de l'escalade en salle... Ils ont aussi visité la maison natale de Beethoven (notre photo). Les correspondants allemands seront reçus au lycée Saint Jacques du 9 au 16 mai.
Collège St Jacques Pérennité de l'échange scolaire franco-britannique Godinton-Saint-Jacques L'Indicateur 04/04/2012
Depuis maintenant cinq ans, la Godinton Primary School, école primaire anglaise située à Ashford (Kent), reçoit les élèves du collège Saint-Jacques.Cette année, plus de quarante élèves de la section européenne du niveau 4e ont bénéficié de l'accueil chaleureux qui leur fut réservé Outre-manche.La prochaine visite des écoliers d'Ashford à Saint-Jacques est désormais envisagée pour le début de l'année scolaire 2012-2013.
Jean-Pierre Bailleul, directeur de Saint-Jacques pour la dernière année VDN 08/04/2012
Jean-Pierre Bailleul vit aujourd'hui sa dernière fête de Pâques dans son logement à Saint-Jacques et dans ses fonctions de directeur de l'institution, qu'il occupe depuis vingt-cinq ans. Il a fait valoir ses droits à la retraite.Jean-Pierre Bailleul est un peu comme Saint-Jacques : c'est une institution à lui tout seul à Hazebrouck et en Flandre intérieure. Vingt-cinq ans de direction de l'établissement, ça vous installe son homme dans le paysage et aussi dans le coeur des enseignants et des élèves dont il aura été le directeur et le guide spirituel.Fils d'agriculteurs
C'est un véritable repère que cet homme affable à l'autorité souriante mais ferme, qui baigne dans l'amour de son métier, de ses élèves et même de ses voisins. Un homme profondément marqué par les valeurs de travail dans lesquelles il est né, voici soixante-deux ans, au sein d'une famille d'agriculteurs hazebrouckois ayant eu quatre enfants. « Je suis profondément reconnaissant à mes parents d'avoir pu faire des études, en plus dans le privé, c'était un sacrifice coûteux », lance-t-il bien vite en retraçant son parcours qui se confond avec la Flandre : les écoles Saint-Jules et Saint-Joseph puis Saint-Jacques - où, déjà, son grand-père maternel avait été élève - jusqu'au bac littéraire, puis une licence d'histoire-géographie à Lille, d'abord à la « Catho » pour terminer comme le voulait la règle obligatoire à l'université de Lille III afin que le diplôme soit validé.
Dès 1972, Jean-Pierre Bailleul demande au supérieur de Saint-Jacques s'il peut occuper un poste de surveillant, histoire de gagner un peu d'argent pour soulager le budget familial. Après sa licence, il enseigne quelques heures de français et de maths à l'Institut agricole, puis d'histoire et géographie l'année suivante à Saint-Jacques avant de se voir proposer un poste à temps complet en histoire et géographie au collège et au lycée Saint-Jacques en 1975.
Directeur depuis 1987
Jean-Pierre Bailleul devient responsable de cycle en 6e et 5e à Jeanne-d'Arc en 1979, puis directeur adjoint au lycée en 1980 et enfin directeur en 1987 après une année d'intérim en 1986. Parallèlement à cette carrière professionnelle très linéaire, Jean-Pierre Bailleul s'est marié à une Steenbecquoise, Véronique. Ils ont eu trois enfants. En plus d'un engagement très fort dans son métier - on peut se demander quand il arrête de travailler, tant on le voit toujours « sur le pont » à Saint-Jacques, mêmes les week-ends et les jours fériés - Jean-Pierre Bailleul a quand même trouvé le temps pour des activités associatives. Il a été des fondateurs de l'Association de sauvegarde des chapelles en Flandre avec l'abbé Devianne, Michel Staes et Maurice Colemyn en 1979. Association dans laquelle des élèves du lycée se sont investis hors du temps scolaire pour des chantiers de restauration de chapelles. Le métier n'est jamais bien loin... Il a aussi été administrateur du Crédit immobilier et « je suis un petit peu au Comité flamand », confesse-t-il, comme gêné de ne pas pouvoir y consacrer plus de temps. « Ma fonction de directeur me mange énormément, reconnaît-il. On ne peut pas tout faire, il faut savoir se limiter. » Le don de soi dans son métier, Jean-Pierre Bailleul ne le limite pourtant pas. Mais il avoue avec plaisir que tout le relationnel que cela implique lui apporte beaucoup et il ne se plaint guère : comme un bon Flamand qui respecte car ici, on ne se plaint pas, on travaille !
Des souvenirs cruels mais aussi heureux
Quand on lui demande ses pires souvenirs de directeur, Jean-Pierre Bailleul n'hésite pas une fraction de seconde pour parler des décès d'élèves, comme Mélanie, Steenvordoise tuée un matin en traversant le passage protégé de la rue Warein, ou d'autres qui ont choisi de mettre fin à leurs jours, un professeur aussi... Des blessures que le directeur porte en lui, sur lesquelles il reste discret. Heureusement, il y a aussi de bons souvenirs et il choisit de citer une catégorie qui en regorge : toutes les récompenses obtenues par ses élèves dans des concours, comme celui de notre confrèreLe Figaro. Il lui a permis, jeune professeur, de les emmener tous passer dix jours en Angleterre à Pâques : « Il y a des élèves qui m'en parlent encore. J'en suis fier, car beaucoup d'entre eux n'auraient jamais pu s'y rendre sans ce concours. » Il est comme ça Jean-Pierre Bailleul, il partage même ses bonheurs avec ses élèves. Au fait, on le sait peu, mais il a toujours tenu à assurer quelques heures d'enseignement chaque semaine en plus de ses fonctions de directeur. Que fera-t-il pendant sa retraite ? À ceux qui le lui demandent, il répond en souriant : « Je vais d'abord m'arrêter, observer et regarder. » Depuis l'incendie de Saint-Jacques en juin 2008, il n'en a guère eu le temps en dehors du métier pour faire renaître l'institution de ses cendres.
Depuis lundi matin, une équipe venue du Danemark a élu domicile au lycée Saint-Jacques.
Une soixantaine de gymnastes et de musiciens et leurs encadrants, venus du lycée danois Randers Realskol, ont assuré des spectacles d'acrobaties.Les athlètes viennent d'une école réputée, d'où des sportifs de haut niveau sortent chaque année. C'est M. Delaire, ancien Hazebrouckois parti enseigner l'allemand dans l'école danoise, qui a proposé le spectacle au directeur de Saint-Jacques, Jean-Pierre Bailleul. Lequel a apprécié les multiples intérêts de l'échange. Plusieurs représentations ont eu lieu dans la cour du lycée. Jeudi, tous les élèves flamands ont applaudi les Scandinaves. Le spectacle, d'une durée d'une heure, était composé de danse, de théâtre, et surtout d'acrobaties réalisées par une vingtaine d'athlètes de 9 à 30 ans. Certains d'entre eux sont champions d'Europe.
Avec le lever de drapeau, l'interprétation des hymnes nationaux, l'acclamation du public et la distribution de leurs badges aux spectateurs, les Danois ont eu l'impression de participer à une grande compétition.
Classement des lycées : quatre Hazebrouckois bien placés VDN 07/04/2012
Le ministère de l'Éducation a dévoilé les résultats et indicateurs de valeur ajoutée pour l'année 2011 (voir nos éditions d'hier et jeudi). Dans le classement régional, quatre lycées de Flandre intérieure figurent en bonne place : le lycée Saint-Joseph, le lycée des Flandres, le lycée Saint-Jacques et le lycée Fondation-Depoorter, tous situés à Hazebrouck.
