SAMEDI après-midi était un jour faste pour le lycée
Saint-Jacques. Deux événements se sont déroulés successivement :
l’inauguration des nouveaux bâtiments du site tertiaire par Daniel
Percheron, président du conseil régional, et la remise des palmes académiques
à Jean Crépin, ancien économe de l’établissement, par Alfred Foy,
sénateur honoraire. Le feu des discours a d’abord été alimenté par
le président de l’OGEC (organisme de gestion de l’enseignement
catholique), Charles Minne.
Un long travail
Celui-ci a souligné que cette inauguration était le point
d’orgue et l’aboutissent d’un long travail qui avait mobilisé
bien des énergies et de nombreuses personnes. « Leur
professionnalisme et leurs compétences me permettent de transmettre à
la génération des étudiants d’aujourd’hui et à celle de demain,
cette construction de qualité, ce bien précieux qui participe au
combat contre l’ignorance... ». Il adressa ensuite quelque mots
à Jean Crépin en précisant que Jean-Pierre Bailleul avait eu raison
d’associer les deux événements.
Professeur de l’établissement, Abderrahmane Barrak, a fait un
historique de la création du secteur tertiaire dans l’établissement,
« les méthodes et les programmes ont changé, ce nouveau bâtiment
nous permettra de former les nouvelles générations à l’utilisation
d’un outil devenu indispensable :
l’informatique ».
Jean-Pierre Bailleul, directeur du lycée, souligna la journée mémorable
que vivait l’établissement avec la visite de Daniel Percheron : « Je
crois d’ailleurs que c’est la première que vous faites à
Hazebrouck, au coeur de la Flandre intérieure, patrie de l’abbé
Lemire qui fut à l’origine de la création de Saint-Jacques. »
Il rappela que la création de ce site était en partie l’oeuvre
d’un homme, Jean Crépin.
Il remercia le président de Région de l’aide substantielle apportée
pour la construction du bâtiment, soit plus de 2,7 millions de francs
(412 932,43 E) pour un coût total de 6 643 848 F (1 012 848 E). Après
avoir rappelé ce qu’était le nouveau site, Jean-Pierre Bailleul a
adressé un message aux jeunes de l’établissement. « Je souhaite
que vous sachiez respecter les lieux et le matériel qui vous
permettront d’obtenir ici vos diplômes ». Il termina par ces
mots : « Le lycée ne forme pas que des diplômés, mais aussi des
hommes et des femmes de notre société de demain auxquels il est bon de
rappeler quelques valeurs fondamentales de toute une vie en société et
auxquelles nous croyons, à savoir, le respect, le partage et l’amitié.
»
Alfred Foy remit ensuite les palmes académiques à Jean Crépin en précisant
qu’elles venaient récompenser un grand homme de la maison, compétent
et dévoué.
Jean Crépin, très ému, remercia l’assistance de sa présence et
voulut partager cette distinction avec l’ensemble des élèves et des
professeurs de l’établissement. Il rendit également hommage à ses
parents et à son épouse, pour sa patience.
Un pari réussi
M. Hache, directeur de l’enseignement catholique adressa ses
félicitations à l’établissement et à son directeur. « C’est
un pari de lancer une telle opération et vous l’avez réussi ».
Il souligna également que 60 % de l’opération était à la charge de
l’enseignement catholique. « Les bâtiments c’est bien mais il
faut leur donner une âme. On a les outils, à nous de donner un sens à
la vie des jeunes ».
Paul Blondel, profitant de la venue de Daniel Percheron, a souligné
qu’Hazebrouck était une ville tertiaire et scolaire. « Saint-Jacques
est un fleuron de la ville et je n’imagine pas que l’institution
s’arrêtera en si bon chemin ».
Daniel Percheron s’est dit heureux d’être là car il s’agissait
de formation et de jeunesse, l’une des préoccupations du conseil régional.
Il salua le monde enseignant qui, après le choc de 1968, avait su résister
: « Nous avons besoins de valeurs, nous les représentons et les
incarnons et nous savons où nous voulons aller et c’est là
l’essentiel. »
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Une
première au cross annuel du collège Saint-Jacques, vendredi après-midi
Les écoles primaires ont été invitées ( LA VOIX DU NORD )
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Vendredi après-midi, était organisé le cross annuel du collège
Saint-Jacques au stade Damette. Il a réuni quelque sept cents
collégiens.
Depuis l’année dernière, les responsables ont mis en place
un système d’évaluation afin de motiver les participants. «
Les élèves ne sont pas notés sur leur performance mais sur
leur comportement », explique un professeur de sport.
Nouveauté cette année, les organisateurs avaient invité les
écoles primaires privées d’Hazebrouck et des environs. Les
écoles Saint-Joseph de Morbecque, Saint-Pierre de Steenbecque,
Notre-Dame-de-Joyel de Thiennes, Notre-Dame-de-Grâce de Caestre
et, pour Hazebrouck, les écoles Saint-Joseph, Notre-Dame et
Saint-Jules ont ainsi participé aux épreuves.
Seuls les élèves de CM 1 et de CM 2 étaient présents soit,
au total, deux cent cinquante écoliers. Cette initiative a pour
but de resserrer encore les liens entre les écoles et le collège
afin de faciliter la transition pour les enfants au moment de
leur entrée en sixième.
Les classements du cross sont les suivants.
Primaire garçons.– Jérémy Thorez, Simon Dubois, etc.
Primaire filles.– Charlotte Mesmacque, Mégane Clarret,
etc.
Sixième garçons.– Adrien Acket, Jean-Baptiste
Delaeter, etc. Sixième filles.– Hélène Kallumannil,
Manon Bataille, etc.
Cinquième garçons.– Christopher Wyckaert, Nathanaël
Cousin, etc. Cinquième filles.– Justine Clay, Caroline
Vandamme, etc.
Quatrième garçons.– Vincent Delbecque, Quentin
Mayolle, etc. Quatrième filles.– Zélie Longuenesse,
Anne Mesmacque, etc.
Troisième garçons.– Jessy Adjaoud, Nicolas Dumortier,
etc. Troisième filles.– Lydie Pronier, Hélène
Sanfilippo, etc.
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La
saison 2001-2002 a été présentée (LA VOIX DU NORD 05/10/2001)
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Dans
la foulée de la rentrée scolaire, l’association sportive de
l’institution Saint-Jacques a tenu son assemblée générale devant
un parterre d’élèves et de parents venus écouter les bilans
financier et d’activités de l’année scolaire 2000-2001.
Après une introduction du président de l’association, Jean-Pierre
Bailleul, les professeurs d’EPS (éducation physique et sportive)ont
effectué un rapide bilan de l’année écoulée. Ils ont notamment
rappelé les nombreuses participations aux championnats de France
UGSEL (Union générale du sport de l’enseignement libre) de judo,
d’athlétisme, de tennis de table, de badminton et de gymnastique.
Le bilan financier a fait apparaître une augmentation du compte
attribué aux transports. Cela s’explique par une plus forte
participation aux activités, entraînant des déplacements plus
nombreux et plus lointains.
Puis Jean-Pierre Bailleul, avec l’aide de l’équipe des
professeurs, a présenté le programme d’activités pour l’année
scolaire 2001-2002. On y retrouve le football, le volley-ball, le
rugby, l’athlétisme, le cross, la natation, la gymnastique, le
tennis de table, le badminton et la course d’orientation.
Toutes ces activités peuvent être pratiquées le mercredi après-midi
sur les installations de Saint-Jacques (rue Warein) ou sur celles prêtées
par la municipalité. Un certificat médical de non-contre-indication
à la pratique du sport est cependant demandé pour pouvoir participer
à ces activités en loisir ou en compétition.
La séance s’est terminée par le vote du bureau. La majorité des
personnes qui le composaient ont été réélues. On note cependant le
changement de trésorier, M. Baratte laissant sa place à Mme Bernard.
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L’Association de la
grande chapelle de Saint-Jacques veut entretenir la mémoire du
collège Le tombeau de l’abbé
Dehaene restauré LA VOIX DU NORD le Mercredi 31
Octobre 2001
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Le
cimetière Saint-Eloi a un petit air de Père-Lachaise. A chaque
coin d’allée, on y découvre la tombe d’une personnalité de la
vie hazebrouckoise.
En cette période de veille de Toussaint, s’il est une sépulture
qui ne passera pas inaperçue, c’est bien celle de l’abbé
Dehaene. Elle vient juste d’être rénovée.
Le buste austère de cet abbé hazebrouckois, qui surplombe le
tombeau et toise les visiteurs, a désormais retrouvé sa blancheur
d’albâtre. Une plaque a aussi été accrochée à l’emplacement
de l’épitaphe qui, au fil du temps, était devenue illisible.
On y apprend la carrière de cet homme d’église, mort à 73 ans,
en 1882, et qui ne fut autre que le professeur puis le supérieur de
l’abbé Lemire. C’est d’ailleurs ce dernier, en compagnie d’autres
anciens élèves, qui fut à l’origine du mausolée à la gloire
de son maître à penser. Et le député-maire d’Hazebrouck d’évoquer
l’érection de ce tombeau en pierre bleue de Soignies dans son
livre, L’abbé Dehaene et la Flandre, « Le
jour même des funérailles, on ouvrit deux souscriptions parmi les
anciens élèves... », écrit-il.
Détail touchant : un petit monument avait été élevé dans un
premier temps sur la tombe du maître. Il a été conservé et on
peut encore le voir derrière le sépulcre. Au sommet, on y avait
placé une Pietà réalisée par Gustave Patteyn, le célèbre
sculpteur hazebrouckois, qui fut aussi l’auteur du buste du
religieux.
On doit cette rénovation à l’Association de la grande chapelle
de Saint-Jacques, créée par Jean-Pierre Bailleul, chef de l’établissement
qui, autrefois, s’appelait le petit séminaire Saint-François-d’Assise.
L’abbé Dehaene en a été le supérieur durant quarante-cinq ans.
« Nous avons créé cette
association pour rénover tout ce qui, en fait, appartient à
l’histoire du séminaire. Et dans cette partie du cimetière,
c’est un peu le coin du séminaire », explique Jean-Pierre
Bailleul. Tout autour du tombeau, on trouve les sépultures d’autres
professeurs, directeurs et employés de l’établissement, certains
décédés à notre époque, comme si on avait poursuivi une
tradition que l’abbé Lemire évoquait déjà dans son livre en
1891 : « Tout autour de sa tombe, comme
pour lui faire escorte par delà la mort, sont rangés les cercueils
de ses collègues. »
Isabelle DUPONT
Isabelle
Moeneclaey est
animatrice pastorale au lycée Saint-Jacques Un emploi laïc
de vocation LA VOIX DU NORD Mardi 06 Novembre
2001
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Isabelle
Moeneclaey, une Hazebrouckoise de 26 ans, a été
officiellement envoyée en mission pastorale lors de la messe
célébrée dimanche à l’église Saint-Eloi. Désormais,
elle est l’un des deux cents animateurs pastoraux que compte
le diocèse de Lille.
Elle venait de terminer sa maîtrise d’aménagement du
territoire et commençait sa recherche d’emploi lorsque
Jean-Pierre Bailleul, directeur du lycée Saint-Jacques (et
donc premier responsable pastoral de l’établissement), lui
a proposé, elle qui voulait travailler avec des jeunes, de
devenir animatrice pastorale du lycée.