Le lycée technique Saint-Joseph campe à la seconde place (sur cent vingt-sept) du classement des lycées professionnels. Son directeur, Franck Olivier, ne peut que s'en réjouir. « C'est sûrement grâce à l'accompagnement personnalisé, avance-t-il. Nos points forts, c'est l'implication complète des équipes et l'attention portée à chaque élève. » L'internat et l'étude obligatoire chaque soir sont, pour le proviseur, un plus pour son établissement. L'année dernière, le lycée Saint-Joseph occupait déjà la deuxième place. « C'est sûr qu'on ne peut être que contents de cette constance. »
Dans le classement des lycées généraux, c'est le lycée Saint-Jacques qui représente en premier la Flandre intérieure. Il arrive treizième et gagne pas moins de trente-six places. « C'est mieux que l'année dernière. Treizième, ça se défend, souligne Jean-Pierre Bailleul, le chef de l'établissement. C'est le reflet de l'investissement, de l'engagement de tous les professeurs mais aussi des éducateurs (...).
» Concernant le calcul de taux d'accès de la première à la terminale utilisé pour le classement, le proviseur émet cependant une réserve : « Plus on a d'élèves, plus on a de possibilités d'en perdre. » Les pertes ou gains d'élèves entre la première et la terminale ne semblent pas selon lui un bon indicatif de calcul pour un classement de ce type.
ReCommencer, Re-Vivre et Vivre Heureux ! L'Indicateur 25/04/2012
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Lundi 16 avril, l'ensemble des élèves de Première du lycée Saint
Jacques, toutes classes confondues, ont eu la chance de participer à un
forum plein de ressources pour leur vie ! Le thème choisi était celui de
l'Enseignement Catholique pour l'année en cours : Re-commencer, Re-Vivre
et Vivre Heureux.Les élèves ont pu assister à deux carrefours de découverte et d'échange sur des thèmes très variés. Treize intervenants sont venus au total pour partager leurs engagements, leurs convictions, leurs récits de vie ou leurs expériences autour des re-commencements de vie et du bonheur.
Ainsi, lundi après-midi au lycée, l'on pouvait croiser : l'équipe médicale de prélèvement d'organes du CHU d'Armentières et l'ADOT (association pour le don d'organes), Amnesty International, les Alcooliques Anonymes, la fédération Handisport du Nord, les Clowns de l'Espoir, le Père Innocent Niyimbona venu du Burundi, Soeur Agnès David qui travaille à l'accueil des migrants sur Paris,les réalisatrices du film « Par rues et par vies » de Lille, l'équipe d'animation et d'ergothérapie de la maison Clairefontaine d'Hazebrouck, la Gendarmerie Nationale, M. Foster (franco-américain ) et Olivier Lemire, écrivain et auteur de « L'esprit du chemin ».
Les élèves ont souligné la passion et l'implication de ces invités d'un jour, qui leur ont permis de se plonger dans la découverte et la réflexion avec curiosité. Une après-midi différente qui leur a apporté des connaissances mais surtout l'occasion de redonner un sens à leurs choix de vie ou de les conforter dans leurs propres engagements.
Les lycéens s'emparent de New-York pour une semaine L'Indicateur 25/04/2012
Une
vingtaine d'élèves de terminale du lycée Saint-Jacques sont en voyage
à New-York avec deux professeurs d'anglais. Ils ont décollé de
Bruxelles le vendredi 20 avril et séjourneront dans la ville américaine
pendant une semaine.Au programme de leur séjour : visites du quartier de Times Square, de Central Park, du muséum d'histoire naturelle, d'Ellis Island et de l'incontournable Statue de la Liberté. Le groupe s'est rendu sur la Cinquième Avenue, à Broadway. Ils ont investi les quartiers d'affaires, l' Empire State Building, Wall Street, et quartiers tels que Little Italy et Chinatown. Le groupe de jeunes et leurs accompagneurs sont hébergés dans une auberge de jeunesse new-yorkaise. Le retour en France est prévu pour le 27 avril en milieu de journée.
Une 4e place aux championnats de gymnastique acrobatique L'Indicateur 25/04/2012
Mercredi
18 avril ont eu lieu les championnats académiques de gymnastique
acrobatique. Après une très belle compétition des gymnastes en
gymnastique artistique il y a 15 jours à La Madeleine (l'équipe fille
comme l'équipe garçon sont champions académiques et sont qualifiés
pour la 6e année consécutive aux championnats de France de gymnastique
artistiques les 30 et 31 mai prochain à Valenciennes), l'équipe de
gymnastique acrobatique (enchaînement de pyramides) n'a pas démérité
à Feignies.En effet, après un championnat départemental à Valenciennes en demi teinte (9e sur 9 équipes présentes) il y a 3 semaines, Les jeunes Hazebrouckoises (Coralie Caucheteur, Alix Malbranque, Pauline Delassus, Lisa Legrand, Solène Zeroual et Agnès Kerckove) se sont dépassées pour décrocher la 4 e place (sur 9 équipes) aux championnats académiques de gymnastique acrobatique à Feignies.
Les anciens élèves de Saint-François-d'Assise et Saint-Jacques réunis pour une journée VDN 28/04/2012
Organisée
par Bernard Balloy, la traditionnelle réunion des anciens élèves de
Saint-François-d'Assise et de Saint-Jacques s'est déroulée jeudi au
collège Saint-Jacques.Les anciens se sont réunis. Jean-Pierre Bailleul,
directeur, était présent.Les retrouvailles ont été, comme à l'accoutumée, empreintes d'émotion et d'un esprit de franche camaraderie. Cinquante anciens élèves sont venus de toute la région pour assister à la journée de rencontre qui a débuté avec une messe célébrée dans la chapelle.
Beaucoup d'entre eux ont été marqués par leurs années d'élèves, parfois difficiles, mais qui leur ont laissé de bons souvenirs et, certains le soulignent, une formation solide. Des photos des différentes réunions étaient exposées dans le réfectoire.
Un concert sur le nouvel orgue. Cette rencontre annuelle existe depuis 2005. Elle a commencé avec la promotion 1962 et s'est ouverte aux autres promotions en 2008. Un bon noyau d'anciens s'y retrouve tous les ans, d'autres viennent ponctuellement.
« On fait le maximum pour contacter le plus grand nombre d'anciens élèves, c'est par Internet qu'on y arrive le mieux, mais ce n'est quand même pas évident », souligne Bernard Balloy.
Après le repas, tous ont regagné la chapelle afin d'assister au concert interprété, sur le nouvel orgue, par Gérard Monborne. L'organiste a régalé son public avec des morceaux choisis de Bach, Bizet, Haëndel, Pachelbel, ou encore de Saint-Preux.La prochaine réunion des anciens est déjà prévue, elle aura lieu le jeudi 18 avril 2013.
Trente élèves du lycée Saint-Jacques ont visité New-York pendant une semaine VDN 29/04/2012
L'Espiègle
n'est pas l'unique chanceuse à avoir eu l'occasion de se rendre à
New-York ...Trente élèves en terminales au lycée Saint-Jacques
reviennent eux aussi d'un voyage de six jours dans « la grosse pomme »
(surnom donné à New-York).Ils sont rentrés jeudi. Sur place, les lycéens et leurs profs se sont rendus à Ellis Island (l'île où arrivaient les immigrés), ont visité plusieurs musées, ont découvert la Columbia University (une des plus prestigieuses universités américaines) et ont pu admirer la ville de jour comme de nuit du haut des plus grands buildings.