Après y avoir réfléchi à deux fois, Isabelle accepte la
proposition et, durant quatre années, est formée à cet
emploi laïc de vocation au CIPAC (centre interdiocésain de
formation pastorale catéchique), situé au grand séminaire
de Lille. « Il n’est pas facile de faire ce choix en
étant jeune et en laissant tomber un autre métier, reconnaît
Isabelle Moeneclaey, mais en cas de ’’crise de foi’’,
le retour est toujours possible. »
Au CIPAC, elle a été formée à l’étude de la Bible et de
l’Eglise et a abordé des modules pratiques sur l’animation
des jeunes. Si elle est animatrice pastorale scolaire, d’autres
le sont en milieu pénitentiaire, hospitalier, de la
batellerie, des nomades, etc.
Son rôle est, désormais, « d’animer la communauté du
lycée en tant que communauté chrétienne ». Isabelle
est aussi chargée de faire le lien avec les autres
communautés (paroisse, diocèse, scouts...) dont l’aumônerie
de l’enseignement public. Pour le moment, en tant que
personne-ressource, elle a aussi un rôle prépondérant de
médiateur entre les acteurs de l’établissement.
J.-P. M.
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14/12/2001
Comité de sauvegarde de
la grande chapelle de Saint-Jacques 60, rue Warein -
Poster du retable: : 30 Frs ©
Carte postale: 5 frs © |
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Visite
à des personnes âgées, collecte de denrées, participation
à des initiatives locales
La solidarité n’est pas un vain mot à Saint-Jacques
LA VOIX DU NORD du Jeudi 24 Janvier 2002 |
Depuis
le début de l’année scolaire, une soixantaine de jeunes
scolarisés en seconde au lycée Saint-Jacques ont choisi
d’offrir une heure chaque semaine pour rompre la solitude
d’une personne âgée isolée au sein d’une maison de
retraite hazebrouckoise (le Clos des tilleuls ou
Clairefontaine).
Pour tous, ce fut d’abord une grande découverte. Puis le
dialogue s’est noué avec un ou deux résidants : récits du
passé, partage de l’actualité, conversations autour de la
famille, jeux de société ou brève promenade. Les jeunes
sont désormais très attendus chaque semaine.
Par ailleurs, le dernier week-end de novembre, quarante lycéens
ont participé à la collecte nationale de la Banque
alimentaire, en se relayant toute la journée pour assurer la
collecte de denrées à la sortie d’un hypermarché
hazebrouckois.
A quelques jours de Noël, plus de neuf cents collégiens et
lycéens ont choisi de partager un repas solidaire : ils ont
mangé plus simplement que d’habitude et versé la différence
au Secours catholique d’Hazebrouck. Un chèque de 1 849,47
€ (12 131,73 F) a ainsi été remis la semaine dernière par
Jean-Pierre Bailleul, directeur de Saint-Jacques, aux
responsables du Secours catholique (notre photo).
La mobilisation des collégiens en faveur du Téléthon à
Hazebrouck a permis, grâce à une vente de fleurs, d’offrir
346 € (2 270 F) au profit de la recherche génétique.
Toujours dans le cadre du Téléthon, une somme de 137 €
(900 F) a été remise aux responsables mervillois qui avaient
créé une vaste fresque de timbres.
Enfin, une dizaine de jeunes de sixième ont déposé
plusieurs dizaines de kilos de denrées alimentaires aux
Restos du coeur d’Hazebrouck. Ce geste était le fruit
d’une collecte qui a eu lieu quinze jours avant Noël.
La dimension catholique présente dans l’enseignement
n’est pas oubliée. Ainsi, le mois dernier, une vingtaine de
lycéens de tout le doyenné de Flandre intérieure se sont
retrouvés à la maison diocésaine de Merville pour débuter
leur cheminement vers le sacrement de la confirmation.
Scolarisés dans les lycées privés et publics d’Hazebrouck,
ils participeront le 9 mars à un rassemblement des jeunes chrétiens
de toute la zone des Flandres à Arnèke.
Par ailleurs, l’institution Saint-Jacques et les autres lycées
privés catholiques d’Hazebrouck s’apprêtent à
accueillir Mgr Defois, évêque de Lille, le jeudi Saint, dans
le cadre de sa visite pastorale.
Le Père Jean-Noël
Delannoy, décédé le 20 janvier 2002
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Né à Linselles le
17 Mars 1935, ordonné à Lille le 22 décembre 1962, professeur
à Dunkerque Notre Dame des Dunes en 1963, à Lille Centre
Scolaire St- Paul en 1970, supérieur à Hazebrouck St Jacques en
1971, à Roubaix Jean XXIII en 1975, directeur départemental
adjoint de l'enseignement catholique en 1981, curé à Lille St
Maurice et St Etienne en 1989, à Vendeville en 1990, notaire à
l'Officialité en 2000, retiré à Lille en 2001
La messe de
funérailles fut célébrée par Mgr Jean- Paul Jaeger, évêque
d'Arras, ancien professeur de St Jacques et ami du défunt qui
retraça en termes choisis et amicaux ce que fut la vie de l'abbé
Jean Noel Delannoy, professeur de philosophie et supérieur de St
Jacques de 1971 à 1975, au service des jeunes et de leurs
familles.
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Retraite:
Documentaliste
adjointe à Saint-Jacques Thérèse Pradelles fêtée
La voix du Nord 9 février 2002
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« J’ai pensé que trente-quatre lignes
suffiraient à vous exprimer ce que je ressens
aujourd’hui... Une ligne par année de vie passée
à Saint-Jacques. » Thérèse Pradelles,
documentaliste adjointe au lycée Saint-Jacques, a
pris sa retraite.
Une petite cérémonie a été organisée en son
honneur.
Jean-Pierre Bailleul, chef d’établissement, a
retracé le parcours de la retraitée. Thérèse
Pradelles est arrivée au lycée le 1er octobre 1968.
Elle a été embauchée comme surveillante des études
et des cours par le supérieur de l’époque. «
Thérèse a exercé sous cinq chefs d’établissement,
souligna Jean-Pierre Bailleul. Elle fut à ses
débuts la seule surveillante femme parmi les hommes.
»
Point fort de sa carrière : la naissance et le
fonctionnement du centre de documentation et
d’information (CDI) du lycée. Elle a participé à
sa création en 1972. « Au sein du CDI, elle a eu
une réelle sensibilité, je dirais même le souci
constant d’informer les élèves sur leur
orientation ainsi que leur famille », poursuivit
le chef d’établissement. Depuis dix ans, Thérèse
Pradelles s’est entièrement consacrée au CDI, en
tant que documentaliste adjointe. « L’orientation
m’a beaucoup apporté, confia-t-elle. C’est
le travail qui m’a le plus intéressé parce qu’il
est évolutif ».
Marie-Paule Massiet, professeur de maths, a également
pris la parole. Elle a témoigné du plaisir qu’elle
avait eu de travailler aux côtés de sa collègue. «
Que d’échanges à propos d’élèves en
difficulté : comment les orienter au mieux ? Comment
leur redonner confiance ? Parfois, nous n’étions
pas d’accord et nous avions de grandes discussions,
mais Thérèse était toujours disposée à m’écouter
et à dialoguer ».
Aujourd’hui, la retraitée va s’en aller vers
d’autres horizons. Elle et son mari, Michel
Pradelles, sont de grands voyageurs. Ils aiment se
rendre en Afrique, continent qu’ils connaissent
bien, ou dans le Tarn, patrie de Michel où ils possèdent
une résidence. Ce sera aussi l’occasion pour le
couple de passer du temps avec ses deux enfants et six
petits-enfants, qui habitent au Bénin et dans la région
d’Angers.
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La
remise des prix du concours a eu lieu mercredi après-midi,
à la salle des Augustins
« Je vis mon pays
Coeur de Flandre » La voix du Nord: Vendredi 22 Février
2002
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Depuis que l’on parle de
la préfiguration du pays Coeur de Flandre, les élus
ont décidé de donner la parole aux jeunes en leur
demandant ce qu’ils en pensaient.
Cela s’est fait par le truchement d’un concours
lancé au premier trimestre de l’année scolaire.
Une cinquantaine de lycéens y ont répondu dans les
deux thèmes proposés : un scénario expliquant
comment les lycéens vivent le pays et un concours
oral expliquant leur point de vue sur le pays.
C’est ainsi que, mercredi après-midi à la salle
des Augustins, un jury présidé par Jean Delobel, député-maire
de Bailleul et président de l’association de préfiguration,
a entendu les candidats avant de proclamer les résultats.
Concernant le meilleur scénario, les lycéens ont
proposé des thèmes abordant l’identité du Coeur
de Flandre, la vie des jeunes dans le pays et les
transports scolaires, notamment en s’interrogeant :
« Pourquoi se lever à 6 h pour démarrer ses
cours à 8 h ? »
Deux équipes du lycée Saint-Jacques ont remporté
l’épreuve. Il s’agit d’une part de Jean-François
Salomé, Frédéric Desmarescaux, Nelly Steenkiste,
Julie Darly et Romain Devilliers ; et d’autre part
de Thiphaine Marquaille, Jean-Baptiste Vieren, Mélanie
Olmeta, Maxime Duriez et Jean-Bernard Delaru. Ils intégreront
les équipes de Télécité pour réaliser plusieurs
émissions de 26 minutes diffusées sur France 3.
Concernant l’épreuve orale, trois lycéennes de la
Fondation Depoorter (Daisy Brillouet, Hélène Delvart
et Amélie Benard) ont gagné un séjour de quinze
jours soit dans la péninsule ibérique, soit en
Italie ou en Grèce. Outre le patrimoine culturel, le
carnaval de Bailleul ou le manque de loisirs dans le
pays, le tourisme et la gastronomie ont largement été
abordés par les équipes.
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Deux
anciennes lycéennes de Saint-Jacques ont été récompensées,
jeunes étudiantes, futures scientifiques
La voix du Nord_ Février 2002
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Deux anciennes élèves du lycée Saint-Jacques sont les
lauréates du Prix de la vocation scientifique et technique du
service droits des femmes. Virginie Logie, 18 ans, habite
Neuf-Berquin. Elle est en première année de DEUG (diplôme
d’études universitaire générales) de sciences de la
matières à la faculté de Lens. Caroline Lotin, 18 ans
également, demeurant à Haverskerque, est en classe
préparatoire de mathématiques, physique et sciences de
l’ingénieur au lycée Faidherbe à Lille.
Vendredi soir, elles et les trente-huit autres lauréates du
département ont été reçues à la préfecture du Nord.
Elles se sont vu remettre une enveloppe de 762,2 € (5 000
F).
Sur quels critères ont-elles été retenues ? Déjà, les
deux anciennes lycéennes de Saint-Jacques ont présenté un
projet intéressant. Après sa « prépa », Caroline aimerait
intégrer une école d’ingénieur. Elle a une attirance pour
l’aéronautique. Pour sa part, Virginie souhaiterait
travailler dans la recherche dans le domaine de la chimie,
tout en étant professeur en université.
Par ailleurs, l’une et l’autre ont réussi jusque là un
beau parcours scolaire. Virginie a obtenu le bac S avec
mention « bien », et Caroline avec la mention « très bien
». Ni plus, ni moins !
En photo, Virginie Logie (à gauche) et Caroline
Lotin.
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Huit
élèves du lycée Saint-Jacques participeront à
l’émission « Télécité
»
(Mars
2002)
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Une émission qui filme des gens qui sont en train
de filmer. Le concept paraît un peu
abracadabrantesque. C’est pourtant le principe
de Télécité diffusée tous le samedi après-midi
et le dimanche midi sur France 3.