Ils se sont également arrêtés au mémorial du 11 Septembre, à Ground Zero, là où s'élevaient les Twin Towers avant les attentats. Pour Sandrine Lagatie, leur professeure d'anglais, cette visite a été particulièrement marquante. « J'ai été assez émue de me retrouver à cet endroit, nous a-t-elle expliqué. L'été 2001, je me trouvais à New-York et j'ai pu monter sur le toit d'une tour... » Quelques semaines à peine avant les effroyables événements qu'on connaît. Entre culture, mémoire et histoire, le voyage a été bien rempli. Certains élèves ont même fait un tour en limousine.Le rêve américain !
Une nouvelle salle d'étude en construction au lycée Saint-Jacques VDN 02/05/2012
C'est
certainement le dernier chantier que supervise Jean-Pierre Bailleul, en
tant que directeur de Saint-Jacques. Les vacances scolaires sont
effectivement mises à profit pour débuter le gros oeuvre de la création
d'une salle d'étude au lycée, qui sera située au-dessus du centre de
documentation.« Ce chantier est encore une conséquence de l'incendie du collège en 2008, puisque nous avions perdu une salle d'étude. Nous nous sommes rabattus sur le lycée, où l'une des quatre salles de sport a été réaménagée en salle d'étude. Mais les professeurs de sport souhaitent la récupérer.
» C'est vers l'ancien internat des garçons, dans la partie haute du bâtiment, que le directeur nous conduit. Le chantier est impressionnant : le plancher, les murs et la charpente sont à nu. « Le bâtiment date de 1893, rappelle Jean-Pierre Bailleul. Il faut donc traiter le bois, changer les poutres trop abîmées et modifier la toiture. » Le chantier de rénovation qui s'élève à 480 000 E est financé à hauteur de 170 000 E par le conseil régional.
La fin de la première phase est prévue pour la fin de l'été. Il restera ensuite l'agencement intérieur qui se poursuivra dans la foulée. Cent vingt places seront disponibles. D'autres travaux sont déjà prévus au lycée. Un ascenseur sera installé favorisant ainsi l'accès aux personnes à mobilité réduite, l'accueil sera réaménagé ainsi que les laboratoires de sciences physiques.
Échange linguistique : des élèves allemands reçus à la mairie VDN 16/05/2012
Quatorze élèves du collège Maximilien-Kolbe de Porz am Rhein ont été reçus par des élèves du collège Saint-Jacques.
Arrivé il y a une semaine de Porz am Rhein en Allemagne, un groupe de quatorze élèves
du collège Maximilien-Kolbe a été reçu à la mairie, vendredi, par Jean-Paul Duval, conseiller municipal en charge du jumelage. « Ces rencontres ont pour but d'améliorer notre niveau linguistique », rappelle Jean-Pierre Bailleul, chef d'établissement au collège Saint-Jacques.
Accompagnés par Rosi Feyen, professeur de français au collège de Porz am Rhein, les élèves vont visiter la région, assister aux cours à Saint-Jacques et découvrir la ville d'Hazebrouck
Rendez-vous des Anciens de Saint-Jacques et du Séminaire L'Indicateur 16/05/2012
La rencontre retrouvailles des Anciens de Saint-François d'Assise et de Saint-Jacques s'est déroulée dans les locaux de l'Institution Saint-Jacques jeudi 26 avril, pendant les vacances scolaires.
Une cinquantaine d'Anciens ont répondu présents à l'appel de Bernard Balloy, organisateur de cette rencontre devenue annuelle.
Après l'accueil dans les locaux restaurés, les Anciens se réunirent dans la Grande Chapelle pour suivre la messe concélébrée par les Abbés Xavier Lescroart, Jacques Heyman et Jean-Marie Louf. Les chants furent accompagnés à l'orgue par Gérard Monborne.
Hommage fut rendu aux Anciens souffrants ou disparus, notamment l'Abbé Jean Coquant, ancien professeur et supérieur de Saint-Jacques, fidèle aux rencontres des Anciens décédé en Janvier 2012.
Lors des nombreux débats engagés par les Anciens au cours des agapes, il fut longuement question d'un ancien de Saint-Jacques de 1968 qui est devenu Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Française du Cap-Vert. Il s'agit de Philippe Barbry.
Après le repas, les Anciens ont pu écouter pendant une heure un concert donné par Gérard Monborne sur l'orgue rénové. Il nous mena avec ravissement à travers les grands musiciens de l'époque moderne et contemporaine (Jean-Sébastien Bach, Bizet, Saint Preux et Haëndel).
Les Anciens qui avaient le temps et le souhait ont pu visiter les locaux du Lycée et notamment les travaux en cours concernant la construction d'une grande salle d'études au 2e étage de la Rue de la Sous-Préfecture. Les Anciens ravis de cette journée ont pris rendez-vous pour la nouvelle rencontre le jeudi 18 avril 2013.
Le Théâtre des Ateliers sur scène VDN 16/05/2012
Mercredi 16 mai à 20 h à Espace Flandre, la troupe du Théâtre des Ateliers 3e du Collège Saint-Jacques présentera son 17e opus : « La cage aux oiseaux ».
Que se passe-t-il quand un dictateur prend le pouvoir ? Inspirés par l'actualité du printemps 2011, les élèves et l'équipe des adultes du collège ont transformé cette réflexion en une comédie musicale où le rire, la danse, le théâtre, la musique et la créativité seront au rendez-vous.
Entrée : 6 euros (- de 16 ans 3 euros). Ouverture des portes dès 19 h.
La cage aux oiseaux s'est ouverte pour laisser s'envoler Jean-Pierre Bailleul VDN 20/05/2012
Mercredi soir, l'atelier théâtre du collège Saint-Jacques proposait une comédie musicale.
Les quatre-vingt-neuf comédiens de la troupe ont fait entrer le public dans La Cage aux oiseaux.
L'histoire ? Les enfants recueillis dans une fondation doivent travailler car c'est la crise ! Mais un contremaître exigeant devient vite un dictateur et met les rebelles en prison. Heureusement Scoubidou et sa bande seront là pour les aider à poursuivre le combat et à rêver. Entre saynètes, danses et chansons, les comédiens en herbe ont traité le thème de la dictature sur le ton de l'humour.
Le public, nombreux, aura également remarqué de nombreuses références à l'actualité, notamment politique. Ainsi, la dernière campagne en date, au son de la chanson Si j'étais président, a pris des allures de grande fête. Il s'en est fallu de peu que le public ne se mette à danser.
La soirée a été dédiée à Jean-Pierre Bailleul, directeur, qui quittera l'établissement fin juin. En ouverture de la soirée, un diaporama surprise a retracé la carrière du « bâtisseur » de l'institution.
Le deuxième tournoi régional de handball a eu lieu mercredi, à la salle Jean-Bouin. VDN 19/05/2012
Mercredi après-midi, dans la salle Jean-Bouin, le deuxième tournoi régional
de handball a opposé les benjamins de Saint-Jacques à ceux de Saint-Adrien de Villeneuve-d'Ascq.
Après avoir gagné le premier tournoi, les Hazebrouckois avaient à coeur de remporter la compétition dans leur salle. Les rencontres étaient arbitrées par Romain Boveron et Baptiste Hervé, lycéens à Saint-Jacques, joueurs et arbitres au HBH 71. Les deux équipes de Saint-Jacques ont gagné leurs matches et n'ont pas réussi à se départager. Après avoir remporté les deux tournois régionaux, les benjamins garçons du collège Saint-Jacques remportent le titre de champions régionaux de handball UGSEL (Union générale sportive de l'enseignement libre). « Ils ont montré une belle combativité, de la solidarité et une envie de réussir ensemble », note David Dereppe, professeur d'EPS à Saint-Jacques. « Le but de ces rencontres est de donner aux jeunes le goût des compétitions scolaires », conclut Étienne Cauliez, professeurs d'EPS de Saint-Adrien. •
Voici le résultat des rencontres : SJH 1 - SJH 2 : 11-1 ;, SJH 2 - Saint-Adrien : 9- ;, SJH 1 - Saint-Adrien : 11-6 .