Huit jeunes du lycée Saint-Jacques y
participeront prochainement. Une véritable
aventure pour ces élèves de première qui a
commencé mercredi après-midi avec la venue dans
l’établissement du créateur et réalisateur de
cette émission, Tewfik Fares.
Ce projet correspond à un prix que les jeunes ont
remporté dans le cadre du concours ouvert aux lycéens
et organisé par l’Association de préfiguration
du pays Coeur de Flandre. Cette forme de récompense
s’inscrit complètement dans la philosophie de
cette structure, à savoir la citoyenneté et la
participation de la population.
Une émission citoyenne
Car l’émission de France 3, créée
il y a un an et qui réalise un audimat plus que
satisfaisant, s’appuie sur ces mêmes principes.
Elle permet à des jeunes de se former aux
techniques et au journalisme audiovisuels. Elle
donne surtout l’occasion de parler de la vie
d’une région ou d’un quartier d’une façon
originale et tout à fait inédite.
Le concept lancé par Tewfik Fares, qui repose sur
la notion de proximité, se veut aussi très fidèle.
Selon Emeraude Bensahnoun, assistante de
production, environ 60 % des images filmées par
les jeunes sont diffusées. Les caméras de France
3 ne sont que des témoins. Elles ne servent qu’à
filmer les reporters en action. Ceci mis à part,
tous les plans qui passent à l’écran seront
ceux des lycéens.
La première émission des élèves hazebrouckois
devrait passer un peu avant l’été. Première,
en effet, car il pourrait y en avoir plusieurs. «
Les jeunes s’engagent pour une année »,
explique Emeraude Bensahnoun. Combien d’émissions
vont-ils monter ? « Ça dépend un peu du
nombre de sujets qu’ils auront trouvés »,
répond l’assistante de production.
Le transport scolaire
en question
Outre l’apprentissage des techniques
de film et d’interview, les participants auront
donc à trouver des idées de reportage. Des
sujets sur la vie locale bien sûr. Le premier
pourrait porter sur les transports scolaires.
Apparemment, beaucoup de jeunes évoquent le problème
de devoir se lever chaque jour à 6 h pour se
rendre à l’école. « Cet exemple est tout
à fait conforme au fonctionnement d’une entité
comme le pays. C’est-à-dire de faire participer
les citoyens et de les impliquer dans les décisions
qui concernent l’avenir de la Flandre intérieure
», explique Emmanuel Bertin, chargé de mission
à l’Association de préfiguration du pays.
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Lou
Ponchelle et ses musiciens à
Saint-Jacques Un récital intimiste (22 Mars
2002) |
 Spécialement
aménagée pour la circonstance, la chapelle
de Saint-Jacques était devenue une salle de
spectacle intimiste, mardi soir, à
l’occasion du récital de Lou Ponchelle et
de ses musiciens. La soirée était organisée
au bénéfice de la restauration de la
chapelle.
Elèves et parents, amis et fans de la
chanteuse emplissaient la salle pour son
dernier rendez-vous de la saison. Hormis
quatre reprises, le programme se composait,
pour l’essentiel, de créations du groupe
dues à Tony Kostek, auteur-compositeur, les
textes de deux chansons ayant par ailleurs
été écrits par Jean-Philippe Le Guevel.
Lou Ponchelle était accompagnée par Tony
Kostek, à la guitare basse, par Patrick
Titeca, à l’accordéon, et par Pierre
Licour, à la guitare.
Le public ne bouda pas son plaisir au cours
de cette soirée consacrée à la chanson
française « cousue main », bien loin des
bluettes sur mesure des hit-parades.
Ceux qui apprécient Lou, « la tragédienne
de l’amour » pourront en outre bientôt
se procurer son CD.
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Les
gymnastes de Saint-Jacques
au championnat régional d’Haubourdin
Neuf lycéennes ont fait le déplacement ( La voix
du Nord - 30 Mars 2002)
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Le championnat régional de gymnastique a eu lieu
à Haubourdin dans une bonne ambiance et une
excellente organisation.
Neuf lycéennes de Saint-Jacques y ont participé
comme juges ou gymnastes.
Une équipe en excellence 1 cadettes, composée de
Marie-Hélène Dehaene (2e), Nathalie Milleville
(2e), Hélène Walbrou (2e) et Camille Luchier (1ére)
(absente à cause d’une entorse), est arrivée
première et participera au championnat national
qui aura lieu à Grande-Synthe les 18, 19 et 20
mai. Elles sont toutes les trois entraînées au
club d’Estaires par Mme Dehaene. Camille
s’entraîne au club Gym’Haz à Hazebrouck.
En individuelle, Amandine Dhaine (terminale),
junior en excellence 2 (gymnaste ne faisant pas de
compétition en club) est, elle aussi, classée
première.
Quant aux juges : Lucie Decouvelaere (terminale),
juge national ; Gaëlle Leclerc (2e), juge
national ; Hélène Boddaert (terminale) ;
Sandrine Debreyne (terminale) et Adeline Degroote
(2e), après avoir réussi leur examen de juge,
ont mis toutes leurs compétences au service des
autres.
Elles se préparent maintenant avec rigueur, sérieux
et bonne humeur à l’étape suivante.
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TOXICOMANIE
AVRIL 2002
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Comment informer les pré-adolescents et les adolescents des risques de drogues puisque celles-ci sont partout présentes ?Où et auprès de qui trouver un accueil
personnalisé, des réponses aux questions que se posent les jeunes sur les toxicomanies?
Comment s'affirmer, dire non, développer ses capacités de réflexion,
ne pas rester passif face aux conduites toxicomaniaques ?Comment répondre aux besoins d'interdits des jeunes ?Dans le souci de répondre à toutes ces questions, de mettre en
place une prévention et une information efficaces en matière de
toxicomanies, les collège et lycée St-Jacques, dirigés par M. BAILLEUL, ont organisé durant la semaine banalisée du 18 au 22 mars 2002 une
journée d'intervention de l'association lilloise 'Stop à la drogue', auprès des collégiens de 6° et de 5°. L'association de
parents d'élèves, présidée par M Wils, prit le relais en organisant le
soir même une conférence "La drogue, il faut en parler" pour les
parents d'élèves, les enseignants et les éducateurs de l'établissement.
Au cours de cette journée, les élèves de 5° furent conviés à un
concours d'affiches. Par le biais de dessins, de messages, de
poèmes, les élèves se sont exprimés : "L'homme n'est pas une
poubelle, alors mettez vos rêves, votre santé, votre argent ailleurs
que dans la drogue, l'alcool ou le tabac !"
Tel est le message que nos collégiens adressent aux jeunes et aux
moins jeunes. Mardi 30 avril à 16h30, les gagnants du concours d'affiches
reçurent leurs récompenses offertes par l'APEL ST JACQUES :
1er prix : Justine Bréhon et Estelle Delbarre
2ème prix : Maxime Femagut, Benoît Marchelier et RaphaëlVanhaecke
3ème prix : Emma Lefer, Alice Leterme et Bérangère Lherbier.
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Trente-cinq
élèves de Saint-Jacques ont passé une semaine en République
tchèque
Quatrième échange avec le lycée de Lovosice
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Trente-cinq
élèves du lycée Saint-Jacques ont passé la première
semaine des vacances de Pâques en République tchèque.
Kutna Hora, ville inscrite au patrimoine mondial de
l’UNESCO, le château de Libochovice, le camp de
concentration de Terezin et, bien sûr, la capitale,
Prague, ont fait l’objet de visites passionnantes.
Si le côté touristique représentait une part
importante du voyage, le côté humain n’a pas été
négligé. Ce voyage n’était en fait que la première
partie d’un échange avec le lycée de Lovosice,
petite ville du nord de la Bohème. La partie
hazebrouckoise de l’échange aura lieu dans
quelques semaines.
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Le
Théâtre du songe
frappera un grand coup le 16 mai
Cet atelier, créé il y a six ans au lycée
Saint-Jacques, a décidé d’adapter la célèbre
comédie musicale « West Side Story »
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 Tout
le monde a encore en tête les chorégraphies époustouflantes
et les airs fabuleux de la plus célèbre des (tragi)comédies
musicales, West Side Story.
Ce spectacle mythique, les jeunes comédiens du Théâtre
du songe (atelier-théâtre du lycée
Saint-Jacques), qui n’ont décidément pas froid
aux yeux, ont choisi de s’y attaquer cette année.
Ils le joueront sur la scène d’Espace Flandre
le 16 mai. Un défi à la mesure de cette troupe
qui, avec ses cinquante comédiens, n’en finit
pas de grandir et de se structurer, sous la
direction de son professeur, Raphaël Larroque.
C’est simple, il s’agit aujourd’hui du plus
gros atelier-théâtre de France en milieu
scolaire et il n’est pas une classe du lycée
Saint-Jacques, toutes filières confondues, qui ne
compte au moins un apprenti comédien.
Né il y a six ans, le Théâtre du songe n’a
cessé d’innover, de placer la barre de plus en
plus haut, que ce soit en montant une pièce de
Brecht ou La Cantatrice chauve d’Eugène
Ionesco, ou encore en adaptant Le Petit Prince
de Saint-Exupéry, une pièce qui a été jouée
dix fois et a réuni quelque 2 000 spectateurs.
Cette fois, l’atelier va encore plus loin en
s’attaquant à un spectacle total, qui mêle jeu
théâtral, chant, danse, expression corporelle,
mise en espace, effets spéciaux, etc. Une gageure
qui n’a pu être tentée que grâce à
l’investissement total consenti par les élèves,
certains s’impliquant même dans la mise en scène,
la chorégraphie, le maquillage ou les costumes,
comme Anne-Flore Geeraert ou Camille Vandenbunder.
Efforts consentis aussi par l’établissement,
dirigé par Jean-Pierre Bailleul, en termes de
moyens, et par le technicien du lycée, Eric
Vanecke, doué d’un vrai sens artistique.
Quant à l’histoire, elle a été réécrite par
Raphaël Larroque à partir du DVD du film et sera
identique, à 85 %, au livret original écrit par
Arthur Laurents, sur la musique de Leonard
Bernstein. Seule une scène d’introduction a été
ajoutée à cette version moderne de Roméo et
Juliette.
Comme l’explique Raphaël Larroque : « Cette
histoire présente des intérêts pédagogiques
multiples et renvoie cruellement à l’actualité,
à ce qui se passe en Palestine par exemple. Le
sujet est grave mais les jeunes se sentent très
concernés par ce qui est une histoire d’amour
mais aussi une histoire de bandes et de
territoire. »
Alors, pour retrouver les Jets et les Sharks dans
leurs affrontements, rendez-vous le jeudi 16 mai
pour deux heures de spectacle. Et pour en savoir
plus, on peut aussi consulter le site Internet du
Théâtre du songe, dont l’adresse est www.theatredusonge.fr.st
« West Side Story », par le Théâtre
du songe, le jeudi 16 mai, à 20 h 30, à Espace
Flandre.
Réservations au lycée Saint-Jacques, rue de la
Sous-Préfecture (Tel03 28 41 98 92).