Le théâtre du Songe présente son dernier spectacle L'Indicateur 23/05/2012
A l'occasion de son ultime représentation, les élèves de l'atelier théâtre du lycée Saint Jacques donneront un spectacle intitulé « L'Ecologie ».L'aventure du théâtre du Songe se refermera avec ce 15e anniversaire et le départ de Jean-Pierre Bailleul, directeur, qui a toujours soutenu et encouragé les activités artistiques dans son établissement.
Pour l'occasion les élèves présenteront une série de textes traitant de manière très humoristique des grands thèmes de l'écologie et des écologistes. Humour garanti, chansons et musiques jalonneront ce spectacle mis en scène par Raphaël Larroque et la Compagnie William Red.
C'est également l'occasion pour tous ceux et celles qui souhaitent saluer « artistiquement » et dans la bonne humeur, le départ de Jean-Pierre Bailleul, de passer une bonne soirée.
Rendez-vous à Espace Flandre le mardi 29 mai à 20 h 30.
Réservations au lycée Saint Jacques, rue de la Sous-Préfecture : 03 28 41 98 92.
Beaux résultats en sports L'Indicateur 23/05/2012
Le championnat National UGSEL de Gymnastique s'est déroulé les 11, 12 et 13 mai à Mondeville près de Caen. Deux lycéens de Saint-Jacques, sélectionnés pour le National, s'y sont rendus avec leur professeur d'EPS Elisabeth Dillies, et se sont distingués.Il s'agit de Victor Louchart, cadet en Excellence I qui est arrivé 3e en saut de cheval et en sol ; Sophie Lemaire, cadette en Excellence I qui est arrivée 3e au classement général et aux quatre agrès (poutre, sol, barres asymétriques et saut de cheval) et est Championne de France au saut de cheval. Tous deux s'entraînent avec assiduité dans leurs clubs respectifs à Bailleul et Estaires.
En Athlétisme
Le Championnat Régional Cadets Juniors d'Athlétisme s'est déroulé mercredi 16 mai à Lens. Trois cadettes et juniors filles se sont qualifiés pour le championnat de France à Bordeaux les 1er et 2 juin. Résultats : Morgane Pattin 2e au triple saut, 3e en longueur, 3 e au 100 m, 3e au 200 m ; Marion Maeght 1re au 400 m, 2e en longueur, 2e en hauteur ; Claire Mesmacque 3e au 800 m, Victor de Tavernier 8e au javelot.
Remise des Palmes académiques à Jean-Marie Beck VDN 28/05/2012
Vendredi, à l'Institution Saint-Jacques, le directeur, Jean-Pierre Bailleul
a remis les Palmes académiques à Jean-Marie Beck. Le récipiendaire a été professeur de sciences physiques dans l'établissement de 1978 à 2009, après avoir enseigné quelques années à l'EPID de Dunkerque et à Laon.Dans son allocution, Jean-Pierre Bailleul s'est appuyé sur les rapports d'inspection de Jean-Marie Beck au cours de sa carrière. L'enseignant est qualifié de « maître dévoué », de « professeur chevronné et passionné qui a le souci permanent de ses élèves ».
Homme de laboratoire, « sorte de Mac Gyver toujours en train de préparer et de fabriquer du matériel pour ses expérimentations, il a terminé sa carrière comme agrégé hors classe », a rappelé Jean-Pierre Bailleul.
Devant ses parents, amis et anciens collègues, Jean-Marie Beck a évoqué avec émotion le souvenir de son épouse Élisabeth, disparue voilà un an et qui rendait de nombreux services à Saint-Jacques, au sein de la catéchèse et du service d'orientation notamment. Il a ensuite exprimé sa gratitude à tous ceux qui l'ont entouré dans sa carrière, notamment ses collègues et Jean-Pierre Bailleul, mais aussi son fils Alexandre qui, après de brillantes études supérieures, est docteur en sciences physiques.
La découverte du sport à la mode anglaise VDN 04/06/2012
Mercredi, cinquante-huit élèves du collège Saint-Jacques sont allés à Faversham, en Angleterre, chez leurs homologues de la Queen's Elizabeth Grammar School pour des rencontres autour d'activités sportives : football, tennis, basket-ball et athlétisme. Ils ont pu s'initier au « rounders », sport britannique comparable au base-ball. Les collégiens français se sont vus remettre le trophée du vainqueur, qui restera à Saint-Jacques durant une année.
Les championnats de France de course d'orientation de l'Union générale et sportive VDN 06/06/2012
Les championnats de France de course d'orientation de l'Union générale et sportive
de l'enseignement libre(UGSEL) s'est disputé ce week-end 0 LaFeclaz en Savoie. La première journée était dédiée au courses par équipe, la second aux courses en ligne.Dans la catégorie sixièmes-cinquièmes, Jean-Lou Loingeville a été le plus fort. Il remporte le titre de champion de France.
Ses camarades hazebrouckois n'ont pas démérité : Clément Decrock (sixièmes-cinquièmes) finit à la neuvième place, Lucas Ledoux (quatrièmes-troisièmes) termine vingt-neuvième. Nicolas Mahieu est dix-huitième chez les lycéens.
Après 25 ans de direction, Jean-Pierre Bailleul prend sa retraite L'Indicateur 13/06/2012
Jean-Pierre Bailleul a marqué de son empreinte l'Institution Saint-Jacques. Il y a fait ses études, puis y a enseigné avant d'en être le directeur durant vingt-cinq années.Le 31 août prochain, une page de l'histoire de l'Institution Saint-Jacques va se tourner. Son directeur Jean-Pierre Bailleul, présent depuis 1987, quittera son poste pour prendre sa retraite.
L'Institution Saint-Jacques, de la rue Warein à la rue de la Sous-Préfecture, Jean-Pierre Bailleul en connaît les moindres recoins. Il y a fait ses études à une époque où le baccalauréat n'était pas le passage obligé pour tout écolier. Dernier d'une famille de quatre enfants, Jean-Pierre Bailleul n'oublie pas les sacrifices de ses parents pour qu'il puisse faire des études d'histoire-géographie. Pour ne pas être à la charge de ses parents, Jean-Pierre Bailleul a commencé comme surveillant à l'Institution Saint-Jacques. Il était aussi correspondant pour le journal La Croix du Nord.
C'est en 1975 qu'il entre définitivement à Saint-Jacques en tant que professeur. « L'abbé Delannoy m'a interpellé dans la rue à la sortie. T'as cinq minutes pour réfléchir » se souvient celui qui ne fut finalement professeur que quatre années à temps plein. Dès 1979, Jean-Pierre Bailleul prend du galon en devenant responsable de cycle des 6e et 5e. Puis en 1980, l'abbé Jaeger, devenu depuis évêque, lui cède sa place pour s'occuper des classes du lycée. Tout naturellement, lorsque le directeur de l'Institution est contraint de cesser son activité pour raison de santé, le diocèse demande à Jean-Pierre Bailleul d'en prendre la direction.
A l'heure de regarder dans le rétroviseur, Jean-Pierre Bailleul n'est pas seulement celui qui s'est battu pour reconstruire le collège et la chapelle Saint-Jacques après le terrible incendie de 2008. Il est un des bâtisseurs de l'Institution avec l'acquisition du collège à l'évêché ou l'extension du lycée avec une vingtaine de classes supplémentaires, deux restaurants scolaires ou le site tertiaire. Il avait également acquis le « petit Saint-Jacques », rue de Merville à la Sainte Famille d'Amiens avant de le vendre à la ville d'Hazebrouck pour le pôle musique.
Malgré ces actes fondateurs, le directeur veut rester modeste sur son action. « On ne sait pas toujours ce qu'on sème. Quand on met une pierre sur un mur, on sait qu'on la retrouve » déclare cet homme, attaché à la terre et à la Flandre.
Le directeur pourrait être fier de son parcours, des réussites de son établissement, qui font que l'Institution Saint-Jacques est un des établissements les mieux classés de la région. Mais Jean-Pierre Bailleul se méfie des étiquettes. Tous les matins, il jette un coup d'oeil à la presse locale pour être au courant de l'actualité, ce que peuvent vivre les familles. « Quand je lis qu'une entreprise va fermer, je pense à mes familles, à leurs souffrances » explique le directeur, préoccupé aussi de ce qui se dit sur son établissement. « Je suis sensible à ce qui est écrit » confie-t-il, toujours inquiet de manquer à sa tache. Cette volonté de toujours vouloir bien faire est probablement le moteur du directeur, qui a aussi marqué l'histoire de l'Institution par sa longévité à cette fonction. « Je suis probablement fier d'avoir duré longtemps, d'avoir eu la santé pour le faire. Mais il ne faut pas croire qu'on est indispensable » tempère-t-il. Durant vingt-cinq ans, Jean-Pierre Bailleul a su « fédérer » en rappelant qu'un directeur est nommé par le diocèse, tout en convaincant le rectorat, l'association de gestion, le conseil d'administration sans oublier « le personnel, les enseignants et les familles». Le directeur d'un établissement privé doit remplir trois missions, l'une est pédagogique, l'autre est administrative et la troisième est pastorale. Mais Jean-Pierre Bailleul reconnaît que la partie administrative prend l'ascendant sur les deux autres.
Ne pas manquer à sa tâche
A l'heure de passer la main, Jean-Pierre Bailleul n'a pas envisagé de quitter la fonction de directeur tout en restant professeur. Passionné par l'enseignement certes, il assure toujours une heure d'éducation civique, il est encore plus attaché à la richesse de la fonction de direction. « Dès que j'ai pris une responsabilité, j'ai mis le bras dedans » reconnaît le directeur, qui avait besoin d'être ouvert sur le monde pour trouver l'équilibre. Mais le poids des années commence à être lourd à porter. « Dans ce métier, il faut être réactif » souligne le futur retraité, fatigué par les réformes constantes du baccalauréat. En trente-cinq ans de carrière, le monde scolaire a bien changé. Les nouvelles technologies ont fait leur entrée dans les classes, dans les cours de récréation. Le baccalauréat s'est massifié. Les familles ont également évolué tout comme le corps professoral. « Il faut encourager les jeunes à être enseignant » constate le directeur, inquiet de manquer de professeurs. De nombreux enseignants, considérés comme des piliers de l'Institution, quittent l'établissement, pour cause de retraite. Mais Jean-Pierre Bailleul se félicite de voir que la relève est assurée. D'autres professeurs, pour certains anciens élèves, prennent le chemin de leurs aînés,attachés aux valeurs de l'établissement. « Les départs sont le plus souvent liés à des rapprochements familiaux » analyse le directeur.
Evidemment, vingt-cinq années de direction ne laissent pas que des bons souvenirs. Jean-Pierre Bailleul n'oubliera pas le jour où Mélanie, jeune collégienne, trouve la mort devant le collège, renversée sur la route. L'émotion l'envahit aussi lorsqu'il parle du suicide d'un professeur, de la mort de certains élèves ou de membres du personnel OGEC. Evidemment, le 24 juin 2008, date de l'incendie du collège, restera une date gravée dans sa mémoire. Il se souvient de cette fumée qui se dégage de l'établissement et de son sentiment d'impuissance face à l'évolution rapide du feu. L'Institution meurtrie, il avait promis de partir une fois la reconstruction terminée. « Quand on reçoit un bien, on a une pierre à l'essai, on se doit de le rendre dans l'état où on l'a eu » affirme Jean-Pierre Bailleul, sur le départ, avec le sentiment du devoir accompli.
Après plusieurs cérémonies organisées par les élèves pour rendre hommage à leur directeur, une réception officielle aura lieu, samedi. Il y recevra les insignes d'officier des palmes académiques. Une autre réception sera organisée avec le personnel, fin juin. Il sera alors temps de préparer avec son successeur la rentrée prochaine et de penser à la suite. « J'ai pris conseil auprès des autres. Ils m'ont dit de ne pas dire "oui" trop vite ». Alors Jean-Pierre Bailleul va « prendre le temps d'observer, de regarder, d'analyser et de choisir si besoin est ».
Trois élèves ont fait honneur à la langue française L'Indicateur 13/06/2012
L'Association des membres de l'ordre des palmes académiques (Amopa) a remis un prix à trois élèves du collège Saint-Jacques.La qualité d'expression écrite de ces trois collégiennes a été récompensée lors du concours de défense de la langue française auquel les a inscrites leur professeur de français, Mm e Chrétien. Les élèves primés en 5e sont Louise Dalenne, qui a remporté le premier prix départemental et est 3e accessit national, et Juliette Delaleau, qui décroche le deuxième prix. En 4e, Hortense Debavelaere reçoit le deuxième prix départemental.
Championnat de France de course d'orientation L'Indicateur 13/06/2012
Le Collège et le Lycée Saint-Jacques d'Hazebrouck avaient 4 représentants lors de ces championnats. Après une première journée de course par équipe où nos élèves n'ont pas démérité, une deuxième journée en course en ligne était organisée.
Les résultats des élèves sont très intéressants puisque le collège 1 (6e/5e) Jean-Lou Loingeville est champion de France UGSEL de course d'orientation 2012. Les autres n'ont pas démérité : Clément Decrock (collège 1) à la 9e place, Lucas Ledoux (collège 2 : 4e/3e ) à la 29e place, Nicolas Mahieu (lycéen) à la 18e place.
Rendez-vous pris pour l'année prochaine dans le Finistère pour la 11e édition.
Départ de Jean-Pierre Bailleul : une page de l'histoire de Saint-Jacques se tourne L'Indicateur 20/06/202
Jean-Pierre Bailleul passera bientôt le flambeau à Dominique Leterme, son successeur à la tête de l'institution Saint-Jacques.
Samedi, l'institution Saint-Jacques célébrait le départ en retraite de son directeur Jean-Pierre Bailleul. De nombreux hommages lui ont été rendus à cette occasion.Après une introduction musicale au violoncelle par Marion Loridan, professeur d'espagnol, la place fut laissée aux discours des différentes intervenants. Ainsi, Charles Minne, directeur de l'OGEC, retraça la vie et la carrière du 14e directeur de l'établissement, ancien élève puis professeur d'histoire-géographie à Saint-Jacques. Sandrine Prince, présidente de l'APEL, Marie-Claude Tribout, directrice diocésaine ou encore Jean-Pierre Allossery se succédèrent au micro pour le remercier de son investissement. Jean-Philippe Le Guevel, ancien directeur du lycée Depoorter que Jean-Pierre Bailleul avait lui-même décoré des palmes académiques en 2010, était lui aussi présent pour rendre hommage à son ancien collègue. « Tu as toujours eu le souci que tout se passe bien pour tes élèves mais aussi pour chacun de nos établissements.