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Établissement
public ou privé*
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Ville
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Taux d'accès
de la 2nde au bac
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Réussite
au bac 2001
|
Nb d'élèves
en 2nde
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Cat. |
* |
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Brut
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Valeur
ajoutée
|
Taux
|
Valeur
ajoutée
|
SAINT-PAUL
|
LILLE
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88%
|
+25
|
96%
|
10
|
336
|
1
|
VAUBAN*
|
DUNKERQUE
|
86%
|
+25
|
98%
|
17
|
103
|
5
|
NERVIENS
|
BAVAY
|
85%
|
+15
|
79%
|
4
|
155
|
1
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SAINT-JACQUES*
 |
HAZEBROUCK
|
85%
|
+10
|
94%
|
13
|
335
|
2
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Avec
des lycéens de Porz à
Saint-Jacques Le 25e échange scolaire
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 Treize
élèves du lycée Maximilian-Kölbe de
Porz-am-Rhein, ville allemande jumelée avec
Hazebrouck, sont arrivés samedi dernier dans le
cadre des échanges scolaires avec le lycée
Saint-Jacques. Il s’agit très précisément du
25e échange dans ce cadre. Une réception était
organisée en leur honneur, mercredi matin dans le
grand salon de l’hôtel de ville, où ils furent
accueillis en compagnie de Jean-Pierre Bailleul,
directeur de Saint-Jacques, de M. De Rieux, qui
coordonne les échanges, de Mme Rébéna, l’une
des enseignantes hazebrouckoises qui les animent,
et des deux accompagnatrices allemandes, Marion
Wilkop et Rozie Feyen.
Représentant le maire, retenu au conseil général,
deux adjoints, Dominique Crinquette et Jacqueline
Vandaele, leur apportèrent le salut de la
municipalité.
Dominique Crinquette souligna combien il était
utile aujourd’hui de savoir parler les langues
étrangères et se réjouit des nombreux échanges
organisés à Saint-Jacques avec des jeunes
Anglais, Allemands et aussi Tchèques. Il félicita
les enseignants « qui font vivre ces échanges
essentiels pour la formation des jeunes ».
En conclusion de la réception, l’adjoint au
maire d’Hazebrouck eut aussi quelques mots sur
l’actualité électorale pour indiquer combien
les échanges entre jeunes de pays européens
pouvaient contribuer à l’amitié entre les
peuples et au renforcement de la démocratie. Ces
propos faisaient écho à ceux prononcés par
Jean-Pierre Bailleul : « Nous savons qu’un véritable
sursaut interviendra lors des prochaines échéances
politiques. Je sais que, de votre côté, les élections
ont aussi lieu en Allemagne et qu’elles risquent
de changer le cours des choses... »
Accueil chaleureux
Rozie Feyen s’est, quant à elle, réjouie
de trouver de nouveaux amis lors de ces échanges
et elle remercia tout le monde pour l’accueil
chaleureux.
Elle souligna combien le programme varié avait
plu aux élèves avec la découverte de
Saint-Omer, d’Hazebrouck et de la Flandre, de la
côte d’Opale et de Paris. « Vive l’amitié
franco-allemande de nos deux villes formant un des
maillons de l’entente européenne »,
conclut-elle avant de laisser la parole à l’un
de ses lycéens qui tenait à prendre la parole à
l’occasion du 25e échange. Dans un français
impeccable, ce jeune qui venait à Hazebrouck pour
la deuxième fois remercia les familles pour leur
accueil chaleureux ainsi que tous ceux qui ont aidé
à maintenir l’amitié franco-allemande.
Hélas, les meilleurs choses ont une fin. Après
un repas en commun dans un estaminet à Cassel
hier, les jeunes Allemands devront dire au revoir
à leur amis d’Hazebrouck pour reprendre la
route de Porz-am-Rhein aujourd’hui.
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A
la découverte du lycée Saint-Jacques
L’opération portes ouvertes
était organisée samedi matin 05/2002
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 Le
lycée Saint-Jacques, que dirige Jean-Pierre
Bailleul, organisait sa traditionnelle opération
portes ouvertes samedi matin. Les futurs élèves
et leurs parents étaient accueillis par le
conseiller d’éducation. Ils se voyaient offrir
le livre du centenaire de Saint-Jacques ainsi
qu’une abondante documentation avant d’être répartis
en groupes guidés par des lycéens dans un
parcours très complet pour découvrir l’éventail
des formations dispensées par l’établissement.
Des laboratoires de chimie au tout nouveau site
tertiaire, des cours de langues aux formations de
comptabilité, le parcours était jalonné
d’explications et de réponses aux questions des
jeunes et de leurs parents.
Tout ce qui fait la vie de Saint-Jacques était présenté
également à l’occasion de ces portes ouvertes
avec, par exemple, les relations avec la Tchéquie
dont une délégation est arrivée d’ailleurs
lundi soir, ou encore le théâtre avec Raphaël
Larroque et le sport dans de nombreuses
disciplines.
Dans la documentation était par ailleurs
largement expliqué le projet d’éducation de
Saint-Jacques, fondé sur une vision chrétienne
de l’homme.
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Ils
sont arrivés lundi soir et repartent aujourd’hui...
Des lycéens tchèques
accueillis à Saint-Jacques 5/05/2002
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Les
échanges internationaux se poursuivent bon train
au lycée Saint-Jacques. Après les Anglais de
Sudbury et les Allemands de Porz, Jean-Pierre
Bailleul, directeur de l’établissement, a
accueilli, mardi matin, trente-cinq élèves tchèques
du lycée de Lovosice, situé au nord de la Bohême.
Accompagnés de Milos Styks, directeur du lycée
de Lovosice, et de Dasa Prasilova, professeur de
français, les élèves sont arrivés tard lundi
soir. Ils vont passer une semaine dans la région,
en réponse à une visite que leur avaient faite
trente-cinq lycéens de Saint-Jacques au début du
mois d’avril.
Plusieurs enseignants vont animer le séjour des
jeunes Tchèques. La côte d’Opale, Dunkerque,
Lille et Paris seront les principaux buts
d’excursions qui seront proposés. Les familles
d’accueil feront aussi découvrir aux jeunes la
Flandre, que ce soit du point de vue géographique
ou culinaire.
Initié par Raymond Dendiével, désormais à la
retraite, et Dasa Prasilova, il s’agit du quatrième
échange entre les deux lycées et c’est Gérard
Poisson qui a pris la relève de l’organisation
au niveau de Saint-Jacques.