C'est à l'homme que je veux adresser ce merci. C'est à cause de ce que tu es, de tes valeurs et de ta foi que tu as pu accomplir cette tâche. » Les enseignants, personnels et membres de la famille de Jean-Pierre Bailleul se sont ensuite succédé sur scène pour lui rendre hommage de différentes façons. Ainsi, plusieurs chansons ont été arrangées pour correspondre à la situation : « J'me voyais déjà » de Charles Aznavour, « We are the champions » de Freddie Mercury devenue « Your are a champion Jean-Pierre », « Le Plat Pays » de Jacques Brel ou encore « Femme, femme, femme » de Serge Lama. Son épouse, Véronique, a interprété « Je connais des bateaux » de Mannick, accompagnée à la guitare par un ami d'enfance, avant de laisser place à leurs enfants Thomas, Emilie et Adrien, qui se sont souvenus avec humour de leurs jeunes années à Saint-Jacques.
Après avoir remercié les intervenants, Jean-Pierre Bailleul s'est exprimé sur ce que fut son travail à Saint-Jacques. « J'ai toujours souhaité travailler dans le but de maintenir une bonne image de Saint-Jacques, sa réputation à travers la Flandre et la région. C'est un outil de travail qui fait vivre plus de 160 personnes dont les deux tiers sont arrivés pendant ma direction. En résumé, nous avons une mission et on ne fait pas n'importe quoi. » A l'issue de la cérémonie, les palmes académiques lui furent décernées officiellement par Alfred Foy, quoi qu'il les ait déjà obtenues il y a trois ans, peu après l'incendie de la chapelle. « Je n'avais pas le coeur ni l'envie de faire une cérémonie spéciale à ce sujet, j'ai donc attendu un événement heureux pour la ressortir et vous en parler. » Jean-Pierre Bailleul passe à présent le flambeau à Dominique Leterme mais ne tourne pas tout à fait le dos à Saint-Jacques. Il restera en effet président du comité de sauvegarde de la chapelle et président d'honneur de l'association des anciens élèves.
Championnat de France d'Athlétisme UGSEL L'Indicateur 20/06/202
Le rendez-vous est pris l'année prochaine pour une nouvelle saison d'Athlétisme.
C'est à Bordeaux qu'ont eu lieu les championnats de France UGSEL d'Athlétisme en catégorie Cadets Juniors début juin.Le Lycée Saint-Jacques était représenté par trois filles qui n'ont pas démérité face à de nombreuses adversaires de club.C'est Claire Mesmacque qui a ramené une belle médaille de bronze sur le 800 mètres. Morgane Pattin et Marion Maeght se sont aussi bien comportées : Morgane 6 e et 7e sur le 200 mètres et le triple saut, Marion 6e sur le 400 mètres.
Benjamins et minimes
Le 6 juin à Bruay la Buissière ont eu lieu les championnats d'Athlétisme UGSEL pour les benjamins et minimes. Le Collège Saint-Jacques était bien représenté avec ses 30 participants. Ils ont récolté neuf médailles dont deux titres de champion régional.
Six d'entre eux sont qualifiés pour les championnats de France UGSEL à Villeneuve d'Ascq les 20 et 21 juin prochains.
Le palmarès de ces championnats régionaux est le suivant : Mathilde Boudringhin (BF), 3e au poids et au disque ; Tanguy Brochart (BG), 2e au 1.000 mètres et qualifié pour le championnat de France ; Perrine Connart (MF), 1ére au 100 mètres, 2e au 50 mètres et qualifiée pour le championnat de France et 3e au triple saut ; Anne Baratte (MF), 3e au saut en longueur et qualifiée pour le championnat de France ; Julie Hane (MF), 3e au 50 mètres ; Relais 4 x 60 mètres (MF), 1er et qualifié pour le championnat de France (Perrine Connart, Anne Baratte, Julie Hane, Manon Loingeville et Coraline Baudens).
Bilan annuel de l'Association Sportive L'Indicateur 20/06/202
Après le France d'athlétisme B/M des 20 et 21 juin prochains, le rendez-vous est pris pour une nouvelle année de sport en 2012/2013.
- C'est mercredi 13 juin qu'a eu lieu à Saint Jacques la cérémonie de remise de récompenses des sportifs les plus méritants de l'Association Sportive Saint Jacques, collège et lycée.Tous les sportifs qui ont atteint le niveau régional en compétition ont reçu une médaille. Ils étaient 70 à être récompensés. Tous ceux qui ont atteint le niveau national ont reçu un trophée. Ils étaient 30 à avoir participé aux différents championnats nationaux. Les 100 élèves récompensés ont concouru dans 10 disciplines différentes : badminton, 7 représentants ; gymnastique, 6 représentants ; danse, 9 représentants ; course d'orientation, 7 représentants ; tennis de table, 5 représentants ; hand ball, 9 représentants ; tennis, 10 représentants ; athlétisme - cross et piste, 41 représentants.
La cérémonie s'est conclue par un repas partagé en commun.
Trois prix au 10e Challenge TPE ICAM L'Indicateur 20/06/202
Le lycée a obtenu troix prix dont deux premiers prix.
A l'initiative de Jean-Sébastien Thibaut, professeur de Sciences Physiques, plusieurs élèves de première S étaient engagés au challenge ICAM à Lille.Ce challenge est organisé par l'Institut Catholique des Arts et Métiers.
Les élèves ont obtenu de très bons résultats : Catégorie Habitat et Développement Durable, 1er prix pour Pierre Planckeel et Antoine Delecluse, 1ere VI S ; Catégorie Autres, 1er prix pour Germain Bridoux, Paul Mesurolle et Arnaud Baclet, 1ere IV S ; catégorie Energie, 2e prix pour Vincent Ammeux, Clément Medez et Maxence Baroux, 1ere IV S.
50 groupes ont participé le matin, 20 ont été sélectionnés l'après-midi. Le Lycée Saint-Jacques a obtenu trois prix dont deux premiers prix.
Jean-Pierre Bailleul félicité et fait officier des Palmes académiques VDN 21/06/2012
Samedi matin, il aura fallu la cour du collège et celle du lycée pour accueillir les véhicules des amis de Jean-Pierre Bailleul à l'occasion de son départ à la retraite. Entouré de sa famille et de très nombreux amis, Jean-Pierre Bailleul a été dignement fêté pour son départ à la retraite.« J'ai choisi cette date, car je préférais fêter ce départ dans le feu de l'action, plutôt qu'à la fin, je pense que c'est moins difficile », confiait Jean-Pierre Bailleul... pas forcément convaincu. Les discours se sont succédé, « pour témoigner notre sympathie à Jean-Pierre et lui rendre un hommage chaleureux », s'accordaient à dire tous les orateurs, à l'image de Charles Minne, président de l'organisme de gestion de l'enseignement catholique. Chacun y est allé de son anecdote avec « les petits chocolats planqués dans le tiroir » ou « Jean-Pierre qui chasse les pigeons de Flandre ». C'est en chanson que l'équipe enseignante, avec l'épouse de Jean-Pierre, Véronique, lui a rendu hommage. Est alors venu un moment plus solennel, celui de la remise des insignes d'officier dans l'ordre des Palmes académiques par Albert Foy, sénateur-maire honoraire de Merville, pour « celui qui a été un guide spirituel pour les jeunes en leur apportant toutes ces belles valeurs qui font l'être humain ». Jean-Pierre Bailleul s'est défini comme « un homme qui a fait son devoir ». « Cette distinction honore ma personne et l'équipe pédagogique », a-t-il précisé. Il s'est souvenu de comment tout avait commencé, le jour où le père Delannoy, au volant de sa 4L à la barrière du collège, lui a dit : « Tu as deux minutes pour accepter ou non le poste de directeur. » C'était en 1987 et Jean-Pierre Bailleul tiendra la barre durant vingt-cinq ans.
Thomas, Émilie et Adrien ont à leur tour rendu hommage à « un père exemplaire ». Enfants, ils se sont souvent demandés quel métier pouvait bien exercer leur père tant ils ont le souvenir de l'avoir vu dans de nombreuses fonctions, parfois même inattendues. Connu pour être un épicurien, Jean-Pierre Bailleul s'est vu offrir une cave à vin avec de grands châteaux ainsi qu'un week-end gourmand. C'est Dominique Leterme, actuellement chef d'établissement de Notre-Dame-de-la-Paix à Lille, qui lui succédera au 1er septembre.
Les élèves d’Hazebrouck et des environs ont découvert les disciplines de l’athlétisme VDN 23/06/2012
Les professeurs d’éducation physique et sportive du collège Saint-Jacques ont organisé un pentathlon au stade Damette pendant toute la journée de mardi.
Leurs élèves de 6e ainsi que les CM 1 et CM 2 de neuf écoles primaires privées environnantes prenaient part à la compétition. Chacun des quatre cent cinquante
concurrents devait choisir cinq épreuves parmi les disciplines suivantes : relais, 50 m, 40 m haies, saut en longueur, penta-bonds, lancer des poids, de cerceau, de balle
et tir à la cible. Un prix a ensuite été décerné à la première des classes et au meilleur sportif dont le total des points se rapprochait le plus de cent.
Un titre de vice-championne de France Ugsel en Athlétisme L'Indicateur 27/06/2012
De bons résultats pour le collège Saint-Jacques aux championnats de France Ugsel d'Athlétisme les 20 et 21 juin au stadium Lille Métropole de Villeneuve d'Ascq.En effet, l'équipe de relais minimes filles (Perrine Connart, Anne Baratte, Manon Loingeville et Julie Hane) est de nouveau vice-championne de France en battant le record régional en série, avec un temps de 31''25.Nous pouvons noter les belles places d'honneur dans les activités individuelles : Perrine Connart 4e au 50 m ; Anne Baratte 12e au saut en longueur ; Tanguy Bronchart 11e au 1.000 m.Rendez-vous en septembre pour de nouvelles aventures.
Chaleureuse cérémonie de départ L'Indicateur 04/07/2012
La fin de l'année scolaire à l'Institution Saint-Jacques a été marquée par la traditionnelle cérémonie de fin d'année dans le but de remercier tous les personnels enseignants et OGEC notamment celles et ceux qui prennent leur retraite ou qui ont obtenu leur mutation ainsi que les parents bénévoles qui interviennent auprès des élèves tout au long de l'année scolaire.Parmi les six partants, la première à prendre sa retraite est Chantal Bourel, femme de ménage pendant 44 ans de 1968 à 2012. En retraite depuis Avril 2012, elle n'avait pas pu se libérer.
Catherine Kaczmarczyk, professeur de Mathématiques part pour le Lycée Saint-Rémi à Roubaix.
Philippe Lhermitte, professeur de Sciences-Physique a demandé son rapprochement pour le Lycée Saint-Dominique de Béthune.
France Verriez, professeur d'Histoire-Géographie de 1991 à 2012 a obtenu sa mutation pour le Collège Sainte-Marie à Aire-sur-la-Lys.
Odile Provence, professeur d'Allemand en Lycée pendant 23 ans a obtenu son rapprochement pour le Lycée Notre Dame de Sion à Saint-Omer. Elle devait en guise de départ jouer une chanson à la guitare.
Ce fut au tour de Marie-Christine Gambier, professeur d'Anglais en Collège de 1975 à 2012 d'être fêtée à l'occasion de son départ en retraite. « L'Hazebrouckoise la plus connue de Faversham » fut chaleureusement remerciée par le chef d'établissement, par ses collègues et les professeurs Anglais venus de Faversham : Debbie Lauwrie, Suzanne Elcoat et Hermance Gush-Aits.
Charles Minne, président de l'OGEC prit la parole pour remercier Jean-Pierre Bailleul lui aussi retraité après 40 ans de présence à Saint-Jacques dont 25 ans en temps que Directeur. En quelques mots, il décrit le rôle de celui qui fut tour à tour « pédagogue, bâtisseur, fédérateur, concierge, veilleur de nuit, homme d'entretien, assistant social, homme modeste, homme de devoir et d'amour, homme de foi et de conviction ».
Dans sa réponse, Jean-Pierre Bailleul remercia le président de l'OGEC et l'assistance pour les aimables propos tenus à son égard. Il affirma commencer à penser à ce que pourrait être sa retraite. Les idées ne manquent pas, mais un temps de pause et d'observation s'impose.
M. Bailleul fleurit Mme Prince, présidente de l'APEL pour les services rendus ainsi que Mme Minne pour avoir laissé M. Minne s'occuper avec efficacité de la gestion de Saint-Jacques, son épouse Véronique reçut aussi un bouquet de fleurs.
Des prix pour les lauréats au Big Challenge L'Indicateur 04/07/2012
Comme les 296 504 élèves français inscrits au Big Challenge, ce sont 322 élèves du collège Saint-Jacques qui ont participé à ce concours.
Composé de 54 questions différentes pour chaque niveau, il porte sur les connaissances enseignées en anglais depuis le début du collège.Cette année, ce sont 98 élèves de sixième, 99 élèves de cinquième, 52 élèves de quatrième, 73 élèves de troisième qui ont accepté de relever le défi.
Niveau 6e : 1 Bastien Schoonaert, 2 Valentine Lemort, 3 Louise Rose. Niveau 5e : 1 Gaëlle Gallois, 2 Eloise Roekens, 3 Louise Dalenne. Niveau 4e : 1 Jeanne Herve, 2 Lison Willaume, 3 Louise Schoonaert. Niveau 3e : 1 Julie Bataille, 2 Anne Baratten, 3 Laura Vaneste.
Des Saint-Jacquois en visite au Synchrotron Soleil de Gif sur Yvette L'Indicateur 04/07/2012
4 élèves de première scientifique du Lycée Saint-Jacques ainsi que leur professeur de physique chimie ont eu la chance de pouvoir visiter le synchrotron soleil de Paris.La visite avait été gagnée aux Olympiades de Physique au mois de Janvier. La visite a démarré par un exposé sur le fonctionnement de la machine : un énorme cercle de 354 m de circonférence, bourré d'aimants et de technologie, dans lequel on fait tourner des électrons à la vitesse de la lumière. Autour du synchrotron, sont disposés des lignes de lumière, laboratoires dans lesquels on sonde la matière grâce au rayonnement produit par les électrons ; le fameux rayonnement synchrotron.
Hazebrouck : un seul recalé au bac au lycée Saint-Jacques VDN 06/07/2012
Les résultats du bac sont tombés ce matin au lycée saint-Jacques d'Hazebrouck. Sur les deux cent vingt-trois candidats, deux cent treize ont été admis, ce qui représente plus de 95 % de réussite. Neuf lycéens passeront les rattrapages. Un élève a été recalé. (Retrouvez le parcours courageux de Cindy, bachelière et élève au lycée saint-Jacques, dans votre édition d'Hazebrouck de demain samedi)
Pour Cindy, secouée par la vie, le bac est une sacré récompense VDN 07/07/2012
Hier, les résultats du bac sont tombés dans les lycées accompagnés d'un rituel qui semble inusable : le coup d'oeil anxieux sur les listes, la recherche frénétique de son nom et le soulagement, dans le meilleur des cas. Mais pour certains élèves, comme Cindy, Hazebrouckoise, le bac est bien plus qu'une sorte de passage obligé après le lycée. L'Hazebrouckoise a été sérieusement blessée cette année. Elle a décroché son bac au courage. 11 h, lycée Saint-Jacques à Hazebrouck. L'effervescence commence à retomber devant les panneaux où sont affichés les résultats du bac. Les lycéens affichent quasiment tous une mine réjouie. Ils ont décroché le précieux diplôme, préalable exigé par de nombreux établissement du supérieur. Une blonde élancée se fraye un chemin entre les petits attroupements pour s'approcher des listes. Elle s'y attarde quelques secondes avant de fondre en larmes. Cindy est admise et la nouvelle la bouleverse.Il faut dire que la jeune Hazebrouckoise vient de vivre une année éprouvante physiquement et moralement. « Au mois de mars, j'ai eu un sérieux accident de moto avec mon copain, relate-t-elle. J'ai eu de multiples fractures au tibia, le péroné cassé, etc. » Résultat, la jeune Hazebrouckoise passe un mois à l'hôpital. Mais après avoir raté une première fois son bac l'an passé, Cindy décide de s'accrocher. Un prof particulier passe l'aider à la maison, mais quelques heures seulement. Les copains lui ramènent des cours. Mais c'est surtout en elle que Cindy parvient à puiser l'énergie nécessaire pour réviser. « Ce n'était vraiment pas facile », commente son père, très ému et très fier.