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Don
du sang au lycée Saint-Jacques
Près de 90 volontaires 05/05/20002
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Quatre-vingt-huit généreux volontaires ont donné
leur sang, vendredi, au lycée Saint-Jacques. Des
élèves majeurs, et aussi du personnel du lycée.
Le car de l’établissement français du sang se
déplace chaque année à Saint-Jacques. « Cinquante-sept
nouvelles personnes se sont présentées », a
souligné Aude Le Tallec, médecin.
Un petit goûter a été offert aux donneurs afin
qu’ils reprennent quelques forces.
La semaine dernière, les professionnels de la
santé avaient organisé une séance
d’information auprès des lycéens âgés d’au
moins 18 ans.
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Jeudi
soir, Espace Flandre a fait le plein pour la représentation
de « West Side Story »
20/05/02
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Jeudi soir, Le Théâtre du songe (atelier théâtre
du lycée Saint-Jacques) a fait le plein à Espace
Flandre pour la représentation de la comédie
musicale West Side Story mise en scène par
Raphaël Larroque. Comme l’a annoncé ce dernier
en présentant la soirée, l’histoire racontée
dans le spectacle est d’une terrifiante actualité.
Tony, l’amant de Maria, tue le frère de sa
bien-aimée. Ce crime est la résultante d’un déferlement
de haine raciale dans un pauvre quartier de New
York entre jeunes, blancs et immigrés
portoricains. Ce triste spectacle reste
d’actualité dans certains quartiers de villes
européennes mais aussi entre Israéliens et
Palestiniens, entre chrétiens et musulmans, etc.
Si le pari de présenter la pièce a permis aux
lycéens de vivre un projet unique, celui-ci les a
obligés à s’investir totalement. Jean-Pierre
Bailleul, directeur du lycée, l’a justement
souligné en les félicitant « pour la passion
qui les anime ».
La qualité du spectacle, qui s’est déroulé en
deux parties, a démontré la qualité du travail
fourni dans l’atelier théâtre du lycée
Saint-Jacques.
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Pèlerinage
Train rose
26 juin 2002
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 Une
quarantaine de lycéens de Saint-Jacques et de
Depoorter sont allés à Lourdes, du 12 au 18
juin. Ils se sont mis au service des malades en
apportant leur disponibilité. Pour les jeunes,
cela a été un pèlerinage de découverte : des
autres, du sanctuaire de Lourdes, de la vie de
Bernadette...
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Traditionnelle
cérémonie de fin d’année:
les retraités et partants de Saint-Jacques fêtés
6 juillet 2002 |
 La
fête de fin d’année de Saint-Jacques a été
marquée par la traditionnelle cérémonie au
cours de laquelle Jean-Pierre Bailleul, directeur
du collège et du lycée, a mis en valeur les
nouveaux retraités ainsi que les membres du
personnel ayant demandé leur mutation pour la
rentrée.
La soirée commença par une messe en souvenir des
défunts des familles, concélébrée par l’abbé
Coquant, vicaire général chargé des affaires
temporelles, et par l’abbé Desquiens, prêtre
en charge de la pastorale. Avant de parler des
retraités, Jean-Pierre Bailleul évoqua les
principaux évènements de l’année :
l’application des nouvelles réformes, la réalisation
des foyers et du préau du collège,
l’inauguration du site tertiaire au lycée... Il
nota le dynamisme des équipes pédagogiques dans
les domaines du sport, de la culture, du théâtre
et des concours. Le chef d’établissement évoqua
aussi les difficultés rencontrées tout au long
de l’année pour trouver des suppléants dans
les matières scientifiques.
Chaque retraité eut ensuite droit à un petit
discours et à des remerciements. Furent fêtés
ce jour-là : Gérard Delannoye, professeur de
sciences physiques ; Monique Everwyn, professeur
de lettres et d’histoire-géographie ; Thérèse
Pradelles, documentaliste adjointe ; Solange
Samsoen, professeur de mathématiques ; et enfin
Jean-Pierre Ingelaere, peintre.
Ce fut ensuite au tour des personnes ayant demandé
leur mutation d’être mises à l’honneur. Tous
les partants reçurent un cadeau et la soirée se
termina par un repas servi au restaurant scolaire.
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Le Père Joseph
Derhille, décédé à Frelinghien le 28 juillet 2002
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Né à Hazebrouck
le 27 Avril 1929, ordonné prêtre le 18 décembre 1954 à
Hazebrouck, étudiant à Francfort sur le Main (Allemagne) en
1955, professeur à Notre Dame des Dunes à Dunkerque en 1956, au
centre scolaire St Jacques à Hazebrouck en 1972, en repos en
1986-1987, membre de l'équipe sacerdotale de Lille-Ouest,
attaché à la paroisse St Martin d'Esquermes depuis 1988.
Joseph écrivait volontiers sur des bouts de papier :
" N'oublions pas l'essentiel. " Je crois qu'il
s'est laissé remuer par cela. Il s'en nourrissait comme d'une
musique capable de le transformer et de l'accompagner jusqu'au
bout de la vie. Du coup, c'était plus facile d'aller le visiter
et de ne pas le quitter sans avoir prié ensemble, comme il le
demandait. Un peu à la fois on a assisté chez lui à un
changement très très impression–nant (...) c'était un autre
homme, plus libre, plus détendu, plus disposé à accepter son
état et à chercher la communication. Plus priant, plus attentif
à ce qui parle de résurrection.
Il avait alors des relations nouvelles avec le " Christ,
notre frère et ami " comme il l'écrivait lui-même
(Homélie)
Le jour de la
pré-rentrée, une délégation d'enseignants a été lui rendre
un dernier hommage en déposant sur sa tombe au cimetière St-Eloi
une gerbe de fleurs.
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ANNEES
2001-2002
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