Après l'hôpital, Cindy est revenu au lycée en fauteuil roulant. Ses cours ont été réaménagés au rez-de-chaussée pour qu'elle puisse facilement y accéder, tout comme les épreuves du bac. « On m'avait même proposé de me laisser plus de temps mais j'ai refusé. Ce n'est pas ma tête qui ne fonctionne pas, c'est ma jambe. » Hier, la jeune fille a délaissé provisoirement le fauteuil pour les béquilles. Et c'est debout, qu'elle a découvert qu'elle avait décroché son bac L. De quoi illuminer son avenir.
Ils ont obtenu leur bac, et après ? VDN 07/07/2012
À saint-Jacques, les résultats ont été affichés hier matin. Saint-Jacques d'Hazebrouck pour en connaître l'issue : il suffisait d'étudier la gestuelle des lycéens. Empoignades appuyées : ils l'ont. Cris de joie : ils l'ont avec mention. Dans cet établissement, qui compte aussi bien des sections générales (ES, S, L) que technologiques, seul un élève a été recalé et neuf autres devront passer le rattrapage. Les admis ont déjà l'oeil rivé vers l'avenir. Dans l'immédiat, il est festif. « On va sûrement faire un resto en famille », glissent Camille et Cloé. Et l'année prochaine ? « Pour moi, ce sera une école supérieur de communication », répond Cloé. « Pour ma part, je pars en BTS design d'espace qui mène à l'architecture d'intérieur », complète Camille. Trois copains, tout juste bacheliers, auréolés de mentions à tout va, envisagent des études exigeantes : classe préparatoire scientifique pour l'un, IUT pour l'autre ou encore une préparation aux écoles de cinéma les plus prestigieuses pour le troisième larron. Alors bon vent à tous ces nouveaux bacheliers et courage à ceux qui passent au rattrapage ou qui doivent repasser l'épreuve l'an prochain.
La médaille de la Ville remise à Jean-Pierre Bailleul L'Indicateur 18/07/2012
Jean-Pierre Allossery a remis la médaille de reconnaissance de la ville à Jean-Pierre Bailleul. L'évènement n'est pas fréquent pour un Hazebrouckois de recevoir la médaille de la reconnaissance de la ville d'Hazebrouck, pourtant c'est ce qui est arrivé à Jean-Pierre Bailleul, directeur de l'Institution Saint Jacques depuis 25 ans.Après Albert Deveyer, Edgard Poret, Gilbert Louchart, Jean-Philippe Le Guevel et d'autres, c'est Jean-Pierre Bailleul, Hazebrouckois depuis toujours qui était mis à l'honneur. Cette distinction a été remise par Jean-Pierre Allossery, député maire, à Jean-Pierre Bailleul, après l'annonce qu'il avait formulée lors du départ en retraite du directeur de Saint-Jacques, samedi 16 juin. Dans son discours, M. Allossery a rappelé qu'il voulait récompenser Jean-Pierre Bailleul pour les 25 ans de direction, passés au service des jeunes de la Flandre. Un directeur qui a voulu que son établissement, soit ouvert aux Hazebrouckois et à la Flandre, par la mise à disposition de son patrimoine, son ouverture à la culture, en faisant de la chapelle un lieu d'enseignement de l'école de musique depuis plusieurs décennies. Enfin un collège qui a été reconstruit grâce au courage et à la détermination de son chef d'établissement après le malheureux sinistre du 24 juin 2008.
Correspondant de presse
Avec émotion, Jean-Pierre Bailleul a redit à quelles occasions il était venu dans ce grand salon lorsque son père était adjoint au maire ou lorsqu'il était correspondant de presse, lors des cérémonies officielles telles que les jumelages et d'autres évènements locaux ou en lien avec sa profession ou sa famille.
Le directeur a rappelé les nombreux liens qui existent entre l'Institution et la ville en terme de location de salles et autres évènements. Il développe en quelques chiffres l'importance économique de l'Institution Saint Jacques au coeur de la cité : nombre de familles, d'élèves et de personnel y travaillant.
Il a redit son souhait d'être le chef d'établissement d'une Institution ouverte à la vie de la cité par le nombre de bacheliers présentés chaque année (220 par an depuis 25 ans). Enfin Jean-Pierre Bailleul a souhaité partager cette distinction avec toutes les forces vives du collège et du lycée, à savoir élèves, parents, personnel enseignant et OGEC, catéchistes, responsables du conseil d'administration. Cette rencontre clôturait également les nombreuses cérémonies liées au départ en retraite du responsable de l'Institution Saint-Jacques.
Jean-Pierre Bailleul décoré de la médaille de la ville VDN 12/07/2012
Dimanche matin, Jean-Pierre Bailleul, directeur de l'institution Saint-Jacques
pour encore quelques jours, était reçu à la mairie par Jean-Pierre Allossery, député-maire, et toute son équipe pour recevoir la médaille de la ville.Quand on demande au maire pourquoi cette distinction, il répond que cela lui paraissait plus qu'évident : « Il est tout à fait normal que Jean-Pierre Bailleul soit récompensé pour toutes ces années passées à diriger Saint-Jacques, nous voulions rendre hommage à un homme qui a travaillé durant toute sa carrière pour l'éducation des jeunes Hazebrouckois. C'est une récompense largement méritée. » Entre autres, Jean-Pierre Bailleul a beaucoup oeuvré pour les échanges linguistiques et culturels entre les pays, il a toujours été très investi dans la mise en avant de la chapelle et dans sa reconstruction après l'incendie du collège. Et pour finir sa carrière en beauté, un score inédit au résultat du bac cette année : sur deux cent treize inscrits, un seul recalé et neuf seulement à l'oral de rattrapage.
Il a passé sa vie à Saint-Jacques
Même s'il est fier et honoré de cette distinction, Jean-Pierre Bailleul reste modeste et souhaite impliquer toute son équipe pédagogique dans sa réussite. Il a passé sa vie à Saint-Jacques, il y a été élève, puis surveillant, éducateur, professeur, adjoint à la direction et enfin directeur depuis déjà vingt-cinq ans.Jean-Pierre Bailleul a été un directeur apprécié. Pour preuve: ses anciens élève l'invitent à leur mariage.
Aujourd'hui, à 62 ans, il a mérité sa retraite, même s'il va lui être difficile, après avoir été autant investi, de s'arrêter d'un coup. Il a été nommé président du Comité de sauvegarde de la grande chapelle et va s'assurer que la liaison avec le nouveau directeur, Dominique Leterme, ancien directeur de Notre-Dame-de-la-Paix à Lille, se passe bien.